Connect with us

France

Shazam : Zachary Levi gardera-t-il le rôle à l’avenir ?

Published

on

Spread the love

Au milieu des grands bouleversements chez DC Studios depuis la prise de pouvoir de James Gunn et de Peter Safran, il semblerait que la présence de Zachary Levi dans la peau de Shazam soit assurée.

Un peu de stabilité. Alors que James Gunn et Peter Safran ne cessent de modifier l’univers des super-héros de DC Comics depuis leur arrivée à la tête de la nouvelle entité, DC Studios, Zachary Levi pourrait garder le costume de Shazam encore pour un moment.

Advertisement

Alors que «Wonder Woman 3» ne verra pas le jour, qu’Henry Cavill a été évincé de Superman, et que le projet «Black Adam 2» est à l’arrêt, le comédien aurait sauvé sa tête. Alors qu’il doit incarner le personnage pour la deuxième fois dans «Shazam ! : La rage des Dieux» dont la sortie est prévue pour le 29 mars 2023, il lui-même dévoilé l’information en répondant aux inquiétudes de plusieurs internautes spéculant sur son avenir dans le rôle du super-héros. «Oooh, je ne croirais pas tout ce qu’on peut voir Internet. Je suis Gucci, Ash. Nous sommes tous Gucci», écrit-il.

Zachary Levi est-il assuré de se maintenir dans le rôle ? À en croire son message, il semblerait que oui, même s’il paraît plus prudent d’attendre la confirmation de la part de James Gunn et Peter Safran avant de crier victoire. La presse américaine assure que, si «Shazam ! : La rage des Dieux» rencontre un franc succès dans les salles, cela faciliterait  la reconduction du comédien dans le rôle. Après tout, James Gunn lui-même a prévenu que tous les rôles existants de l’univers DC Comics ne seront pas abandonnés. Et Shazam pourrait être un des rares personnage à garder son interprète après ce changement de direction.

CET ARTICLE A ETE COPIE SUR www.cnews.fr

Advertisement

France

À Gaza, la faim à un niveau jamais vu, l’ONU alerte sur l’arrivée imminente de la famine

Published

on

Spread the love
Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.
MOHAMMED ABED / AFP Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.

MOHAMMED ABED / AFP

Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.

Advertisement

GAZA – Il y a plus que jamais urgence à Gaza. Un habitant sur deux dans l’enclave palestinienne connaît une situation alimentaire catastrophique, en particulier dans le nord où la famine sévira d’ici le mois de mai en l’absence de mesures « urgentes ».

Plus de 1,1 million de Gazaouis sont confrontés à « une situation de faim catastrophique », proche de la famine, « le nombre le plus élevé jamais enregistré » par l’ONU, qui se base sur le rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) publié ce lundi 18 mars.

Advertisement

Dans le dernier rapport IPC publié en décembre, le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) considéraient la famine comme « probable » d’ici la fin mai dans le nord de la bande de Gaza. Elles estiment désormais qu’elle y surviendra « à n’importe quel moment entre maintenant et mai » si rien n’est fait pour l’empêcher.

Le constat est particulièrement critique pour les habitants du nord de la bande de Gaza. « Sans changements dans l’accès à l’aide humanitaire, la famine arrive », prévient la directrice générale adjointe de la FAO, Berth Bechdol, dans un entretien à l’AFP. « Il est possible qu’elle sévisse déjà dans le Nord, mais nous n’avons toujours pas été en mesure de le vérifier », faute d’accès aux territoires concernés, relève-t-elle.

Advertisement

Les critères de l’IPC pour déclarer une famine ne sont pas techniquement remplis mais d’ores et déjà « des habitants de Gaza meurent de faim », s’alarme la directrice exécutive du PAM, Cindy McCain, dans un communiqué. Le PAM estime que dans le nord du territoire, un enfant sur trois souffre de malnutrition et « la malnutrition aiguë chez les enfants de moins de cinq ans progresse à un rythme record ».

Par ailleurs, le patron de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini, a déclaré à des journalistes au Caire avoir « prévu d’aller à Rafah » via le poste-frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza, ce lundi, mais avoir été « informé que (son) entrée n’était pas autorisée ». Sur X, il a précisé que « les autorités israéliennes » lui avaient « refusé » l’entrée à Gaza. Contactées par l’AFP, les autorités israéliennes ont refusé de commenter.

Advertisement
Advertisement

Il faudrait faire entrer à Gaza « au moins 300 camions par jour »

Les destructions sont massives dans la bande de Gaza et l’aide humanitaire y entre au compte-gouttes. Selon l’ONG Oxfam, 2 874 camions sont entrés dans le territoire en février, soit « seulement 20 % de l’aide quotidienne » qui y pénétrait avant le 7 octobre.

Il existe toujours, selon le PAM, « une fenêtre étroite » pour empêcher la famine. Pour cela, « nous avons besoin d’un accès immédiat et sans restrictions au nord. Si nous attendons que la famine soit déclarée, il sera trop tard, des milliers de personnes supplémentaires auront trouvé la mort », selon Cindy McCain.

Advertisement

Un « cessez-le-feu humanitaire immédiat » rapide permettrait « de faire entrer suffisamment de nourriture, de médicaments et d’eau potable » dans les zones pour éviter une famine, abonde Berth Bechdol, mais un arrêt des hostilités « ne semble pas probable dans les jours ou semaines à venir ».

Selon le PAM, pour assurer les besoins alimentaires de base, il faudrait faire entrer à Gaza « au moins 300 camions par jour », particulièrement dans le Nord, où il n’a pu acheminer que neuf convois d’aide depuis le début de l’année. Les derniers 18 camions d’aide alimentaire ont été livrés dimanche soir à la ville de Gaza.

Advertisement

Pour tenter d’acheminer davantage d’aide, des parachutages de nourriture ont été effectués et la communauté internationale a entrepris de livrer des vivres par la mer.

Mais ce couloir humanitaire maritime ouvert depuis Chypre, le pays de l’Union européenne le plus proche de la bande de Gaza, ne change pas la donne, selon Berth Bechdol. Tant les parachutages que les livraisons par la mer « sont plus symboliques qu’une véritable panacée », souligne-t-elle.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

après l’opération d’Israël à l’hôpital al-Chifa de Gaza-ville, ce que l’on sait de la situation sur place

Published

on

Spread the love
Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.
– / AFP Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.

– / AFP

Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.

Advertisement

GAZA – Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre, l’armée israélienne a conduit des opérations dans plusieurs hôpitaux de la bande de Gaza, notamment l’hôpital al-Chifa, en novembre. À chaque fois, le même motif invoqué : la présence de combattants du Hamas dans les locaux de ces structures de l’enclave palestinienne.

C’est dans ce même hôpital, le plus grand complexe hospitalier de la bande de Gaza, que Tsahal a mené une nouvelle opération ce lundi 18 mars, laquelle a déjà fait une vingtaine de morts. Comme de coutume, l’armée israélienne accuse le groupe à l’origine des attaques du mois d’octobre de se servir des établissements de santé comme centres de commandement.

Advertisement

Par ailleurs, un porte-parole de Tsahal a appelé dans la matinée sur X la population civile à évacuer « immédiatement » la zone de l’hôpital pour aller « vers le sud », à près de 30 kilomètres de là. Le HuffPost revient point par point sur cette nouvelle opération militaire dans la bande de Gaza

Que s’est-il passé à l’hôpital al-Chifa ce lundi ?

L’armée israélienne a dit avoir été opposée à des combattants du Hamas au sein de l’enceinte de l’hôpital al-Chifa, situé dans le quartier al-Rimal de la ville de Gaza, sur lequel elle avait lancé une opération.

Advertisement

Des habitants du quartier d’al-Rimal, où se situe l’hôpital, ont affirmé que « plus de 45 chars et véhicules blindés de transport de troupes israéliens » étaient entrés dans le quartier avant l’aube. Un journaliste de l’AFP a indiqué pour sa part que des frappes aériennes avaient visé plusieurs immeubles du quartier autour de l’hôpital et qu’il avait vu des « centaines de personnes, en majorité des enfants, des femmes et des personnes âgées fuir leur domicile » vers d’autres zones de Gaza-Ville.

Justifiant son opération par « la présence de terroristes haut gradés du Hamas » dans l’hôpital, l’armée israélienne a indiqué avoir échangé des tirs avec des membres du Hamas lui « tirant dessus depuis plusieurs immeubles de l’hôpital ».

Advertisement
Advertisement

Tsahal a aussi publié une vidéo dans laquelle elle montre ce qu’elle dit être des armes et de l’argent utilisés par le Hamas ou le Jihad islamique, une autre organisation armée palestinienne, et saisis dans l’hôpital.

Qui a été tué ?

L’armée israélienne a dit avoir « éliminé » lors des combats Fayq Al-Mabhouh, qu’elle présente comme un « responsable de la coordination d’activités terroristes du Hamas dans la bande de Gaza ». « De nombreuses armes ont été localisées dans la pièce adjacente à celle où il a été éliminé », a-t-elle précisé.

Advertisement
Advertisement

Selon une source policière, qui a confirmé sa mort, Al-Mabhouh était général de brigade dans la police de la bande de Gaza, où le Hamas a pris le pouvoir en 2007. Il est le frère de Mahmoud Al-Mabhouh, l’un des fondateurs de la branche armée du Hamas, selon son entourage. Mahmoud Al-Mabhouh avait été tué en 2010 à Dubaï, le Hamas avait alors accusé Israël.

L’armée israélienne a aussi annoncé avoir tué une vingtaine de combattants palestiniens. « Vingt terroristes ont été éliminés jusqu’ici à l’hôpital al-Chifa dans plusieurs affrontements et des dizaines de suspects interpellés sont actuellement interrogés », a-t-elle indiqué dans un communiqué.

Advertisement

Comment a réagi le Hamas ?

Dans un communiqué, le Hamas a accusé l’armée d’avoir « ciblé les bâtiments » d’al-Chifa en étant « indifférente aux patients, aux équipes médicales et aux personnes déplacées ».

Le ministère de la Santé du Hamas à Gaza a indiqué que « des dizaines de milliers » de personnes se trouvaient dans le complexe hospitalier où vivent des personnes déplacées en raison des combats. « Le ministère de la Santé appelle toutes les institutions internationales à cesser immédiatement ce massacre contre les malades, les blessés, les déplacés et le personnel médical à l’intérieur de l’hôpital », a-t-il ajouté sur Telegram.

Advertisement
Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

pour éviter l’attaque sur Rafah, Biden invite les Israéliens à Washington

Published

on

Spread the love
Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.
JIM WATSON / AFP Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.

JIM WATSON / AFP

Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.

Advertisement

INTERNATIONAL – Attention danger. Joe Biden a une nouvelle fois mis en garde Benjamin Netanyahu contre une opération d’ampleur à Rafah, lors d’une conversation ce lundi 18 mars, la première depuis plus d’un mois entre les deux dirigeants, dont la relation s’est nettement refroidie.

Une offensive terrestre majeure de l’armée israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, serait « une erreur », a déclaré le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan lors d’un point presse, en assurant qu’Israël ne lancerait pas d’opération avant la tenue, « dans les jours qui viennent », de discussions à Washington sur le sujet.

Advertisement

Le président américain a dit une nouvelle fois au Premier ministre israélien être « profondément inquiet » si les Israéliens venaient à attaquer cette localité où plus d’un million de civils palestiniens sont réfugiés, a dit le conseiller.

Une opération militaire d’envergure contre Rafah, à la frontière avec l’Égypte, « conduirait à plus de victimes innocentes, aggraverait la situation humanitaire déjà grave, renforcerait l’anarchie à Gaza et isolerait encore plus Israël » sur la scène internationale, a averti Jake Sullivan.

Advertisement

Trouver une « autre approche »

« Israël ne nous a pas présenté de plan expliquant comment, ou vers où, ils évacueraient ces civils, encore moins comment ils les logeraient ou les nourriraient », a-t-il ajouté.

Lors de l’échange que les deux dirigeants ont eu lundi, le président américain a demandé l’envoi aux États-Unis d’une délégation israélienne pour discuter de ce projet d’offensive, et le chef du gouvernement israélien a accepté, a précisé le conseiller.

Advertisement

Cette discussion doit aussi porter sur la possibilité d’une « autre approche » visant à frapper le Hamas à Rafah sans passer par une offensive terrestre majeure, selon lui.

Jake Sullivan a indiqué s’attendre à ce qu’Israël s’abstienne de lancer une opération à Rafah avant que cette discussion à Washington n’ait lieu. « Nous partageons l’objectif de battre le Hamas, mais nous pensons qu’il faut une stratégie cohérente et durable pour y arriver », a-t-il encore dit. Il a toutefois estimé qu’Israël avait « fait des progrès importants » contre le groupe palestinien.

Advertisement

Marwan Issa, numéro 3 du Hamas, tué

Le conseiller à la sécurité nationale américain a ainsi confirmé que le numéro trois du Hamas, Marwan Issa, avait été « tué lors d’une opération israélienne la semaine dernière » à Gaza.

L’armée israélienne avait fait état d’une frappe aérienne « dans le centre de la bande de Gaza, près de Nuseirat », contre une « base souterraine », qui était « utilisée par deux hauts dirigeants de l’organisation (dont) Marwan Issa ».

Advertisement

Israël n’avait toutefois pas confirmé la mort de l’homme, né en 1965, qui était l’adjoint de Mohammed Deif, le chef des brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas.

À voir aussi sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

Poutine invité du G20 au Brésil ? Macron demande à Lula une décision « consensuelle »

Published

on

Spread the love
Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.
LUDOVIC MARIN / AFP Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.

LUDOVIC MARIN / AFP

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.

Advertisement

INTERNATIONAL – Garder l’esprit du club. Depuis Brasilia, Emmanuel Macron a estimé qu’une invitation de Vladimir Poutine au sommet du G20 devrait faire l’objet d’un consensus au sein du club des pays les plus industrialisés. « Le sens de ce club, c’est qu’il faut que ce soit consensuel avec les 19 autres, ce sera le travail de la diplomatie brésilienne » a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse commune avec son homologue Luiz Inacio Lula da Silva.

Une déclaration préventive, alors que l’évènement doit se dérouler en novembre prochain au Brésil. « S’il y a un rendez-vous qui peut être utile, il faut le faire. Si c’est un rendez-vous qui n’est pas utile et qui crée de la division, il ne faut pas le faire », a estimé Emmanuel Macron. Il faut être « au service de la paix et de l’intérêt commun », a-t-il insisté.

Advertisement

Macron fait le parallèle avec sa situation en août 2019

Le chef de l’État français a également rappelé qu’il s’était lui-même posé la question d’inviter Vladimir Poutine au sommet du G7 en France en août 2019 mais que faute de consensus, il y avait renoncé pour le convier à une rencontre séparée quelques jours auparavant à sa résidence d’été de Brégançon. « La situation était moins grave mais enfin, la guerre avait commencé et la Crimée avait déjà été prise et je n’avais pas eu le consensus des autres. Certains m’avaient dit : “Si tu les invites, moi je ne viendrai pas, ça va bloquer” », a-t-il raconté.

Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine en février 2022, la question de la présence du maître du Kremlin se pose à chaque sommet du G20. Il ne s’est finalement pas rendu à ceux organisés en Indonésie en 2022 et en Inde en 2023. Le président russe est visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) qui l’accuse de crimes de guerre pour la déportation d’enfants ukrainiens.

Advertisement

Lula avait d’abord assuré que Vladimir Poutine recevrait une invitation à se rendre au G20 de Rio et qu’il n’y aurait pas « de raison qu’il soit arrêté », avant se raviser. À l’issue du sommet de New Delhi en septembre 2023, il a finalement déclaré qu’il appartiendrait à la justice de son pays de décider de l’arrestation de son homologue russe s’il se rendait à Rio, tout en disant espérer que « d’ici là, la guerre sera(it) terminée ».

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

À Marseille, Macron face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

Published

on

Spread the love
À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza
CHRISTOPHE ENA / AFP À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

CHRISTOPHE ENA / AFP

À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

Advertisement

POLITIQUE – « J’ai vu la détresse. » Emmanuel Macron a dû longuement se justifier ce mardi 19 mars au matin face à un habitant de la cité de la Castellane de Marseille qui lui reprochait de pratiquer « deux poids, deux mesures » dans son action en Ukraine et à Gaza.

« On a donné tous les moyens qu’il faut à l’Ukraine pour pouvoir défendre ses droits. Aujourd’hui, qu’est-ce qu’on fait pour la Palestine, monsieur Macron ? », s’est indigné cet habitant, Ahmed Saïd, en l’accusant de « verser de l’eau dans le sable » avec l’action humanitaire de la France.

Advertisement

« Nous faisons avec les moyens qui sont les nôtres, qui sont ceux de la diplomatie, de l’action humanitaire », a répondu le président de la République, en visite surprise dans la deuxième ville de France à l’occasion d’une opération d’envergure de démantèlement du trafic de drogue.

Macron dit « faire tout » pour empêcher une opération à Rafah

À cette occasion, le chef de l’État a déambulé parmi les habitants de la cité, où il a été interpellé sur divers sujets. Une nouvelle fois, la situation à Gaza a été évoquée, cette fois par une femme en pleurs qui a insisté sur le sort des enfants palestiniens, comme vous pouvez le voir ci-dessous. « Je partage votre détresse et je l’ai entendue », lui a dit le chef de l’État.

Advertisement
Advertisement

« On a soigné 1.000 Palestiniens sur le bâtiment militaire (Dixmude) (…) On a livré des médicaments et des vivres avec les Jordaniens et les Égyptiens », a encore plaidé le président devant son premier interlocuteur.

Cet habitant lui a aussi reproché de ne pas avoir fait comme l’Afrique du Sud qui avait saisi la Cour internationale de justice fin décembre en accusant Israël de perpétrer un « génocide » à Gaza. « La France n’est pas sur la ligne et n’aura pas la ligne de l’Afrique du Sud parce que les termes qui ont été employés, les actions de justice internationale ne correspondent pas non plus à la vérité sur le terrain », s’est expliqué Emmanuel Macron.

Advertisement

« On n’a pas les moyens de faire une opération (militaire à Gaza) », a-t-il souligné en assurant « faire tout » pour empêcher une opération israélienne à Rafah, dans le sud de l’enclave. Avant d’ajouter, quelques minutes plus tard, devant les journalistes : « J’ai bien vu la détresse, je comprends ça… Cela ne doit nourrir aucune haine au sein de la République. »

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

l’opération à al-Chifa « sabote » les négociations, accuse le groupe islamiste

Published

on

Spread the love
De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)
– / AFP De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

– / AFP

De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

Advertisement

INTERNATIONAL – Est-ce que tout va capoter, encore une fois ? Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a accusé ce mardi 19 mars Israël de « saboter » les négociations qui s’intensifient en vue d’une trêve dans la bande de Gaza avec son opération lancée lundi avant l’aube contre l’hôpital al-Chifa.

L’action des forces israéliennes « dans le complexe médical d’al-Chifa confirme leur volonté d’empêcher toute reprise d’une vie décente à Gaza et de démanteler des infrastructures essentielles », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Advertisement

« Cela révèle aussi une volonté de saboter les négociations en cours à Doha » et « de semer le chaos et perpétuer la violence », a-t-il ajouté, en exigeant « la fin de l’agression, le retrait des forces d’occupation de Gaza, et le retour des déplacés ».

Ces déclarations du chef du Hamas interviennent alors que des discussions sont en cours à Doha autour d’une trêve de six semaines et d’un échange d’otages retenus à Gaza contre des prisonniers palestiniens.

Advertisement

« Des dizaines » de combattants tués, se vante Israël

L’armée israélienne a lancé lundi à l’aube une opération d’envergure contre l’hôpital al-Chifa, le plus grand complexe hospitalier du territoire palestinien.

Elle a affirmé mardi avoir tué « des dizaines » de combattants du Hamas et du Jihad islamique dans le complexe hospitalier et à ses abords, et avoir arrêté « plus de 300 suspects » lors de cette opération qui était toujours en cours mardi soir. Des centaines de civils ont dû fuir depuis lundi le secteur bombardé.

Advertisement

Les forces israéliennes avaient déjà pris d’assaut l’hôpital al-Chifa le 15 novembre, avant de s’en retirer.

À voir aussi sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

un soignant de la London Clinic a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte

Published

on

Spread the love
Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)
ANDREW MATTHEWS via AFP Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)

ANDREW MATTHEWS via AFP

Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)

Advertisement

FAMILLE ROYALE BRITANNIQUE – La frénésie autour de Kate Middleton au Royaume-Uni ne faiblit pas. Une enquête a été ouverte outre-Manche après qu’un agent de la London Clinic – où ont l’habitude de se faire soigner les membres de la famille royale – a tenté de lire le dossier médical de la princesse pendant qu’elle était hospitalisée pour sa mystérieuse opération de l’abdomen en janvier.

Selon le Daily Mirror, qui a révélé l’affaire, « au moins un membre du personnel aurait été surpris en train d’essayer d’accéder » aux notes médicales de la princesse. Selon le tabloïd, l’établissement a « contacté le palais de Kensington immédiatement après que l’incident ait été porté à son attention et assuré au palais qu’une enquête approfondie serait menée ».

Advertisement

Interrogé à ce sujet, Kensington Palace a déclaré que la faille de sécurité est « une question qui relève de la London Clinic », rapporte notamment The Guardian, qui précise que la police de Londres n’a pas confirmé si elle avait reçu des informations sur cette affaire.

Le Bureau des commissaires à l’information (ICO), équivalent de la Cnil en France, a en revanche confirmé avoir reçu un « rapport de violation » des données de la princesse et mener également des investigations.

Advertisement

Nouvelles apparitions et photos retouchées

Cette affaire survient alors que de nouvelles images de la princesse Kate ont été publiées lundi 18 mars au soir, la montrant souriante, à côté de son mari le prince William, sur un marché fermier à Windsor, dans l’ouest de Londres. Sur une vidéo diffusée notamment par le tabloïd The Sun, on voit Kate, 42 ans, en train de marcher les cheveux lâchés, vêtue d’un legging et d’un pull noirs, souriante.

Le Palais avait prévenu qu’elle ne reprendrait pas ses fonctions publiques avant Pâques. Mais la longue absence de la princesse, habituellement l’une des femmes les plus photographiées de la planète, a donné lieu à toutes sortes de théories.

Advertisement

La publication le 10 mars d’une photo de la princesse de Galles, tout sourire et entourée de ses enfants pour la Fête des mères, devait y répondre. Mais la découverte de multiples retouches sur ce cliché, son retrait par cinq des plus grandes agences de presse (dont l’AFP) qui l’avaient publié, et les plates excuses de Kate, qui a endossé la responsabilité en disant « s’essayer à l’édition », ont eu l’effet complètement inverse.

Depuis, sa santé inspire toutes sortes de théorie et certains sont visiblement prêts à tout pour avoir le fin mot de l’historie.

Advertisement

A voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Trending