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Revenge porn: une influenceuse poursuit son ex-copain pour plus de 6 milliards

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Une influenceuse de la Floride poursuit son ex-copain pour avoir divulgué des photos intimes d’elle à caractère sexuel, sans son consentement. 

Mikayla Saravia, 25 ans, qui a plus de 8 millions d’abonnés sur Instagram, intente une poursuite de 6,3 milliards de dollars auprès de Nicholas Hunter, avec qui elle était en couple pendant une durée de cinq ans. Leur relation a pris fin en octobre dernier.

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La jeune femme, qui alimente aussi activement un compte OnlyFans et un compte Twitter, cette plateforme payante de contenu érotique lancée en 2016, allègue que M. Hunter aurait pris possession de son compte, et donc à son nombreux contenu, à la suite de leur rupture, selon des informations fournies par South Florida Sun-Sentinel.

Mme Saravia assure une grande promotion de son contenu OnlyFans à ses abonnés Twitter et Instagram. On peut notamment y retrouver bon nombre de photos et de vidéos suggestives pour inciter ces derniers à s’abonner sur OnlyFans.

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L’avocat de Mme Saravia, Joseph DiRuzzo, reconnaît que sa cliente a en effet consenti à du contenu sexuellement explicite, mais de manière consensuelle, et à un moment où elle avait le contrôle sur les publications sur ses réseaux sociaux.

«Le défendeur s’est servi du compte OnlyFans pour vendre des photos et des vidéos sexuellement explicites de la plaignante à partir du matériel qu’il avait récolté avant le début de leur relation personnelle et [professionnelle], a notamment écrit M. DiRuzzo, dans la plainte.Les 6,3 milliards réclamés dans la poursuite représentent les 628 000 abonnés qu’avait Mme Saravia au moment où elle a mis un terme à sa relation avec M. Hunter. 

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Elle cherche à avoir 10 000 $ par abonnés, qui ont pu voir lesdites images.

L’ex-couple entretient parallèlement une poursuite au civil pour violence conjugale, soumise auprès du comté de Broward, en Floride.

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Ce maquillage vendu dans toute la France est dangereux, ne l’utilisez pas

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Ce maquillage vendu dans toute la France est dangereux, ne l'utilisez pas

Un kit de maquillage pour enfants fait l’objet d’un rappel de la part de Rappel Conso en raison de sa composition dangereuse.

Rappel Conso alerte sur kit de maquillage pour enfants de la marque POP GIRL vendu dans une valisette et commercialisé dans tous les Monoprix de France. Ce produit est rappelé par le distributeur en raison d’éléments interdits dans sa composition et pouvant être dangereux pour les enfants. La fiche de Rappel Conso parue ce mercredi 27 mars mentionne un risque de “lésions” cutanées. 

Le rappel lancé par le site du gouvernement concerne les lots commercialisés entre le 3 janvier 2022 et le 9 juin 2023. Cette valisette de maquillage du fournisseur Marwinks rappelée présente le nom de modèle suivant : “1539011E POP GIRL Mini Beauty Case Set” et possède le numéro GTIN : 4038033390115. Le rappel de ce produit est dû à la présence d’un “mélange de méthylchloroisothiazolinone et méthylisothiazolinone, non autorisé dans les produits cosmétiques non rincés” comme l’explique la fiche de Rappel Conso.

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Comme le précise RMC, ces deux composants sont des conservateurs, allergènes, souvent utilisés par les fabricants de cosmétiques. Néanmoins ces derniers sont interdits depuis la 12 février 2017 dans les produits cosmétiques dits “non rincés”. Le site du gouvernement indique que ces conservateurs peuvent provoquer des “blessures externes” et notamment “des lésions ou corrosions cutanées et des lésions oculaires.”

© Rappel Conso

Ce kit de maquillage ne doit donc plus être utilisé et les consommateurs en sa possession sont invités à le rapporter au point de vente et à contacter aussi bien le point de vente en question que le service consommateur. Les clients qui le souhaitent peuvent contacter le numéro suivant : 0800084000. Comme l’indique Rappel Conso la procédure de rappel aura lieu jusqu’au 26 juin 2024. Les consommateurs possédant ce produit peuvent recevoir un remboursement en guise de compensation. 

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questions sur l’imprévoyance de Bercy

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Gabriel Attal, premier ministre, et Bruno Le Maire, ministre des Finances, à l’Hôtel Matignon, le 1er février.
JULIEN DE ROSA/AFP

DÉCRYPTAGE – De mauvaises recettes fiscales ont perturbé les anticipations du ministère. Les administrations ont envoyé début décembre un premier avertissement aux cabinets des ministres. L’opposition crie au défaut d’information du Parlement.

C’est un drame qui s’est joué en trois actes. Fin décembre, le Parlement vote une loi de finances 2024 qui vise un (très) modeste rétablissement des finances publiques hexagonales, avec un déficit public de 4,4 % du PIB contre 4,9 % en 2023. Un mois et demi plus tard, Bruno Le Maire, le ministre des Finances, s’invite au journal de 20 heures pour revoir à la baisse la prévision de croissance économique pour 2024 (à 1 % contre 1,4 % anticipé jusque-là) et couper 10 milliards d’euros dans le flux des dépenses budgétées. Dans la foulée, Thomas Cazenave, son ministre délégué aux Comptes publics, évoque des rentrées fiscales décevantes et prévient qu’il faudra trouver 20 milliards de nouvelles économies pour le budget 2025. Mardi dernier, enfin, le couperet de l’Insee tombe: en 2023, le déficit public a grimpé à 5,5 % du produit intérieur brut (PIB), bien davantage que les 4,9 % attendus.

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En trois mois pourtant, la conjoncture économique n’a pas été bouleversée. Comment les équipes de Bercy ont-elles…

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chauves, rastas… Qui est vraiment concerné par la nouvelle loi ?

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Discrimination capillaire : chauves, rastas... Qui est vraiment concerné par la nouvelle loi ?

L’Assemblée nationale a voté une proposition de loi qui vise à “sanctionner la discrimination capillaire”, ce jeudi 30 mars. Le texte vise à interdire aux employeurs d’obliger leurs salariés à cacher leurs coupes afro, leurs tresses ou encore leurs dreadlocks.

La proposition de loi sur la discrimination capillaire, menée par le député Olivier Serva (Liot), a été votée en première lecture à l’Assemblée nationale, ce jeudi 28 mars. L’objectif est notamment d’empêcher les employeurs d’obliger leurs salariés à cacher leur coupe afro en se lissant les cheveux. La loi comptabilise déjà 25 motifs de discrimination au travail. Si le texte est adopté, les discriminations correspondant à “la coupe, la couleur, la longueur ou la texture de cheveux”, s’ajouteraient à la liste de celles passibles de sanctions pénales. 

Selon Olivier Serva, cette proposition de loi profiterait aux “femmes noires qui se sentent obligées de se lisser les cheveux”, avant un rendez-vous professionnel comme un entretien d’embauche, mais aussi aux “personnes rousses, victimes de nombreux préjugés négatifs”, ou encore “les hommes chauves”.  Selon un sondage réalisé par Dove aux Etats-Unis, deux femmes noires sur trois affirment devoir changer de coupe de cheveux pour un entretien d’embauche. Les femmes blondes sont aussi touchées : une sur trois assure avoir dû changer de couleur de cheveux pour paraître plus professionnelle, tout comme les personnes rousses, selon une autre étude réalisée en Grande-Bretagne en 2009 par Halo Collective. 

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Les statistiques sur l’ethnie interdites en France

En France, les statistiques basées sur l’ethnie sont interdites, le phénomène ne peut donc pas être quantifié. Mais la discrimination capillaire a déjà été médiatisée. En 2019, la coupe afro de Sibeth Ndiaye, ancienne porte-parole du gouvernement, avait été vivement critiquée, tout comme Eve Gilles, Miss France 2024, ou encore Audrey Pulvar, adjointe à la Maire de Paris. Si le texte est adopté, la discrimination capillaire pourra être sanctionnée de 3 ans de prison et 75 000 euros d’amende.

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que risque l’élève poursuivie par Gabriel Attal ?

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Lycée Ravel : que risque l'élève poursuivie par Gabriel Attal ?

L’Etat a annoncé qu’il portait plainte contre une élève du lycée parisien Maurice-Ravel pour “dénonciation calomnieuse”. Le proviseur avait demandé, le 28 février, à cette dernière de retirer son voile. Elle a par la suite assuré que l’homme l’avait “violentée”.

Mercredi 27 mars, le Premier ministre Gabriel Attal a annoncé que l’Etat allait porter plainte pour “dénonciation calomnieuse” contre l’élève du lycée parisien Maurice Ravel qui a accusé sont proviseur de l’avoir “violentée”, alors qu’elle avait refusé d’enlever son voile. La jeune femme, actuellement en BTS et majeure, avait elle aussi porté plainte pour violences n’ayant pas entraîné d’incapacité de travail. Celle-ci a été classée sans suite.  Le Premier ministre dénonce un événement “tout simplement inacceptable et inadmissible”. Gabriel Attal affirme également que l’Etat sera “toujours aux côtés de ces agents, de ceux qui sont en première ligne face à ces atteintes à la laïcité, face à ces tentatives d’entrisme islamiste dans nos établissement scolaires”. 

Une enquête préliminaire devrait s’ouvrir

Que risque l’étudiante ? Une enquête préliminaire va donc être ouverte par le procureur. Le proviseur et l’élève vont être entendus, ainsi que les témoins. Le procureur peut ensuite décider de poursuivre ou non la jeune femme qui pourrait donc être jugée au tribunal. Elle risquerait alors jusqu’à cinq ans d’emprisonnement et 45 000 euros d’amende, selon l’article 226-10 du Code pénal. Par ailleurs, le proviseur a déposé plainte pour “acte d’intimidation envers une personne participant à l’exécution d’une mission de service public pour obtenir une dérogation aux règles régissant ce service”. 

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Le vendredi 22 mars, le proviseur a décidé de quitter ses fonctions, “par sécurité pour moi et pour l’établissement”, a-t-il justifié dans un mail. Le rectorat a quant à lui évoqué “des convenances personnelles”, et un “départ anticipé” à la retraite, “au vu des événements qui ont marqué ces dernières semaines”. L’homme faisait l’objet de menaces de mort sur internet depuis son altercation avec l’élève. Une enquête a été ouverte pour cyberharcèlement. Un homme de 26 ans originaire des Hauts-de-Seine a été arrêté. Il doit être jugé le 23 avril. 

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«Tout l’appareil d’État a failli», selon l’avocate de Mickaëlle Paty

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Dans «Points de Vue» (Le Figaro-TV), l’avocate de la sœur de Samuel Paty, Me Carine Chaix, relaie la détermination de sa cliente. Elle «ira jusqu’au bout de son recours» exhortant l’État à reconnaître sa responsabilité dans la mort de l’enseignant.

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«Nous déposons ce recours pour que justice soit faite, et ce n’est pas rien, puis pour que cessent ces renoncements qui tuent», affirme Me Carine Chaix dans «Points de Vue» (Le Figaro-TV). Une première démarche, donc, qui invite l’État à reconnaître sa responsabilité dans l’assassinat de Samuel Paty. En l’absence de réponse de l’administration d’ici le 17 mai, et tant qu’il n’y aura pas de «reconnaissance pleine et entière, officielle, de sa responsabilité», l’affaire poursuivra son chemin juridique et un recours contentieux devrait être porté devant le tribunal administratif. Ce à quoi Mickaëlle Paty ne dérogera pas «car c’est une combattante, elle ira jusqu’au bout», ajoute celle qui échange quasi quotidiennement avec sa cliente.

La démission du proviseur du lycée Maurice-Ravel «montre combien le combat de Mickaëlle Paty est juste. La pression islamiste pousse au silence, à la démission ou à l’autocensure, et on le sait, plus d’un professeur sur deux admet s’autocensurer», poursuit l’avocate qui reprend les chiffres de la commission d’enquête sénatoriale sur les pressions, menaces et agressions envers les enseignants.

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«150.000 professeurs par an menacés et agressés»

Interrogée ce jeudi sur RMC au sujet du recours de Mickaëlle Paty – révélé il y a dix jours par Le Figaro -, la porte-parole du gouvernement, Prisca Thévenot, invitait à «ne pas se tromper de cible : les uniques coupables, ce sont les terroristes islamistes». Dans «Points de Vue» (Le Figaro-TV), Me Carine Chaix ne décolère pas. «Quand j’entends madame Thévenot, je suis assez confortée dans l’idée que l’oubli de l’esprit de responsabilité est l’une des causes de nos malheurs publics. L’État n’est pas ce Léviathan au-dessus des lois, il a l’obligation juridique de protection envers ses agents. C’est aux fondements de notre État de droit», assène l’avocate au barreau de Paris.

Plus de trois ans après l’assassinat de Samuel Paty, Me Carine Chaix invite les autorités compétentes à prendre «des mesures simples : rendre systématiques les conseils de discipline contre les élèves qui diffusent des messages malveillants sur les réseaux sociaux, et instaurer un délit d’outrage à agent – et de dénonciation calomnieuse – ayant entraîné des menaces de mort». Le cabinet du premier ministre a bien «contacté Mickaëlle Paty hier soir», confirme enfin son avocate, au micro de Timothée Dhellemmes.

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le tirage du jeudi 28 mars 2024 [EN LIGNE]

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Résultat EuroDreams (FDJ) : le tirage du jeudi 28 mars 2024 [EN LIGNE]

EURODREAMS. Les résultats du tirage de l’EuroDreams de ce jeudi 28 mars sont connus. Y a-t-il un vainqueur ? Est-ce vous ? 20 000 euros par mois pendant 30 ans étaient en jeu.

Il n’y a pas eu de vainqueur ! Ce jeudi 28 mars 2024, à l’occasion d’un nouveau tirage EuroDreams organisé par la Française des jeux et ses homologues européens, personne n’a parié sur les bons résultats. En revanche, 179 personnes ont gagné 81,90 euros, dont 52 en France. Découvrez sans plus attendre la combinaison du jour !

Tirage Eurodreams du 28/03/24

  • 13 – 37 – 1 – 7 – 18 – 9 et le N°Dream 3

Quelles sont les chances de gagner ?

Autant le dire très clairement : les probabilités de remporter le gros lot sont extrêmement faibles. EuroDreams offre une chance sur 19 millions de remporter le gain maximum. Il y aura toutefois une chance sur 4,66 de remporter un lot nettement moindre.

Si vous n’êtes pas parvenu à trouver tous les résultats de l’EuroDreams, sachez qu’il est aussi possible que vous ayez empoché 2 000 euros par mois pendant cinq ans en trouvant au moins les six chiffres de la combinaison, sans le numéro Dream donc. Pour la suite des gains, il s’agit à chaque coup d’une somme versée en une seule et unique fois. Comptez près de 100 euros si vous avez mis la main sur cinq des six bons chiffres, une quarantaine d’euros pour quatre, un peu plus de 5 euros pour trois chiffres découverts et 2,50 euros, soit le remboursement de votre grille, si vous avez découvert deux chiffres de la combinaison. À noter que les chiffres sont ceux compris entre 1 et 40, et que le numéro Dream n’est utile pour gagner quelque chose que si vous avez déjà les six autres chiffres. 

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Le principe est clair.  La FDJ promet jusqu’à 20 000 euros par mois pendant 30 ans, lorsque l’on coche tous les bons numéros du tirage, ce qui représente plus de 7 millions d’euros au total. Mais il y aura aussi des heureux qui n’auront pas les 7 bons numéros. Le deuxième rang de gain – c’est à dire les 6 bons numéros sans le numéro complémentaire – est aussi doté d’une rente, à hauteur de 2 000 euros par mois pendant 5 ans, soit 120 000 euros au total. Les gagnants des troisièmes, quatrièmes, cinquièmes et sixièmes rangs remportent une somme nette, respectivement 100 euros, 40 euros, 5 euros et 2,50 euros (le remboursement de la grille).

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au Vernet, après dix heures de «mise en situation», la suite de l’enquête sur toutes les lèvres

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REPORTAGE – L’acte de procédure, qui réunissait les enquêteurs et 17 témoins du hameau, s’est déroulé sous une brume glaciale, de 9 à 19 heures ce jeudi. De l’autre côté du cordon de sécurité des gendarmes, tension et espoir parcourent le village, suspendu au mystère de la disparition du petit garçon.

Envoyée spéciale au Vernet (Alpes-de-Haute-Provence)

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«Quelles nouvelles du Haut-Vernet ?», «alors, ça a commencé la mise en situation ?». Chacun de ceux qui passent avaler un expresso chez Jean-Jacques avant d’aller travailler jette un œil curieux vers la baie vitrée de son restaurant. Elle donne sur la route en lacets menant au hameau des Alpes provençales. Là-haut, les enquêteurs ont commencé leur travail. Jean-Jacques, lui, soupire dos au comptoir, en déversant du marc de café d’un coup sec, et lâche : «Il est possible qu’on ne le retrouve jamais, le petit, il faut s’y faire.» Tôt ce matin, en ouvrant «Le café du Moulin», il a vu monter une longue colonne de camions de la gendarmerie vers le village. Depuis, d’épais flocons fondus ont commencé à strier le paysage de la vallée, et plus personne n’est redescendu pour apporter les échos de la «mise en situation» qui se joue en haut. Du hameau accroché à flanc de colline, on n’aperçoit que la brume glaciale qui le coiffe.

Ce…

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