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le suspect inculpé de tentative d’enlèvement et d’agression

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Le suspect visait initialement la présidente de la Chambre des représentants.

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L’homme suspecté d’avoir violemment agressé le mari de la cheffe des démocrates au Congrès Nancy Pelosi a été inculpé de tentative d’enlèvement et d’agression, a annoncé le ministère américain de la Justice lundi. David DePape avait déclaré avoir eu l’intention de «briser les rotules» de la responsable si elle ne cessait pas de «mentir», selon un document judiciaire. Il s’était introduit vendredi matin dans le domicile du couple, à San Francisco, équipé notamment de corde, de paires de gants et de ruban adhésif, a précisé le ministère dans un communiqué.

Nancy Pelosi «traumatisée»

Autant d’éléments qui prouvent, selon la justice, qu’il avait l’intention de kidnapper l’élue, un chef d’inculpation qui pourrait lui valoir jusqu’à 20 ans de prison. L’homme de 42 ans était entré dans la chambre du couple en cherchant Nancy Pelosi, qui se trouvait à Washington. Il avait réveillé Paul Pelosi, qu’il avait ensuite attaqué avec un marteau. Après son arrestation, David DePape avait déclaré aux agents qu’il jugeait Nancy Pelosi responsable des «mensonges» propagés selon lui par le parti démocrate, d’après un document judiciaire joint au communiqué du ministère.

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Précisant avoir eu l’intention de la prendre en otage et de lui parler, l’homme avait expliqué que si elle lui disait «la vérité», il la libérerait, mais que «si elle “mentait”, il lui “briserait les rotules”», selon cette même source. Paul Pelosi a «subi la punition à sa place», avait affirmé le suspect. Cette agression s’est produite à une dizaine de jours des élections de mi-mandat, lors desquelles les démocrates risquent fort de perdre leur majorité à la Chambre des représentants. Vendredi, avant que les détails de l’agression du mari de Nancy Pelosi ne soient connus, des responsables sécuritaires américains s’étaient inquiétés dans un mémo que la désinformation ne pousse certains extrémistes à commettre des attaques violentes. Des craintes également exprimées par le président Joe Biden, qui, dans un discours vendredi soir, avait prévenu que la désinformation pouvait influencer les personnes qui ne sont «pas totalement équilibrées».

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David DePape, qui vivait dans un garage dans une petite ville près de San Francisco, avait partagé sur les réseaux sociaux ces derniers mois des publications affirmant que les élections avaient été volées ou que les vaccins anti-Covid ne fonctionnaient pas. Inti Gonzalez, dont la mère a été la compagne du suspect pendant des années, a affirmé qu’il avait des problèmes de santé mentale, et s’était récemment tourné vers le complotisme d’extrême droite. Nancy Pelosi s’était dite «traumatisée» samedi par l’agression, précisant que l’état de santé de Paul Pelosi, opéré pour une fracture du crâne et des blessures au bras et aux mains vendredi, continuait de s’améliorer. La classe politique américaine s’était montrée unanime dans sa condamnation de l’attaque. Le président Joe Biden notamment avait dénoncé un acte «ignoble».

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«Un risque d’accoutumance à un islamisme du quotidien»

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La cour du lycée Maurice Ravel dans le 20e arrondissement de Paris.
Lafargue Raphael/Lafargue Raphael/ABACA

CONTRE-POINT – Pour Gabriel Attal, le combat pour le respect de l’autorité à l’école et celui pour la défense de la laïcité républicaine contre l’islamisme sont les deux faces d’une même médaille.

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Nicole Belloubet annonce la mise en place d’une “force mobile scolaire”

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Sécurité des écoles : Nicole Belloubet annonce la mise en place d'une

En déplacement à Bordeaux, ce vendredi 29 mars, la ministre de l’Education nationale, Nicole Belloubet, annonce la mise en place d’une “force mobile scolaire” pour assurer la sécurité des établissements. L’annonce intervient après que le proviseur du lycée Maurice-Ravel a posé sa démission face aux menaces de mort qu’il a reçues.

Depuis les drames du meurtre de Samuel Paty, un professeur assassiné en 2020 pour avoir montré des caricatures de Mahomet à sa classe, puis, trois ans plus tard, de celui de Dominique Bernard, professeur de lettres, assassiné par un islamiste, les menaces de mort ont de quoi glacer le sang de ceux qui en reçoivent encore.

Le dernier cas de menaces ayant défrayé la chronique aura conduit le proviseur du lycée Maurice-Ravel, dans le 20e arrondissement de Paris, à poser sa démission pour sa sécurité. Il avait demandé à une jeune fille d’enlever son voile. L’adolescente avait déposé une plainte, désormais classée sans suite. Mais la médiatisation de cette affaire avait déclenché une pluie d’insultes et de menaces de mort à l’égard du directeur d’établissement. “Ces événements l’ont particulièrement marqué et blessé”, a confié son avocat, jeudi 28 mars, au Parisien, en affirmant que l’affaire a plongé son client dans une “grande anxiété”.

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Garantir une sécurité physique et juridique

Face à ce contexte d’insécurité, ce vendredi 29 mars, la ministre de l’Education Nicole Belloubet, en déplacement à Bordeaux, a annoncé son projet de déployer “une force de sécurité mobile scolaire qui sera nationale”, rapporte Le Parisien. Cette unité sera destinée “à rassurer les enseignants” et “à assurer la sécurité physique” au sein des établissements. Elle “aura une mission de sécurité à l’intérieur de l’établissement, d’apaisement et de pédagogie”.

La ministre a également souligné son souhait de garantir au personnel des établissements une “sécurité juridique”. Dans l’affaire du lycée Maurice-Ravel, le Premier ministre, Gabriel Attal, avait annoncé que l’Etat déposerait une plainte contre l’élève pour “dénonciation calomnieuse”. Désormais, cela sera automatique. “L’Etat se portera systématiquement partie civile lorsqu’une plainte sera déposée”, quand il y a “des actes de cybermalveillance ou des actes d’attaques physiques” contre des établissements scolaires, a indiqué Nicole Belloubet.

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la plainte pour viol et agression sexuelle classée sans suite

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Jean Lassalle : la plainte pour viol et agression sexuelle classée sans suite

Ce vendredi 29 mars, le parquet de Bordeaux annonce le classement sans suite de la plainte pour viol qui visait Jean Lassalle. Une femme de 45 ans dénonçait des faits qui se seraient produits en 2010 dans un hôtel de Bordeaux.

La nouvelle est tombée ce vendredi. La plainte pour viol et agression sexuelle déposée par une femme de 45 ans contre Jean Lassalle a été classée sans suite par le parquet de Bordeaux, révèle France Bleu Béarn Bigorre. “Les investigations ne permettent pas d’établir l’existence d’une infraction pénale”, ont conclu les magistrats. D’après la radio locale, il manquait des éléments matériels pour prouver les faits dénoncés et ils n’ont pas pu être apportés.

Viol et agression dans une chambre d’hôtel

Les faits reprochés à l’ancien député auraient eu lieu en 2010. La femme l’accuse de l’avoir violée et agressée sexuellement dans une chambre d’hôtel de Bordeaux lors de la campagne pour les élections régionales. L’ex-candidat à l’élection présidentielle avait déclaré n’avoir “jamais violé quiconque” après son audition à la police judiciaire de Bordeaux en novembre 2023. À cette époque, le parquet avait déclaré qu’”aucune poursuite [n’était] engagée contre lui”. Il était d’ailleurs ressorti libre de sa garde à vue.

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Après l’annonce du classement sans suite, ce vendredi 29 mars, Jean Lassalle s’est dit “soulagé”. “Mettez-vous à ma place, c’est quand même le genre d’accusation susceptible de vous emmener devant les assises et de vous conduire en prison. C’est un crime. Donc, quel soulagement d’en être libéré !” a-t-il confié au micro de France Bleu.

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«Comme dans l’affaire Samuel Paty, tout commence par un mensonge»

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Francis Lec est l’avocat du Syndicat national des directeurs d’établissements de l’Éducation nationale (SNPDEN). Ici, en janvier 2009.
JACQUES DEMARTHON / AFP

ENTRETIEN – Maître Francis Lec est l’avocat du chef d’établissement menacé pour avoir demandé à une élève d’ôter son voile. Deux ou trois individus sont recherchés près de Lyon, confie le pénaliste au Figaro.

Maître Francis Lec, avocat du Syndicat national des directeurs d’établissements de l’Éducation nationale (SNPDEN), représente le proviseur de la cité scolaire Maurice-Ravel (XXe arrondissement de Paris), qui a quitté ses fonctions le 22 mars dernier après avoir reçu des menaces de mort en ligne pour avoir demandé à une élève d’enlever son voile islamique , en février.

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L’ancien bâtonnier du Barreau d’Amiens défend également l’ex-directrice d’un établissement d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), elle aussi menacée de mort sur les réseaux sociaux en juin 2023 pour avoir sommé à une lycéenne de retirer son abaya . Trois individus auteurs de ces messages, dont l’élève en question, seront jugés le 31 mai prochain au tribunal judiciaire de Paris, comme le révélait Le Figaro mercredi 27 mars .


LE FIGARO. – Comment va l’ex-proviseur de la cité scolaire Maurice Ravel depuis son retrait ?

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Francis LEC. – Nous nous parlons plusieurs fois par semaine. Son anxiété n’a pas disparu, même s’il se sent réconforté…

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où en est l’enquête au lendemain de la mise en situation ?

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Disparition d'Emile : où en est l'enquête au lendemain de la mise en situation ?

Ce jeudi, une mise en situation a eu lieu dans l’affaire Emile. Ce procédé a-t-il permis de faire avancer l’enquête ?

Ce jeudi 28 mars, une mise en situation a eu lieu au village du Haut-Vernet, où le petit Emile a disparu le 8 juillet dernier. Tout au long de la journée, 17 participants encadrés par des enquêteurs, des juges en charge du dossier et les forces de l’ordre ont reproduit leurs faits et gestes du jour de la disparition. L’accès au village a été bloqué pour ne pas entraver l’événement et n’a été rouvert que ce vendredi matin à 8 heures. L’objectif était de confronter les témoignages des auditions à la réalité du terrain pour éventuellement confirmer des informations ou au contraire soulever d’éventuelles incohérences. La famille d’Emile était présente sur place ainsi que certains voisins et témoins.

Selon Le Parisien, chaque témoin était suivi par deux enquêteurs et chaque scène a été filmée pour pouvoir être réétudiée plus tard. Cela s’est à la fois déroulé dans la maison des grands-parents, où le petit garçon s’est volatilisé après sa sieste, mais aussi en extérieur où deux témoins ont affirmé avoir vu l’enfant passer dans la rue.

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Aucune piste n’était privilégiée avant cette journée. Accident, enlèvement, le mystère reste entier depuis des mois. Concernant la piste du grand-père d’Emile, témoin assisté dans une enquête sur des violences et agressions sexuelles présumées dans les années 1990 au sein d’un établissement scolaire privé, elle est étudiée “au même niveau” que les autres.

Des analyses à postériori

Si peu d’informations ont été communiquées sur les éventuelles conclusions de la mise en situation, il n’est pas sûr qu’elle apporte de nouveaux éléments rapidement. Jacques Dallest, ancien procureur général spécialiste des affaires de long cours, a expliqué sur RTL que “ça peut évidemment aider l’instruction, mais il ne faut pas imaginer qu’en fin de journée, on connaîtra les raisons de la disparition du petit Émile”.

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Des propos confirmés par Jean-Alphonse Richard, journaliste police-justice, dans C à vous, le soir de la mise en situation : “Je ne pense pas que l’on va avoir des gardes à vue directement puisque les résultats de cette mise en situation, on va les tamiser, on va les passer en revue, on va examiner toutes les images, analyser le comportement des uns et des autres, s’il y a un sourire, s’il y a une hésitation, si les horaires correspondent”. Les enquêteurs rentrent donc dans une nouvelle phase d’analyse avec les images captées lors de cette journée.

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«en première ligne», des chefs d’établissement mobilisés ce vendredi

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Le lycée Maurice Ravel à Paris, le 31 août 2015.
STEPHANE DE SAKUTIN / AFP

Un rassemblement devait se tenir ce vendredi matin devant le lycée Maurice Ravel à l’appel de la fédération du parti socialiste de Paris. Une conférence de presse sur le thème des «atteintes à la laïcité» doit aussi être tenue par le principal syndicat des chefs d’établissements.

Trois jours après l’annonce du départ du proviseur d’un lycée parisien menacé de mort après une altercation avec une élève pour qu’elle enlève son voile, un rassemblement était prévu ce vendredi devant la cité scolaire, avant que les chefs d’établissements, «en première ligne», prennent la parole. Le rassemblement était prévu à 7h45, à l’appel du parti socialiste, qui y invitait étudiants, parents d’élèves et enseignants : «suite à la démission du proviseur de la cité scolaire Maurice-Ravel dans le 20e arrondissement de Paris, la fédération du parti socialiste de Paris affirme son plein et entier soutien au proviseur» et à la communauté éducative.

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De son côté, le principal syndicat des chefs d’établissements, le SNPDEN-Unsa, doit prendre la parole dans la matinée, pour la première fois depuis le début de l’affaire, lors d’une conférence de presse sur le thème des «atteintes à la laïcité». Les personnels de direction sont «en première ligne», rappelle-t-il dans l’invitation à la presse.

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«La coupe est pleine, il y a urgence»

Le proviseur du lycée Ravel était la cible de menaces de mort sur les réseaux depuis l’altercation le 28 février avec une élève, scolarisée en BTS, à qui il avait demandé de retirer son voile. Il a annoncé cette semaine quitter son poste, quelques mois avant sa retraite, «pour des raisons de sécurité» selon son établissement. Un départ anticipé qui a causé un vif émoi chez les enseignants et au sein de la classe politique. Interrogée jeudi soir sur RTL, la ministre de l’Education Nicole Belloubet a indiqué que ce proviseur «n’est pas sous protection policière, mais il a un accès direct à la police et une protection judiciaire».

La veille, le premier ministre Gabriel Attal avait annoncé que l’État allait porter plainte contre la jeune femme pour «dénonciation calomnieuse». Agnès Andersen, secrétaire générale de ID-FO, un autre syndicat de chefs d’établissement, a dénoncé «un climat de pression qui s’exerce sous forme de menaces, d’intimidation et parfois de violences, envers les chefs d’établissements». «Les parents d’élèves sont de plus en plus agressifs, les sanctions souvent contestées, il y a de plus en plus de recours, et nous devons faire face, sans moyens humains suffisants», a regretté Mme Andersen auprès de l’AFP. «La coupe est pleine, il y a urgence».

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Pour le Sgen-CFDT de l’académie de Paris, syndicat enseignant, le départ du proviseur du lycée Ravel constitue «un échec collectif»: «La répétition de ce type de scenario sur fond d’instrumentalisation du rapport aux croyances religieuses n’est pas acceptable et peut conduire à des tragédies. Nous ne le savons que trop à l’éducation nationale après l’assassinat de Samuel Paty».


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Une heure de plus ou de moins ce week-end ? Une astuce se cache dans la langue française pour ne plus se tromper

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Une heure de plus ou de moins ce week-end ? Une astuce se cache dans la langue française pour ne plus se tromper

Le changement d’heure a lieu dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 mars. Attention, il faudra alors régler les aiguilles de sa montre, et il y a une astuce pour ne pas se tromper de sens.

Une heure de plus ou une heure de moins ? C’est une éternelle question qui revient quand sonne le changement d’heure. Cette année, le passage à l’heure d’été aura lieu dans la nuit du samedi 30 mars au dimanche 31 mars. A deux heures du matin, il sera en fait déjà trois heures. Une heure de sommeil sera perdue mais le soleil se couchera désormais plus tard. Pour les couche-tôt, il faudra mettre le réveil à la nouvelle heure avant de dormir alors que pour les fêtards du samedi, la soirée risque de passer un peu plus vite. Pas de panique, le lundi 1er avril étant férié, il y aura un jour de plus pour se remettre de ce changement d’heure. Certains enchaineront même avec des vacances quelques jours plus tard, à partir du 6 avril. 

Si les appareils modernes, comme le téléphone, la box internet, l’ordinateur, passeront à la nouvelle heure tout seuls, il faut en revanche penser à changer l’heure sur les montres mais aussi sur le four ou le micro-ondes, ainsi que les pendules. Il faut également vérifier sur les véhicules. Pour ne pas oublier dans quel sens il faut tourner les aiguilles, il existe un moyen mnémotechnique tout simple. Pour cela, il faut bien avoir en tête que chaque changement d’heure a lieu le dernier dimanche d’octobre et le dernier dimanche du mois de mars. Ensuite, il faut regarder de plus près l’orthographe de ces deux mois. A la fin du mot octobre, le “re” peut faire penser à reculer les aiguilles d’une heure. Alors que le dernier week-end de mars le “a” de mars mais aussi le “av” du mois d’avril qui arrive, rappellent qu’il convient d’avancer les aiguilles.

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Sinon, l’astuce du lit fonctionne aussi très bien. Ainsi, il suffit de se dire qu’avec l’arrivée de l’été et de la chaleur, l’envie de se blottir sous sa couette est moins forte et donc la nuit est plus courte. A l’inverse, quand l’hiver approche, pourquoi ne pas rester au lit un peu plus longtemps, voire une heure de plus ?

Ces petites techniques pourraient encore servir dans les années à venir. La volonté de supprimer le changement d’heure, un temps évoquée, ne semble en effet plus vraiment à l’ordre du jour. Depuis sa création par décret suite au choc pétrolier de 1975, l’objectif est de faire des économies d’énergies en alignant les heures d’activités aux heures du soleil et ainsi réduire sa consommation d’électricité. Selon l’Agence française de l’environnement et de la maîtrise de l’énergie, ce procédé serait toujours relativement efficace puisqu’il permettrait d’économiser l’équivalent de la consommation annuelle de 800 000 ménages. 

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