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Kylian Mbappé déjà de retour à l’entraînement avec le PSG

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Le meilleur buteur de la Coupe du monde était présent ce matin sur le terrain avec son club, seulement trois jours après la fin du Mondial.

Le projet «Mbappé 2026» est lancé. Alors que Christophe Galtier, l’entraîneur du PSG, avait annoncé une dizaine de jours de repos pour les mondialistes, Kylian Mbappé n’en a que faire. Le numéro 10 de l’équipe de France a déjà effectué son retour en club, trois jours après la finale perdue face à l’Argentine.

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Juste le temps de souffler sur ses 24 bougies (Kylian Mbappé est né le 20 décembre) que l’attaquant repart déjà au travail. Le PSG avait dans un premier temps diffusé des images sur son compte Twitter montrant l’attaquant sortir d’un van et s’engouffrer dans les locaux du centre d’entraînement situé à Saint-Germain-en-Laye (Yvelines). Le tweet est accompagné de la mention «Kylian Mbappé de retour à l’entraînement ce mercredi». Interrogé par l’AFP, le club a confirmé que le joueur reprenait bien les séances avec le PSG.

Ce retour est une véritable sensation puisque les joueurs parisiens concernés par la Coupe du monde étaient censés bénéficier d’au moins dix jours de repos avant de rejoindre leurs coéquipiers en club. Le retour de Mbappé, meilleur buteur du Mondial (8 buts) et auteur d’un triplé en finale, était ainsi attendu plutôt à partir du mois de janvier 2023.

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À VOIR AUSSI – Le retour des Bleus en France et leur accueil place de la Concorde

Le joueur, apparu très marqué par la défaite des Bleus face à l’Argentine, a visiblement souhaité hâter ses retrouvailles avec le terrain, au lendemain de son 24e anniversaire.

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La suite du programme de Mbappé n’a pas été précisée par le PSG, qui sera opposé à Strasbourg, le 28 décembre pour la reprise de la Ligue 1 au Parc des Princes, puis à Lens le 1er janvier.

À VOIR AUSSI – Coupe du monde: les supporters français exultent au troisième but de Kylian Mbappé

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CET ARTICLE A ETE COPIE SUR www.lefigaro.fr

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les coupables arrêtés ? Deux ados interpellés, des aveux formulés

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Menaces terroristes dans les lycées : les coupables arrêtés ? Deux ados interpellés, des aveux formulés

Après le piratage des Espaces numériques de travail (ENT) deux frères ont été interpellés ce jeudi 28 mars à Malakoff dans les Hauts-de-Seine.

Selon les informations de BFMTV, qui s’appuie sur une source policière, ce jeudi 28 mars, deux frères âgés de 17 et 19 ans ont été interpellés ce jeudi matin dans la commune de Malakoff dans le département des Hauts-de-Seine, en Ile-de-France. Ces interpellations ont eu lieu dans le cadre de l’enquête autour des piratages des Espaces numériques de travail (ENT) dans de nombreux lycées et collèges de France la semaine dernière. France Info indique que le plus âgé des deux est soupçonné d’être l’auteur de plusieurs messages véhiculant des menaces d’attentats sur les ENT ainsi que de l’envoi d’une vidéo de décapitation. Selon la source de France Info, ce suspect aurait reconnu les faits.

Depuis le 20 mars, environ 130 établissements scolaires, collèges et lycées, ont été visés par des menaces terroristes transmises après avoir subi un piratage des Espaces numériques de travail. Ces menaces ont été reçues par les élèves mais également par les parents qui ont aussi accès à ces plateformes. Les auteurs de ces piratages avait lancé en parallèle une campagne de hameçonnage en utilisant un faux site internet semblable à celui de l’ENT. Ceci dans le but de récupérer des données, notamment les mots de passe des utilisateurs.

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Suite à ces incidents, trois enquêtes ont été ouvertes par le parquet de Paris comme le précise France Info. Une première enquête est dédiée aux messages menaçants diffusés sur les ENT dans les établissements scolaires d’Ile-de-France dans la nuit du 20 au 21 mars dernier. La seconde se concentre sur les messages envoyés du mardi 19 au mercredi 20. La troisième enquête s’occupe quant à elle des autres messages envoyés dans toute la France. Le parquet de Paris a précisé auprès de France Info : “Elle a vocation à centraliser les enquêtes ouvertes des différents parquets concernant des messages diffusés via les ENT des autres ressorts régionaux”.

Comme le précise le média, ces enquêtes ont été ouvertes pour les motifs suivants : “atteintes à un système de traitement automatisé de données mis en œuvre par l’Etat”, “menaces de mort ou d’atteinte aux biens dangereuses pour les personnes à l’encontre d’un chargé de mission de service public”, “apologie du terrorisme au moyen d’un service de communication au public en ligne”, “provocation à acte de terrorisme”, “usurpation d’identité” et “divulgation d’information fausse afin de faire croire à une destruction dangereuse”.

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la réforme de l’assurance-chômage annoncée par Gabriel Attal fait bondir les oppositions

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Invité sur le «20 Heures» de TF1 mercredi, le premier ministre a annoncé «une réforme de l’assurance chômage cette année».

Tombé mardi, le couperet de l’Insee a prestement laissé place à celui de Gabriel Attal mercredi. Au lendemain du dérapage du déficit public à 5,5% du PIB pour 2023, le premier ministre s’est rendu sur le plateau du «20 Heures» de TF1 pour dévoiler les arbitrages du gouvernement, actés plus tôt dans la journée lors d’un séminaire sur le travail à Matignon. Faisant sienne la sémantique de la «rigueur», jusqu’alors taboue, le chef du gouvernement s’est engagé à rétablir les finances publiques d’ici 2027.

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S’il s’est refusé à augmenter les impôts pour les classes moyennes et les entreprises, Gabriel Attal s’est mis en tête de chercher des économies du côté de l’assurance chômage. Misant sur une entrée en vigueur «à l’automne», l’ancien ministre des Comptes publics a annoncé une réforme «cette année». Le locataire de Matignon a mis «plusieurs paramètres» sur la table, dont la durée de l’indemnisation et le temps de travail pour bénéficier du chômage. Tout en confiant sa «préférence» pour l’évolution du montant d’indemnisation du chômage.

«Faire les poches des chômeurs»

Le premier ministre a certes tenté de prévenir les critiques. «Mon objectif, ce n’est pas de m’en prendre à tel individu ou aux chômeurs, c’est de faire bouger un système pour inciter davantage à la reprise d’emploi», s’est-il défendu. Sans parvenir à empêcher les oppositions de monter au créneau. En lice pour les élections européennes, la numéro 1 de la liste de La France insoumise (LFI) Manon Aubry a ainsi appelé les électeurs à déposer un bulletin insoumis le 9 juin pour rejeter une réforme qui «fai[t] la poche des chômeurs plutôt que des profiteurs».

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Même son de cloche chez son camarade de l’Assemblée nationale, Adrien Quatennens qui pointe des «riches épargnés» par les annonces de Gabriel Attal. «Les Français vont encore trinquer. Assez ! Le chômage est une souffrance. Il y a moins d’emplois non pourvus que de chômeurs. Vivement l’opération “place nette XXL” du peuple contre ce gouvernement des riches, par les riches, pour les riches !», a écrit sur X le député du Nord.

Chez les communistes, on livre un «résumé d’Attal au 20h» cinglant. «Les pauvres sont responsables de leur pauvreté, les chômeurs de leur chômage, les malades de leur maladie. En revanche, les grosses boîtes vont pouvoir continuer à se gaver tranquilles», a schématisé le sénateur Ian Brossat sur X.

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Tandis que le secrétaire national du PCF Fabien Roussel s’en est pris aux «cadeaux aux grandes fortunes et aux actionnaires» faits par le gouvernement. La même indignation se fait entendre chez le patron du Parti socialiste (PS) Olivier Faure : «Pendant que le CAC 40 sable le champagne sur fond de records de dividendes, Attal pointe ceux qui ont eu le malheur de perdre leur emploi. Attal, le cynisme tranquille.»

Un régime «excédentaire»

À droite, où l’on appelle à une réforme de l’État et du modèle social, Olivier Marleix, chef de file des députés Les Républicains (LR), s’est désolé d’une coupe budgétaire absurde. «En 2024 l’assurance chômage sera excédentaire de 3 Mds€. Où croyez-vous que le gouvernement propose un effort ? Chômeurs âgés, transports sanitaires… oui», a-t-il ironisé. Et d’ajouter, lapidaire : «Train de vie de l’État… rien.»

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Même constat de la patronne des députés du Rassemblement national (RN) : «Le régime est excédentaire, il n’y a aucune nécessité à le réformer !», s’est indignée Marine Le Pen. Laquelle dénonce «une escroquerie qui n’a qu’un seul but : faire les poches des Français pour renflouer les comptes de l’État qui sont en déficit à cause de l’impéritie du Gouvernement.» Son bras droit, lui, préfère mettre l’accent sur les propositions budgétaires du parti à la flamme. «Rien sur la réservation des aides sociales aux seuls citoyens français, rien sur le déverrouillage de la croissance. C’est à la fois mesquin et insuffisant», a écrit sur X la tête d’affiche lepéniste pour les européennes, Jordan Bardella.

Porteuse d’une voix dissonante, la tête de liste Reconquête ! Marion Maréchal ne trouve «pas choquant que l’on puisse toucher à la durée d’indemnisation» de l’assurance chômage.

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Ce week-end sera historique pour les Français, ça n’arrive que tous les 10 ans

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Ce week-end sera historique pour les Français, ça n'arrive que tous les 10 ans

Ce dernier week-end de mars va être historique, les hasards du calendriers rendent cet événement extrêmement rare.

Il y a des week-ends dans l’année bien plus chargés que d’autres. Celui qui arrive, des 30 et 31 mars, sera même historique au vu de tous les événements qui tombent en même temps. Alors que le printemps a commencé, Pâques approche. Ce dimanche 31 mars, la fête religieuse fait déjà son retour. Elle commémore la résurrection de Jésus-Christ pour les chrétiens et a lieu le dimanche qui suit la pleine lune qui vient après l’équinoxe, date où la durée du jour est égale à celle de la nuit. Les enfants pourront alors s’amuser dimanche, mais aussi le lundi de Pâques férié, à chercher les œufs. Ce sera aussi l’occasion pour les familles de se réunir. 

Pâques ne sera pas la seule source d’amusement durant ce week-end de trois jours. Si le dimanche de Pâques tombe le 31 mars, le lundi sera bien le premier avril. Il s’agit évidemment du jour de la blague par excellence. La tradition veut que les enfants collent des poissons dessinés dans le dos des autres sans que la personne visée ne s’en rende compte. Il faut remonter en 1564 pour comprendre les origines du 1er avril. Au XVIe siècle, en France, Charles IX a mis fin au calendrier julien pour passer au géorgien, faisant commencer l’année au 1er janvier alors que celle-ci débutait auparavant en avril. Les gens s’offraient alors des cadeaux pour fêter la nouvelle année. Certains ont résisté et ont donc continué à échanger des présents qui sont progressivement devenus des petites farces.

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Cette date correspond aussi à la fin du Carême, une période pendant laquelle les chrétiens ne devaient pas manger de viande. Alors ils s’offraient des poissons, ce qui pourrait expliquer la bascule vers le “poisson d’avril”. Une autre hypothèse évoque la période de la pêche. Les pêcheurs étaient privés de pratique au printemps pour que la faune marine se développe, des faux poissons leur étaient alors donnés pour les consoler ou à l’inverse les provoquer.

Attention, ce n’est pas tout. Il faudra, par ailleurs, surveiller sa montre. Le passage à l’heure d’été aura, en effet, lui aussi, lieu ce week-end. Il se déroulera dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 mars. A deux heures du matin, il sera déjà trois heures. Une heure de sommeil sera perdue mais une heure d’ensoleillement va être récupérée. Le changement d’heure a lieu deux fois dans l’année : au printemps, c’est toujours le dernier dimanche du mois de mars et en hiver cela tombe fin octobre. Figurez-vous que la conjonction entre le changement d’heure, Pâques et le 1er avril est très rare : la dernière fois, cela est survenu en 2013, la fois précédente en 2002… et la prochaine aura lieu dans plus de 20 ans !

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impôts, semaine de 4 jours, chômage… Ce qu’il faut retenir

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Gabriel Attal au 20h : impôts, semaine de 4 jours, chômage... Ce qu'il faut retenir

Gabriel Attal était l’invité du 20 Heures de TF1 mercredi 27 mars. Alors que le déficit public a dérapé l’an dernier, le Premier ministre a parlé économie.

Selon l’Insee, le déficit pour 2023 a été de 5,5% alors que le gouvernement tablait sur 4,9%. Au lendemain de la publication de ces chiffres, l’interview du Premier ministre, Gabriel Attal, était particulièrement attendue ce mercredi 27 mars, le locataire de Matignon devant profiter de l’occasion pour dévoiler ses premiers arbitrages. Sans surprise, le chef du gouvernement l’a assuré : “L’objectif est de désendetter la France. On dépense aujourd’hui 50 milliards d’euros par an pour payer les intérêts de notre dette. Je préférerais les mettre dans les écoles, dans la police.”

Alors que l’objectif d’un déficit public en dessous des 3% d’ici la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron, en 2027, était initialement visé, les chiffres de l’Insee n’ont pas rebattu les cartes pour Gabriel Attal, qui affirme qu’il doit être conservé. Les Français doivent-ils alors s’attendre à une augmentation des impôts, comme bon nombre le redoutent depuis hier ? “Soit vous augmentez les impôts, soit vous faites en sorte qu’il y ait encore davantage de gens qui travaillent pour avoir des recettes supplémentaires”, a estimé sur ce point le Premier ministre mercredi soir, précisant que le but de l’exécutif était avant tout “d’arriver au plein emploi”. Le locataire de Matignon a par ailleurs affirmé que l’État “n’augmentera pas les impôts dans les prochaines années pour les classes moyennes” ni ceux des entreprises, celles-ci permettant de financer le travail des Français. En revanche, Gabriel Attal n’a pas exclu de taxer davantage les plus riches et les super profits. 

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​​​​​​​“Il y aura une réforme de l’assurance chômage dans l’année”, a par la suite annoncé le Premier ministre. Évoquant plusieurs pistes, Gabriel Attal a indiqué que la durée d’indemnisation pourrait éventuellement être réduite. “Aujourd’hui, c’est 18 mois. Une des pistes, c’est de réduire cette durée de plusieurs mois”, a estimé le locataire de Matignon, ajoutant qu’il ne faut pas que ça aille en dessous de 12 mois. Le temps qu’il faut avoir travaillé pour pouvoir bénéficier du chômage, aujourd’hui de six mois sur deux ans, pourrait également être revu. Néanmoins, le chef du gouvernement a laissé entendre que sa piste préférée était celle du “niveau d’indemnisation du chômage” et de la façon dont ce dernier “baisse pour inciter à reprendre un emploi”. Gabriel Attal souhaite en tout cas “que les paramètres soient présentés cet été, pour une réforme en automne”.

Si le Premier ministre a aussi déclaré vouloir revoir le système d’allègement des cotisations afin de davantage inciter à augmenter les salariés, il est également revenu sur la fameuse semaine de travail de quatre jours. S’opposant fermement à une réduction du temps de travail, il s’est dit ouvert à des expérimentations et “plus de souplesse”. Pour le locataire de Matignon, l’idée est avant tout d’”améliorer les conditions de travail”. Gabriel Attal a notamment donné l’exemple de Français qui ne peuvent pas télétravailler et qui aimeraient faire leur semaine sur quatre jours plutôt que sur cinq, ou la situation de parents célibataires qui apprécieraient de pouvoir travailler moins pendant leur semaine de garde des enfants et plus quand ils ne les ont pas. 

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sous pression, Gabriel Attal mobilise ses ministres pour trouver des économies

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Gabriel Attal garde en tête sa promesse de «désmicardiser la société française», comme il l’avait formulé, il y a deux mois, lors de son discours de politique générale.
Abdullah Firas/ABACA

RÉCIT – Le premier ministre a réuni ce mercredi à Matignon ses troupes pour un séminaire axé sur l’incitation au travail.

Au petit matin, ce mercredi, le mercure frôle déjà les 30 °C au Brésil, où se trouve Emmanuel Macron. Le voyage officiel du chef de l’État en Amérique du Sud coïncide avec une canicule historique dans la région. Mais à Paris aussi, l’air est devenu étouffant ces derniers jours. Au lendemain du dérapage inédit du déficit public, qui a atteint 5,5 % du PIB en 2023, Gabriel Attal a convoqué ce mercredi ses ministres à Matignon pour un séminaire gouvernemental sur le très vaste sujet du «travail». Avant d’enchaîner le soir même sur le plateau du «20 Heures» de TF1, où, tout en «posant les jalons» des réformes à venir, il a écarté toute nouvelle hausse d’impôts pour les classes moyennes. Façon de montrer que, même en l’absence du président, à l’autre bout du monde, le premier ministre tient solidement la barre. Et surtout, qu’il ne compte pas perdre la main sur le chantier de l’emploi, l’une des grandes lignes de sa feuille de route initiale.

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Un peu plus tôt, les ministres étaient d’ailleurs…

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une réforme d’ici la fin de l’année, Gabriel Attal avance trois pistes possibles

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Assurance-chômage : une réforme d'ici la fin de l'année, Gabriel Attal avance trois pistes possibles

Au lendemain de la publication des chiffres de l’Insee sur le déficit français, Gabriel Attal était l’invité du 20 Heures de TF1 mercredi soir. L’occasion d’annoncer une réforme de l’assurance-chômage cette année.

Le déficit public a dérapé en 2023, pouvait-on lire ici et là, mardi 26 mars, dans la presse française. Selon l’Insee, l’an passé, le déficit s’est élevé à 5,5% du PIB. Le gouvernement tablait sur 4,9%. Attendu sur le volet de l’économie ce mercredi soir dans son entretien accordé au journal de 20 heures de TF1, le Premier ministre, Gabriel Attal, a dévoilé ses premiers arbitrages visant à endiguer la dette française. Parmi eux : une réforme de l’assurance-chômage.

Le locataire de Matignon n’est pas passé par quatre chemins et a annoncé clairement la couleur. “Il y aura une réforme de l’assurance-chômage dans l’année”, a-t-il déclaré, arguant une nouvelle fois que l’objectif du gouvernement est d’atteindre le plein emploi. “Mon objectif, ce n’est pas de m’en prendre à tel individu ou aux chômeurs, c’est de faire bouger un système pour inciter davantage à la reprise d’emploi”, s’est justifié Gabriel Attal, avant d’évoquer les différentes pistes du gouvernement.

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La première des trois évoquées est celle de la durée d’indemnisation. Pour inciter au retour à l’emploi, celle-ci pourrait être réduite. “Aujourd’hui, c’est 18 mois. Une des pistes, c’est de réduire cette durée de plusieurs mois”, a expliqué Gabriel Attal pour qui il n’est toutefois pas souhaitable que la durée d’indemnisation passe en dessous de 12 mois. Deuxième piste évoquée par le chef du gouvernement, celle du temps de travail nécessaire pour pouvoir bénéficier du chômage. À ce jour, six mois travaillés sur les deux dernières années sont requis. La possibilité d’allonger ces six mois ou de réduire la durée des deux ans n’est pas exclue. Gabriel Attal a cependant souligné que sa préférence allait, pour l’heure, à la troisième piste : celle du “niveau d’indemnisation du chômage et comment ça baisse pour inciter à reprendre un emploi”, a-t-il développé. En terme de calendrier, le Premier ministre souhaite “que les paramètres soient présentés cet été, pour une réforme en automne”.

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pour avoir demandé à une élève de retirer son abaya, un autre proviseur a été menacé de mort

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Ces trois individus, deux hommes et une femme nés entre 2003 et 2005, seront notamment jugés pour «menaces de mort».
Victor Velter / stock.adobe.com

INFO LE FIGARO – Une autre affaire très similaire à celle du lycée Maurice Ravel à Paris : trois individus comparaîtront au tribunal judiciaire de Paris le 31 mai prochain pour avoir menacé de mort une chef d’établissement d’Ivry-sur-Seine.

Des affaires qui se suivent et qui se ressemblent. Trois individus comparaîtront le 31 mai prochain au tribunal judiciaire de Paris pour avoir menacé de mort en ligne la proviseure d’un lycée public d’Ivry-sur-Seine (Val-de-Marne), a appris ce mercredi 27 mars Le Figaro d’une source proche du dossier, seulement quelques jours après qu’un proviseur parisien menacé de mort pour avoir demandé à une élève de retirer son voile a annoncé quitter ses fonctions pour des questions de «sécurité».

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Ces trois individus, deux hommes et une femme nés entre 2003 et 2005, seront jugés pour «menaces de mort», «menace de commettre un crime ou un délit contre des personnes chargées de mission de service public», «cyberharcèlement ayant entraîné une ITT supérieure à 8 jours sur personne chargée de mission de service public» et «divulgation d’informations personnelles permettant d’identifier ou de localiser une personne et l’exposant à un risque direct d’atteinte à la personne ou aux biens», confirme au Figaro

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