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driver charged

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A photograph shows a French police logo on a police car on the last day of the first edition of the Lorient Oceans festival in Lorient, western France, on July 10, 2022. (Photo by FRED TANNEAU / AFP)
FRED TANNEAU / AFP A photograph shows a French police logo on a police car on the last day of the first edition of the Lorient Oceans festival in Lorient, western France, on July 10, 2022. (Photo by FRED TANNEAU / AFP)

FRED TANNEAU / AFP

Girl killed in Trappes: the driver indicted

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MISCELLANEOUS – A motorist suspected of having hit Tuesday May 23 at Trappes (Yvelines) a six-year-old girl, who died shortly after the shockwas indicted this Thursday, May 25 for manslaughter by a driver who used narcotics, said the Versailles prosecutor’s office requested by AFP.

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The 21-year-old woman was placed under judicial supervision, according to the same source. The driver had been tested positive for cannabis by a first test. A second, whose results are not yet known, must determine more precisely when she ingested this substance.

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“She’s not crazy about the wheel”

“The driver said she had consumed cannabis a few days before”explained to AFP a source close to the file.

“She is very shocked, she does not shirk her responsibility. She’s not crazy about the wheel, she takes the measure of what happened”added this source.

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According to a police source, the little girl was crossing the road by bicycle on Tuesday evening around 8:00 p.m. when she fell while climbing on the sidewalk. The driver, surprised, did not manage to avoid her and hit her, according to another police source.

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The emergency services were unable to resuscitate the child, who was in cardiopulmonary arrest when they arrived. The little girl would have died following a head trauma, still according to information from our colleagues.

Road accidents aggravated by the consumption of narcotics have been at the heart of the news in recent days, after the death on Sunday of four people, including three young police officers, ofn a collision between a police vehicle and a another motorist who, according to the first elements of the investigation, was driving in the wrong direction. A national tribute was returned to them this Thursday morning in Roubaix in the presence of Emmanuel Macron.

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Vladimir Poutine réélu président de Russie, la communauté internationale consternée

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Vladimir Poutine réélu président de Russie, la communauté internationale consternée (Photo du président russe Vladimir Poutine lorsd’un discours pour le 1160e anniversaire de l’État russe à Veliky Novgorod, le 21 septembre 2022.)
ILYA PITALEV / AFP Vladimir Poutine réélu président de Russie, la communauté internationale consternée (Photo du président russe Vladimir Poutine lorsd’un discours pour le 1160e anniversaire de l’État russe à Veliky Novgorod, le 21 septembre 2022.)

ILYA PITALEV / AFP

Vladimir Poutine réélu président de Russie, la communauté internationale consternée (Photo du président russe Vladimir Poutine lorsd’un discours pour le 1160e anniversaire de l’État russe à Veliky Novgorod, le 21 septembre 2022.)

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RUSSIE – C’était joué d’avance, mais la consternation est tout de même au rendez-vous. Vladimir Poutine, au pouvoir depuis déjà un quart de siècle, a été réélu à la tête du pays ce dimanche 17 mars après trois jours d’un scrutin tout sauf équitable. L’homme fort du Kremlin recueille 87,3 % des voix, selon les dernières estimations.

Quelques semaines après la mort d’Alexeï Navalny en prison, cette victoire minutieusement préparée par le Kremlin, bien que très prévisible, consterne l’Occident et ses opposants. « Il est clair pour tout le monde que ce personnage, comme cela s’est produit si souvent dans l’histoire, est tout simplement ivre de pouvoir et fait tout ce qu’il peut pour régner éternellement », a ainsi déclaré Volodymyr Zelensky dans un message publié sur les réseaux sociaux dimanche soir. Pour le chef d’État ukrainien, la présidentielle russe n’a « aucune légitimité ».

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La France a estimé pour sa part ce lundi 18 mars que « les conditions d’une élection libre, pluraliste et démocratique » n’avaient « une nouvelle fois » pas été réunies en Russie. Selon le ministère des Affaires étrangères, le scrutin s’est déroulé « dans le contexte d’une répression accrue à l’encontre de la société civile et de toute forme d’opposition au régime, de restrictions toujours plus fortes à la liberté d’expression et de l’interdiction de fonctionnement des médias indépendants ».

Soutien à l’opposition

Le Quai d’Orsay salue « le courage des nombreux citoyens russes ayant manifesté pacifiquement leur opposition à cette atteinte à leurs droits politiques fondamentaux » et « condamne » l’organisation par Moscou « de prétendues “élections” dans les territoires ukrainiens temporairement occupés par la Russie » en Crimée, dans la ville de Sébastopol ainsi que dans une partie des régions de Donetsk, Louhansk, Zaporijjia et Kherson.

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Même son de cloche pour le chef de la diplomatie européenne. La réélection de Vladimir Poutine est basée sur « la répression et l’intimidation », a déclaré ce lundi à Bruxelles Josep Borrell. L’élection présidentielle en Russie « n’a pas été un scrutin libre et juste », a souligné le diplomate avant une réunion des ministres des Affaires étrangères de l’UE.

À son arrivée à Bruxelles, la ministre allemande des Affaires étrangères Annalena Baerbock a dénoncé « une élection sans choix ». Le processus électoral montre « l’action infâme de Poutine contre son propre peuple », a-t-elle ajouté. « Organiser de soi-disant élections dans certaines parties de l’Ukraine, de la Géorgie et de la Moldavie est contraire au droit international. »

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De son côté, Pologne a estimé dimanche dans un communiqué que l’élection n’était « pas légale, libre et équitable », ajoutant que le scrutin s’était déroulé « dans un contexte de répressions sévères » et dans les régions occupées de l’Ukraine, en violation du droit international.

Dans un message posté sur X (ex-Twitter), le chef de la diplomatie britannique David Cameron a pour sa part dénoncé « l’organisation illégale d’élections sur le territoire ukrainien, l’absence de choix pour les électeurs », et « l’absence de contrôle indépendant de l’OSCE », l’Organisation pour la sécurité et la coopération en Europe. « Ce n’est pas à cela que ressemblent des élections libres et équitables », a-t-il conclu.

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Les principaux chefs d’État et de gouvernement alliés de l’Ukraine, comme Emmanuel Macron, le chancelier allemand Olaf Scholz, le Premier ministre britannique Rishi Sunak ou le président américain Joe Biden n’ont pas réagi ce lundi matin.

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À Gaza, la faim à un niveau jamais vu, l’ONU alerte sur l’arrivée imminente de la famine

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Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.
MOHAMMED ABED / AFP Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.

MOHAMMED ABED / AFP

Un camp de réfugiés à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, le 17 mars 2024.

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GAZA – Il y a plus que jamais urgence à Gaza. Un habitant sur deux dans l’enclave palestinienne connaît une situation alimentaire catastrophique, en particulier dans le nord où la famine sévira d’ici le mois de mai en l’absence de mesures « urgentes ».

Plus de 1,1 million de Gazaouis sont confrontés à « une situation de faim catastrophique », proche de la famine, « le nombre le plus élevé jamais enregistré » par l’ONU, qui se base sur le rapport du Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC) publié ce lundi 18 mars.

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Dans le dernier rapport IPC publié en décembre, le Programme alimentaire mondial (PAM) et l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) considéraient la famine comme « probable » d’ici la fin mai dans le nord de la bande de Gaza. Elles estiment désormais qu’elle y surviendra « à n’importe quel moment entre maintenant et mai » si rien n’est fait pour l’empêcher.

Le constat est particulièrement critique pour les habitants du nord de la bande de Gaza. « Sans changements dans l’accès à l’aide humanitaire, la famine arrive », prévient la directrice générale adjointe de la FAO, Berth Bechdol, dans un entretien à l’AFP. « Il est possible qu’elle sévisse déjà dans le Nord, mais nous n’avons toujours pas été en mesure de le vérifier », faute d’accès aux territoires concernés, relève-t-elle.

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Les critères de l’IPC pour déclarer une famine ne sont pas techniquement remplis mais d’ores et déjà « des habitants de Gaza meurent de faim », s’alarme la directrice exécutive du PAM, Cindy McCain, dans un communiqué. Le PAM estime que dans le nord du territoire, un enfant sur trois souffre de malnutrition et « la malnutrition aiguë chez les enfants de moins de cinq ans progresse à un rythme record ».

Par ailleurs, le patron de l’agence de l’ONU pour les réfugiés palestiniens (Unrwa), Philippe Lazzarini, a déclaré à des journalistes au Caire avoir « prévu d’aller à Rafah » via le poste-frontière entre l’Égypte et la bande de Gaza, ce lundi, mais avoir été « informé que (son) entrée n’était pas autorisée ». Sur X, il a précisé que « les autorités israéliennes » lui avaient « refusé » l’entrée à Gaza. Contactées par l’AFP, les autorités israéliennes ont refusé de commenter.

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Il faudrait faire entrer à Gaza « au moins 300 camions par jour »

Les destructions sont massives dans la bande de Gaza et l’aide humanitaire y entre au compte-gouttes. Selon l’ONG Oxfam, 2 874 camions sont entrés dans le territoire en février, soit « seulement 20 % de l’aide quotidienne » qui y pénétrait avant le 7 octobre.

Il existe toujours, selon le PAM, « une fenêtre étroite » pour empêcher la famine. Pour cela, « nous avons besoin d’un accès immédiat et sans restrictions au nord. Si nous attendons que la famine soit déclarée, il sera trop tard, des milliers de personnes supplémentaires auront trouvé la mort », selon Cindy McCain.

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Un « cessez-le-feu humanitaire immédiat » rapide permettrait « de faire entrer suffisamment de nourriture, de médicaments et d’eau potable » dans les zones pour éviter une famine, abonde Berth Bechdol, mais un arrêt des hostilités « ne semble pas probable dans les jours ou semaines à venir ».

Selon le PAM, pour assurer les besoins alimentaires de base, il faudrait faire entrer à Gaza « au moins 300 camions par jour », particulièrement dans le Nord, où il n’a pu acheminer que neuf convois d’aide depuis le début de l’année. Les derniers 18 camions d’aide alimentaire ont été livrés dimanche soir à la ville de Gaza.

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Pour tenter d’acheminer davantage d’aide, des parachutages de nourriture ont été effectués et la communauté internationale a entrepris de livrer des vivres par la mer.

Mais ce couloir humanitaire maritime ouvert depuis Chypre, le pays de l’Union européenne le plus proche de la bande de Gaza, ne change pas la donne, selon Berth Bechdol. Tant les parachutages que les livraisons par la mer « sont plus symboliques qu’une véritable panacée », souligne-t-elle.

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après l’opération d’Israël à l’hôpital al-Chifa de Gaza-ville, ce que l’on sait de la situation sur place

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Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.
– / AFP Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.

– / AFP

Des Palestiniens déplacés se rassemblant dans la cour de l’hôpital Al-Chifa de Gaza, le 10 décembre 2023.

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GAZA – Depuis le début de la guerre entre Israël et le Hamas le 7 octobre, l’armée israélienne a conduit des opérations dans plusieurs hôpitaux de la bande de Gaza, notamment l’hôpital al-Chifa, en novembre. À chaque fois, le même motif invoqué : la présence de combattants du Hamas dans les locaux de ces structures de l’enclave palestinienne.

C’est dans ce même hôpital, le plus grand complexe hospitalier de la bande de Gaza, que Tsahal a mené une nouvelle opération ce lundi 18 mars, laquelle a déjà fait une vingtaine de morts. Comme de coutume, l’armée israélienne accuse le groupe à l’origine des attaques du mois d’octobre de se servir des établissements de santé comme centres de commandement.

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Par ailleurs, un porte-parole de Tsahal a appelé dans la matinée sur X la population civile à évacuer « immédiatement » la zone de l’hôpital pour aller « vers le sud », à près de 30 kilomètres de là. Le HuffPost revient point par point sur cette nouvelle opération militaire dans la bande de Gaza

Que s’est-il passé à l’hôpital al-Chifa ce lundi ?

L’armée israélienne a dit avoir été opposée à des combattants du Hamas au sein de l’enceinte de l’hôpital al-Chifa, situé dans le quartier al-Rimal de la ville de Gaza, sur lequel elle avait lancé une opération.

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Des habitants du quartier d’al-Rimal, où se situe l’hôpital, ont affirmé que « plus de 45 chars et véhicules blindés de transport de troupes israéliens » étaient entrés dans le quartier avant l’aube. Un journaliste de l’AFP a indiqué pour sa part que des frappes aériennes avaient visé plusieurs immeubles du quartier autour de l’hôpital et qu’il avait vu des « centaines de personnes, en majorité des enfants, des femmes et des personnes âgées fuir leur domicile » vers d’autres zones de Gaza-Ville.

Justifiant son opération par « la présence de terroristes haut gradés du Hamas » dans l’hôpital, l’armée israélienne a indiqué avoir échangé des tirs avec des membres du Hamas lui « tirant dessus depuis plusieurs immeubles de l’hôpital ».

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Tsahal a aussi publié une vidéo dans laquelle elle montre ce qu’elle dit être des armes et de l’argent utilisés par le Hamas ou le Jihad islamique, une autre organisation armée palestinienne, et saisis dans l’hôpital.

Qui a été tué ?

L’armée israélienne a dit avoir « éliminé » lors des combats Fayq Al-Mabhouh, qu’elle présente comme un « responsable de la coordination d’activités terroristes du Hamas dans la bande de Gaza ». « De nombreuses armes ont été localisées dans la pièce adjacente à celle où il a été éliminé », a-t-elle précisé.

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Selon une source policière, qui a confirmé sa mort, Al-Mabhouh était général de brigade dans la police de la bande de Gaza, où le Hamas a pris le pouvoir en 2007. Il est le frère de Mahmoud Al-Mabhouh, l’un des fondateurs de la branche armée du Hamas, selon son entourage. Mahmoud Al-Mabhouh avait été tué en 2010 à Dubaï, le Hamas avait alors accusé Israël.

L’armée israélienne a aussi annoncé avoir tué une vingtaine de combattants palestiniens. « Vingt terroristes ont été éliminés jusqu’ici à l’hôpital al-Chifa dans plusieurs affrontements et des dizaines de suspects interpellés sont actuellement interrogés », a-t-elle indiqué dans un communiqué.

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Comment a réagi le Hamas ?

Dans un communiqué, le Hamas a accusé l’armée d’avoir « ciblé les bâtiments » d’al-Chifa en étant « indifférente aux patients, aux équipes médicales et aux personnes déplacées ».

Le ministère de la Santé du Hamas à Gaza a indiqué que « des dizaines de milliers » de personnes se trouvaient dans le complexe hospitalier où vivent des personnes déplacées en raison des combats. « Le ministère de la Santé appelle toutes les institutions internationales à cesser immédiatement ce massacre contre les malades, les blessés, les déplacés et le personnel médical à l’intérieur de l’hôpital », a-t-il ajouté sur Telegram.

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pour éviter l’attaque sur Rafah, Biden invite les Israéliens à Washington

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Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.
JIM WATSON / AFP Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.

JIM WATSON / AFP

Joe Biden, ici en septembre 2023 lors d’un meeting avec Benjamin Netanyahou, a mis en garde le Premier ministre israélien contre une attaque sur Rafah.

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INTERNATIONAL – Attention danger. Joe Biden a une nouvelle fois mis en garde Benjamin Netanyahu contre une opération d’ampleur à Rafah, lors d’une conversation ce lundi 18 mars, la première depuis plus d’un mois entre les deux dirigeants, dont la relation s’est nettement refroidie.

Une offensive terrestre majeure de l’armée israélienne à Rafah, dans le sud de la bande de Gaza, serait « une erreur », a déclaré le conseiller à la sécurité nationale américain Jake Sullivan lors d’un point presse, en assurant qu’Israël ne lancerait pas d’opération avant la tenue, « dans les jours qui viennent », de discussions à Washington sur le sujet.

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Le président américain a dit une nouvelle fois au Premier ministre israélien être « profondément inquiet » si les Israéliens venaient à attaquer cette localité où plus d’un million de civils palestiniens sont réfugiés, a dit le conseiller.

Une opération militaire d’envergure contre Rafah, à la frontière avec l’Égypte, « conduirait à plus de victimes innocentes, aggraverait la situation humanitaire déjà grave, renforcerait l’anarchie à Gaza et isolerait encore plus Israël » sur la scène internationale, a averti Jake Sullivan.

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Trouver une « autre approche »

« Israël ne nous a pas présenté de plan expliquant comment, ou vers où, ils évacueraient ces civils, encore moins comment ils les logeraient ou les nourriraient », a-t-il ajouté.

Lors de l’échange que les deux dirigeants ont eu lundi, le président américain a demandé l’envoi aux États-Unis d’une délégation israélienne pour discuter de ce projet d’offensive, et le chef du gouvernement israélien a accepté, a précisé le conseiller.

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Cette discussion doit aussi porter sur la possibilité d’une « autre approche » visant à frapper le Hamas à Rafah sans passer par une offensive terrestre majeure, selon lui.

Jake Sullivan a indiqué s’attendre à ce qu’Israël s’abstienne de lancer une opération à Rafah avant que cette discussion à Washington n’ait lieu. « Nous partageons l’objectif de battre le Hamas, mais nous pensons qu’il faut une stratégie cohérente et durable pour y arriver », a-t-il encore dit. Il a toutefois estimé qu’Israël avait « fait des progrès importants » contre le groupe palestinien.

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Marwan Issa, numéro 3 du Hamas, tué

Le conseiller à la sécurité nationale américain a ainsi confirmé que le numéro trois du Hamas, Marwan Issa, avait été « tué lors d’une opération israélienne la semaine dernière » à Gaza.

L’armée israélienne avait fait état d’une frappe aérienne « dans le centre de la bande de Gaza, près de Nuseirat », contre une « base souterraine », qui était « utilisée par deux hauts dirigeants de l’organisation (dont) Marwan Issa ».

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Israël n’avait toutefois pas confirmé la mort de l’homme, né en 1965, qui était l’adjoint de Mohammed Deif, le chef des brigades al-Qassam, la branche armée du Hamas.

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Poutine invité du G20 au Brésil ? Macron demande à Lula une décision « consensuelle »

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Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.
LUDOVIC MARIN / AFP Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.

LUDOVIC MARIN / AFP

Le président brésilien Luiz Inacio Lula da Silva (à droite) et le président français Emmanuel Macron (à gauche) lors de la cérémonie de signature de l’accord bilatéral au palais du Planalto à Brasilia, le 28 mars 2024.

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INTERNATIONAL – Garder l’esprit du club. Depuis Brasilia, Emmanuel Macron a estimé qu’une invitation de Vladimir Poutine au sommet du G20 devrait faire l’objet d’un consensus au sein du club des pays les plus industrialisés. « Le sens de ce club, c’est qu’il faut que ce soit consensuel avec les 19 autres, ce sera le travail de la diplomatie brésilienne » a-t-il déclaré lors d’une conférence de presse commune avec son homologue Luiz Inacio Lula da Silva.

Une déclaration préventive, alors que l’évènement doit se dérouler en novembre prochain au Brésil. « S’il y a un rendez-vous qui peut être utile, il faut le faire. Si c’est un rendez-vous qui n’est pas utile et qui crée de la division, il ne faut pas le faire », a estimé Emmanuel Macron. Il faut être « au service de la paix et de l’intérêt commun », a-t-il insisté.

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Macron fait le parallèle avec sa situation en août 2019

Le chef de l’État français a également rappelé qu’il s’était lui-même posé la question d’inviter Vladimir Poutine au sommet du G7 en France en août 2019 mais que faute de consensus, il y avait renoncé pour le convier à une rencontre séparée quelques jours auparavant à sa résidence d’été de Brégançon. « La situation était moins grave mais enfin, la guerre avait commencé et la Crimée avait déjà été prise et je n’avais pas eu le consensus des autres. Certains m’avaient dit : “Si tu les invites, moi je ne viendrai pas, ça va bloquer” », a-t-il raconté.

Depuis le début de l’offensive russe en Ukraine en février 2022, la question de la présence du maître du Kremlin se pose à chaque sommet du G20. Il ne s’est finalement pas rendu à ceux organisés en Indonésie en 2022 et en Inde en 2023. Le président russe est visé par un mandat d’arrêt émis par la Cour pénale internationale (CPI) qui l’accuse de crimes de guerre pour la déportation d’enfants ukrainiens.

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Lula avait d’abord assuré que Vladimir Poutine recevrait une invitation à se rendre au G20 de Rio et qu’il n’y aurait pas « de raison qu’il soit arrêté », avant se raviser. À l’issue du sommet de New Delhi en septembre 2023, il a finalement déclaré qu’il appartiendrait à la justice de son pays de décider de l’arrestation de son homologue russe s’il se rendait à Rio, tout en disant espérer que « d’ici là, la guerre sera(it) terminée ».

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À Marseille, Macron face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

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À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza
CHRISTOPHE ENA / AFP À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

CHRISTOPHE ENA / AFP

À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

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POLITIQUE – « J’ai vu la détresse. » Emmanuel Macron a dû longuement se justifier ce mardi 19 mars au matin face à un habitant de la cité de la Castellane de Marseille qui lui reprochait de pratiquer « deux poids, deux mesures » dans son action en Ukraine et à Gaza.

« On a donné tous les moyens qu’il faut à l’Ukraine pour pouvoir défendre ses droits. Aujourd’hui, qu’est-ce qu’on fait pour la Palestine, monsieur Macron ? », s’est indigné cet habitant, Ahmed Saïd, en l’accusant de « verser de l’eau dans le sable » avec l’action humanitaire de la France.

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« Nous faisons avec les moyens qui sont les nôtres, qui sont ceux de la diplomatie, de l’action humanitaire », a répondu le président de la République, en visite surprise dans la deuxième ville de France à l’occasion d’une opération d’envergure de démantèlement du trafic de drogue.

Macron dit « faire tout » pour empêcher une opération à Rafah

À cette occasion, le chef de l’État a déambulé parmi les habitants de la cité, où il a été interpellé sur divers sujets. Une nouvelle fois, la situation à Gaza a été évoquée, cette fois par une femme en pleurs qui a insisté sur le sort des enfants palestiniens, comme vous pouvez le voir ci-dessous. « Je partage votre détresse et je l’ai entendue », lui a dit le chef de l’État.

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« On a soigné 1.000 Palestiniens sur le bâtiment militaire (Dixmude) (…) On a livré des médicaments et des vivres avec les Jordaniens et les Égyptiens », a encore plaidé le président devant son premier interlocuteur.

Cet habitant lui a aussi reproché de ne pas avoir fait comme l’Afrique du Sud qui avait saisi la Cour internationale de justice fin décembre en accusant Israël de perpétrer un « génocide » à Gaza. « La France n’est pas sur la ligne et n’aura pas la ligne de l’Afrique du Sud parce que les termes qui ont été employés, les actions de justice internationale ne correspondent pas non plus à la vérité sur le terrain », s’est expliqué Emmanuel Macron.

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« On n’a pas les moyens de faire une opération (militaire à Gaza) », a-t-il souligné en assurant « faire tout » pour empêcher une opération israélienne à Rafah, dans le sud de l’enclave. Avant d’ajouter, quelques minutes plus tard, devant les journalistes : « J’ai bien vu la détresse, je comprends ça… Cela ne doit nourrir aucune haine au sein de la République. »

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l’opération à al-Chifa « sabote » les négociations, accuse le groupe islamiste

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De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)
– / AFP De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

– / AFP

De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

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INTERNATIONAL – Est-ce que tout va capoter, encore une fois ? Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a accusé ce mardi 19 mars Israël de « saboter » les négociations qui s’intensifient en vue d’une trêve dans la bande de Gaza avec son opération lancée lundi avant l’aube contre l’hôpital al-Chifa.

L’action des forces israéliennes « dans le complexe médical d’al-Chifa confirme leur volonté d’empêcher toute reprise d’une vie décente à Gaza et de démanteler des infrastructures essentielles », a-t-il déclaré dans un communiqué.

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« Cela révèle aussi une volonté de saboter les négociations en cours à Doha » et « de semer le chaos et perpétuer la violence », a-t-il ajouté, en exigeant « la fin de l’agression, le retrait des forces d’occupation de Gaza, et le retour des déplacés ».

Ces déclarations du chef du Hamas interviennent alors que des discussions sont en cours à Doha autour d’une trêve de six semaines et d’un échange d’otages retenus à Gaza contre des prisonniers palestiniens.

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« Des dizaines » de combattants tués, se vante Israël

L’armée israélienne a lancé lundi à l’aube une opération d’envergure contre l’hôpital al-Chifa, le plus grand complexe hospitalier du territoire palestinien.

Elle a affirmé mardi avoir tué « des dizaines » de combattants du Hamas et du Jihad islamique dans le complexe hospitalier et à ses abords, et avoir arrêté « plus de 300 suspects » lors de cette opération qui était toujours en cours mardi soir. Des centaines de civils ont dû fuir depuis lundi le secteur bombardé.

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Les forces israéliennes avaient déjà pris d’assaut l’hôpital al-Chifa le 15 novembre, avant de s’en retirer.

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