Connect with us

Health

Did Bruno Le Maire stifle this report on the highways? Opposition demands to read it

Published

on

Spread the love
The Minister of the Economy photographed on leaving the Élysée Palace on November 23 (illustration)
BERTRAND GUAY / AFP The Minister of the Economy photographed on leaving the Élysée Palace on November 23 (illustration)

BERTRAND GUAY / AFP

The Minister of the Economy photographed on leaving the Élysée Palace on November 23 (illustration)

Advertisement

POLITICS – They don’t see the report. And that annoys them. This Wednesday, January 25, several elected opposition members were indignant following an article by the chained duck, claiming that the Minister of Economy Bruno the Mayor has ” muffled » a report by the General Inspectorate of Finance on the exceptional profits recorded by motorway concessionaires.

According to the weekly, this expert mission comprising 65 pages and delivered in February 2021 falls under “ much higher profitability than expected “: 12% against 7.67%, corresponding to the rate targeted by the State at the time of the transfer of the management of the motorways in 2006. Advocating a “realignment of profitability”, the inspectors of Finance propose several solutions. Among them, the drop of nearly 60% in toll prices.

Advertisement

Another scenario illustrative ” envisaged: a levy by the State of more than 63% of the gross surplus generated by the two most profitable companies in the sector, and this ” until the end of the concessions “. Which would bring the state 55.4 billion, but which would be illegal in the present state of the law. Reason for which the report leans for the reduction of the tariffs.

In short, enough to provide material for reflection on superprofits (that Bruno Le Maire said he did not know) remained a dead letter, and give food for thought to the opposition, who are demanding to know more about the said report.

Advertisement

“Kind with the powerful, terrible with the people”

Hello Bruno Le Maire, this article raises many questions. We ask to see this report. The national representation, like the French, are entitled to it “, reacted in a tweet the president of the socialist group in the National Assembly, Boris Vallaud.

While the French and the French struggle, we learn that Bruno Le Maire stifled a report from his services which recommended lowering toll rates by 60% because private companies have indecent margins. It’s not acceptable ! “, Indignant the rebellious deputy of Ariège, Bénédicte Taurine.

Advertisement

When Bruno Le Maire protects the superprofits of motorway concessionaires while saying that the coffers are empty to finance our pensions. Kind to the powerful, terrible to the people sums up his colleague from Bouches-du-Rhône Manuel Bompard, of his concert with the Insoumis de la Somme, François Ruffin.

On the other side of the political spectrum, on the far right, the revelations of the “Duck” also caused a reaction. ” Why so much hate against motorists? asks the RN mayor of Perpignan Louis Aliot, recalling that toll prices will increase by 4.75% on average in February.

Advertisement

Nearby chained duck, the Ministry of Transport sweeps away the definitive diagnosis carried out by the General Inspectorate of Finance, stating that ” the levels calculated by the Transport Regulatory Authority do not show any excess profitability “.

In his latest reportthis same body nevertheless observed a 47% increase in net profits over the year 2021, which had piqued the curiosity of elected officials who are connoisseurs of the subject, such as of centrist senator Vincent Delahayewhich calls for a review of the contracts entered into with the companies concerned. In September 2020, a Senate report pointed out ” exceptional profitability of these companies, providing 40 billion euros of gain by 2036. Requested by The HuffPostBruno Le Maire’s teams have not yet responded.

Advertisement

See also on The HuffPost:

Advertisement

Advertisement

Health

L’adénomyose, cette « endométriose interne » mal connue par la médecine

Published

on

Spread the love
Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans
Kinga Krzeminska / Getty Images Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans

Kinga Krzeminska / Getty Images

Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans

Advertisement

SANTÉ – Avez-vous déjà entendu parler de l’adénomyose ? Cette pathologie, qui pourrait concerner plus de 10 % des femmes selon les chiffres de l’association EndoFrance, est aussi souvent appelée « endométriose interne ». Car si l’endométriose prolifère en dehors de la cavité utérine, l’adénomyose, elle, est interne à l’utérus.

Tout comme l’endométriose, l’adénomyose n’a pas de conséquences sur le pronostic vital de la personne qui en souffre, mais peut être très douloureuse et causer des problèmes de fertilité. Focus sur cette pathologie encore peu comprise et peu étudiée.

Advertisement

L’adénomyose, qu’est-ce que c’est ?

Selon l’institut franco européen multidisciplinaire d’endométriose, une structure de soins privée exclusivement dédiée à la prise en charge de l’endométriose, l’adénomyose se définit par une « série de modifications survenues strictement à l’intérieur de l’utérus, qui conduisent à la présence de muqueuse utérine (endomètre) à l’intérieur de la couche musculaire de l’utérus (myomètre) ». Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantenaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans.

La Haute Autorité de Santé souligne que même si les deux pathologies sont différentes, l’adénomyose et l’endométriose sont souvent associées, suggérant qu’elles pourraient avoir une « origine commune » non identifiée. Elles ne vont pas obligatoirement de pair : il est possible d’avoir de l’adénomyose sans endométriose, et inversement.

Advertisement
Advertisement
Advertisement

Les symptômes de l’adénomyose

Le manuel MSD de connaissances médicales décrit les symptômes reconnus de l’adénomyose comme comprenant des « menstruations abondantes et douloureuses (dysménorrhée) », des « douleurs vagues de la région pelvienne » et « une sensation de pression sur la vessie et le rectum ». Les douleurs pendant les rapports sexuels et les douleurs inter-menstruelles sont aussi mentionnées dans les signes évocateurs d’adénomyose.

Une étude publiée dans le journal de l’association médicale canadienne précise que jusqu’à 30 % des femmes atteintes d’adénomyose sont asymptomatiques. D’autres formes peuvent être extrêmement douloureuses et invalidantes, sans que la recherche ne puisse encore établir pourquoi. Par ailleurs, une étude menée sur 1 865 patientes en parcours de FIV a constaté une part plus élevée de fausses couches chez celles qui étaient atteintes d’adénomyose. Sur ce point, la Haute Autorité de Santé reste prudente, et affirme que « l’adénomyose semble avoir un effet négatif sur le taux de grossesse, mais la part de l’adénomyose est difficile à évaluer en cas d’endométriose associée. De plus, le diagnostic d’adénomyose reste mal définir. » Le rapport précise au conditionnel que « les taux de fausses couches sembleraient supérieurs en cas d’adénomyose ».

Advertisement

Le diagnostic de l’adénomyose

L’adénomyose fait partie des pathologies difficiles à identifier. En effet, pour poser un diagnostic avec certitude, il est nécessaire d’analyser des tissus de l’utérus qui ne peuvent être obtenus que par la réalisation d’une hystérectomie (ablation de l’utérus), ce qui n’est pas une possibilité pour les personnes qui souhaitent une grossesse.

Plusieurs indicateurs peuvent tout de même permettre de diagnostiquer l’adénomyose avec une certaine précision, notamment les images par échographie pelvienne et par IRM. En effet, l’adénomyose provoque une augmentation globale du volume de l’utérus qui prend alors un aspect arrondi, ce qui peut être repéré à l’imagerie.

Advertisement

Traiter l’adénomyose

À l’heure actuelle, les traitements contre l’adénomyose permettent d’en limiter les symptômes sans incidence sur l’origine de la pathologie. Les patientes peuvent se voir proposer un dispositif intra-utérin hormonal, ou encore l’usage de pilule contraceptive pour réguler leur cycle. En cas d’échec de ces traitements, pour les personnes qui ne désirent pas (ou plus) de grossesse, l’hystérectomie peut être préconisée.

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Health

La maladie d’Alzheimer bientôt détectée avec un smartphone ?

Published

on

Spread the love

Chaque année en France, 225 000 nouveaux cas de maladie d’Alzheimer sont diagnostiqués, souvent tardivement. Le parcours est loin d’être simple : tests de mémoire, imagerie, ponction lombaire… Alors améliorer et faciliter le diagnostic de cette maladie neurodégénérative est un enjeu de taille. Dans cette voie, des chercheurs américains et allemands ont publié des travaux notables dans la revue npj Digital Medicine ce 26 mars 2024 (source 1).

Ils ont en effet mis au point des tests de mémoire spécifiquement conçus pour être réalisés simplement via un smartphone. Ils permettraient de « détecter avec une grande précision les déficiences cognitives légères », selon un communiqué du centre de recherche qui a mené l’étude (source 2). La méthode mise au point par les chercheurs serait même « comparable aux évaluations en clinique », selon le Pr David Berron, co-auteur de l’étude. Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont étudié leur application auprès de près de 200 personnes âgées de plus de 60 ans aux États-Unis et en Allemagne.

Advertisement

Divers tests réalisables en autonomie

Advertisement

Les tests de mémoire de l’application consistent à se souvenir d’images, ou à reconnaître des différences entre plusieurs images. « Les évaluations réalisées à l’aide de l’application sont interactives et comprennent trois types de tâches de mémoire. Ces tâches concernent différentes zones du cerveau qui peuvent être affectées par la maladie d’Alzheimer à différents stades de la maladie », explique le Pr Emrah Düzel, auteur de l’étude.

L’atout majeur de cette méthode est qu’elle peut être réalisée de façon autonome, à la maison par exemple. « Il est avantageux de pouvoir effectuer ces tests soi-même et de n’avoir qu’à se rendre au cabinet du médecin pour évaluer les résultats. Les tests non supervisés permettraient de détecter plus tôt les troubles de la mémoire cliniquement pertinents et de suivre la progression de la maladie de plus près qu’il n’est possible de le faire actuellement. Compte tenu de l’évolution récente de la thérapie de la maladie d’Alzheimer et des nouvelles possibilités de traitement, le diagnostic précoce devient de plus en plus important », d’après le professeur Düzel.

Advertisement

Notre étude montre que les troubles de la mémoire peuvent être évalués de manière significative à l’aide de cette approche numérique, à distance et non supervisée. Pr Düzel.

L’application déjà utilisée par des médecins et essais cliniques

Advertisement

Les résultats sont si notables que l’application est déjà « proposée aux médecins pour faciliter la détection précoce des troubles de la mémoire », ont précisé les chercheurs dans le communiqué. « Cette technologie a un potentiel énorme pour fournir aux cliniciens des informations qu’ils ne peuvent pas obtenir lors de la visite d’un patient à la clinique », a précisé le Pr David Berron. Leur méthode est aussi déjà utilisée dans des études cliniques de recherche sur la maladie d’Alzheimer dans plusieurs pays.

L’équipe de chercheurs ne compte pas s’arrêter là. Leurs études continuent, sur un plus grand nombre de personnes. Ils souhaitent également savoir si leur méthode « peut être utilisée pour suivre la progression de la maladie d’Alzheimer sur une plus longue période », selon leur communiqué. « Il est important pour les médecins et les patients de disposer d’informations sur la rapidité avec laquelle la mémoire décline au fil du temps. Elles sont également importantes pour les essais cliniques, car les nouveaux traitements visent à ralentir le rythme du déclin cognitif », conclut le Pr David Berron. Cette étude montre une nouvelle fois le potentiel de la technologie, et notamment des applications mobiles, pour la recherche et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer.

Advertisement
Continue Reading

Health

Jude Law soutient Judith Godrèche et salue les progrès des dernières années

Published

on

Spread the love
Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.
Mondadori Portfolio / Mondadori Portfolio via Getty Im Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.

Mondadori Portfolio / Mondadori Portfolio via Getty Im

Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.

Advertisement

PEOPLE – Si certains préfèrent jouer les langues de bois, Jude Law ne mâche pas ses mots. Depuis que Judith Godrèche a pris la parole et rappelé l’importance du mouvement #MeToo, elle incarne une nouvelle vague du mouvement en France. L’actrice française a en effet porté plainte en février contre les réalisateurs Jacques Doillon et Benoît Jacquot, dénonçant des violences sexuelles et physiques qui remonteraient à son adolescence. Ce qui lui vaut, notamment, le soutien de l’acteur britannique.

Après un discours poignant sur la scène des César, Judith Godrèche avait déjà reçu le soutien de plusieurs personnalités du cinéma français, parmi lesquelles son ex-mari Dany Boon, François Civil ou encore la réalisatrice césarisée et oscarisée Justine Triet.

Advertisement

Et alors qu’il est en pleine promotion du Jeu de la reine de Karim Aïanouz, Jude Law a lui aussi salué le courage de l’actrice. Interviewée par Le Figaro le 26 mars, la star de The New Pope a déclaré que « quel que soit le métier que l’on exerce, on doit pouvoir le faire sans crainte, dans un environnement sain. (…) Humilier ou violenter au nom de l’art, de la création ? Ce sont des conneries ! Un agresseur reste un agresseur », a-t-il déclaré.

Les monstres comme Henri VIII doivent rester de la fiction

Le Jeu de la reine raconte l’histoire vraie de Catherine Parr (Alicia Vikander), sixième épouse du monarque anglais Henri VIII (Jude Law). Surnommé « Barbe bleu », il est célèbre pour le traitement monstrueux qu’il a infligé à ses compagnes. Parmi les six, deux ont été décapitées et deux autres répudiées. Conscient du rôle terrifiant qu’il incarne, Jude Law a rappelé que « le monde du travail ne doit pas ressembler à la cour d’Henri VIII, dominée par la peur ». Un euphémisme.

Advertisement

L’acteur de Sherlock Holmes n’est pourtant pas défaitiste et remarque que l’industrie du cinéma a été positivement influencée par les vagues #MeToo successives. « En Angleterre, depuis l’affaire Weinstein, l’industrie du cinéma a pris conscience que ces agissements ne pouvaient pas continuer. Depuis le moment où j’ai commencé, il y a trente ans, les choses ont changé. Il y a plus de respect, de considération entre les gens ». Si « tout n’est pas parfait » il insiste cependant que le fait que l’« on avance dans la bonne direction ».

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Health

En 2024, les tarifs des hôpitaux publics vont augmenter, découvrez de combien

Published

on

Spread the love

Se faire soigner va coûter plus cher. Dans un entretien accordé aux Echos, le ministre délégué à la Santé Frédéric Valletoux a annoncé une modification des tarifs dans les hôpitaux publics. Pour l’année 2024, la facture va grimper de 4,3 % pour les établissements publics et privés non lucratifs et de 0,3 % pour ceux qui appartiennent au secteur privé lucratif.

« Le budget 2024 prévoit 105,6 milliards pour les établissements de santé, contre 102,5 milliards l’an dernier. On a connu il y a une dizaine d’années des tarifs en diminution, là ils augmentent, avec environ +4,3 % pour les établissements publics et privés non lucratifs et +0,3 % pour le secteur privé lucratif », a détaillé le ministre délégué à la Santé dans les colonnes du journal économique.

Advertisement

Pour justifier la différence de tarifs entre le secteur et le public, Frédéric Valletoux souligne que le secteur privé a connu une forte dynamique ces dernières années. « Cela explique que ses tarifs augmentent moins vite car la régulation des tarifs dépend aussi des volumes d’activité. La croissance de l’activité du privé est forte et va logiquement soutenir les résultats financiers des établissements privés ».

Frédéric Valletoux ajoute que « le secteur privé a bénéficié d’une partie de l’aide exceptionnelle de 500 millions débloquée en début d’année par le gouvernement pour accompagner les établissements face à leurs besoins de trésorerie ». Autre annonce, celle d’un « soutien spécifique pour des segments auxquels nous souhaitons accorder une priorité, qu’il s’agisse de la médecine, la pédiatrie, les greffes, la maternité ou encore les soins palliatifs ».

Advertisement

« Une faute politique »

Advertisement

L’Agence France Presse rappelle que la grille des tarifs hospitaliers publics et privés pour 2024 aurait dû être publiée le 1er mars. Toutefois le gouvernement a fait voter une augmentation des dépenses de l’Assurance maladie de 3,2 % qui ne permet pas de couvrir les hausses tarifaires d’environ 10 % dont les hôpitaux estiment avoir besoin.

« Les tarifs dévolus au secteur privé, sans tenir compte de l’inflation, sont hors sol et obèrent gravement notre capacité collective à accomplir nos missions de soin dans les mois qui viennent », pointe la Fédération de l’Hospitalisation privée. Et d’ajouter : « Le gouvernement commet une faute politique en opposant les différents acteurs du système de santé. Non seulement la discrimination ne peut pas fonder une politique publique, mais surtout elle nuit gravement à la réponse aux besoins de soins des citoyens ».

Advertisement
Advertisement

Advertisement
Continue Reading

Health

à peine annoncée par Attal, la mesure fait l’unanimité contre elle

Published

on

Spread the love
Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)
JULIEN DE ROSA / AFP Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)

JULIEN DE ROSA / AFP

Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)

Advertisement

POLITIQUE – Alors que le déficit dérape, et que l’État éprouve un sérieux besoin de recettes pour renflouer les caisses, Gabriel Attal a confirmé ce mercredi 27 mars l’une de ses idées phares : s’en prendre à un régime excédentaire, alors que les effets bénéfiques d’une telle mesure sur le Budget restent à démontrer. Dit autrement, une (nouvelle) réforme « globale » de l’assurance chômage, consistant à réduire la durée d’indemnisation des chômeurs.

Le projet derrière l’annonce du Premier ministre : parvenir à un « modèle social qui incite davantage à l’activité » ce qui, par effet ricochet, participera à réduire le déficit. « Si nous avions le même taux d’emploi que nos voisins allemands, nous aurions beaucoup moins de problèmes avec nos finances publiques, car nous aurions des recettes fiscales et sociales plus importantes », a-t-il fait valoir mercredi soir sur TF1, suggérant donc que le système actuel (pourtant dans le vert financièrement) entretien l’inactivité.

Advertisement

Les oppositions vent debout

Sans surprise, cette piste qui risque d’aggraver les conditions de vie des moins de 50 % personnes sans emplois effectivement indemnisées, a fait bondir les oppositions. À gauche comme à droite. Patron du groupe LR à l’Assemblée, nationale, Olivier Marleix a dénoncé un « enfumage » de la part de Gabriel Attal. « En 2024 le déficit de l’État sera de 173 milliards d’euros. En 2024, l’assurance chômage sera excédentaire de 3 milliards d’euros. Où croyez-vous que le gouvernement propose un effort ? Chômeurs âgés, transports sanitaires… Oui. Train de vie de l’État… Rien », a-t-il dénoncé sur le réseau social X.

Député socialiste, Arthur Delaporte dénonce de son côté « une folie de plus » commise par l’exécutif. L’élu du Calvados en veut pour preuve le dernier rapport de la Dares (publié par des économistes du ministère du Travail), qui montre que la dernière réforme de l’assurance chômage a bien diminué le niveau de rémunération des chômeurs, mais sans pour autant avoir un effet significatif sur l’emploi.

Advertisement
Advertisement

« Le gouvernement vous fait les poches. Les milliardaires n’ont jamais payé aussi peu d’impôts, mais le Premier ministre s’attaque aux chômeurs. Vous cotisez, ils arrosent les multinationales. Les chômeurs seront privés d’indemnités, les riches continueront de se gaver », renchérit de son côté la députée LFI Clémence Guetté, quand sa collègue écolo Sandrine Rousseau accuse Gabriel Attal et Bruno Le Maire « de détruire l’identité française plus vite que n’importe qui ».

Présidente du groupe RN à l’Assemblée, Marine Le Pen a aussi fustigé cette annonce. « La réforme de l’assurance chômage est une escroquerie qui n’a qu’un seul but : faire les poches des Français pour renflouer les comptes de l’État qui sont en déficit à cause de l’impéritie du Gouvernement. Le régime est excédentaire, il n’y a aucune nécessité à le réformer ! », s’est-elle indignée sur le même réseau social.

Advertisement

« Cynisme absolu »

Cette réforme annoncée inquiète également du côté syndical. Dans la soirée, Denis Gravouil, négociateur de la CGT sur l’assurance chômage, est montée au créneau en assurant que le gouvernement veut « encore taper sur les précaires ou les chômeurs ». Même son de cloche pour la secrétaire générale du syndicat, Sophie Binet.

« L’obsession du gouvernement pour les privés d’emploi vire au trouble obsessionnel », a-t-elle dénoncé sur franceinfo, considérant que cette réforme s’inscrirait « en dehors de toute rationalité économique », puisque rien selon elle ne prouve que l’effet incitatif mis en avant par le Premier ministre. « Le régime d’assurance chômage ne peut pas être une variable d’ajustement budgétaire de l’État », a pour sa part prévenu la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon. François Hommeril , président de la CFE-CGC, a dénoncé à l’AFP un « discours populiste » au « cynisme absolu » qui « méconnaît ce que c’est la situation d’un chômeur confronté à la difficulté de retrouver un emploi », auquel « on va imposer des mesures de rétorsion comme s’il était responsable en partie ou en totalité de sa situation ».

Advertisement

Et qu’en pensent les économistes ? Avant l’intervention de Gabriel Attal au 20 heures de TF1, plusieurs spécialistes doutaient à haute voix de cette réforme envisagée par l’exécutif. « D’abord, durcir les règles de l’assurance chômage, ça ne crée pas d’emplois », expliquait mardi 26 mars à franceinfo, Bruno Coquet, spécialiste des politiques du marché du travail. « Il faut toujours se demander pourquoi les chômeurs non indemnisés ne reprennent pas d’emploi. Ce n’est pas parce qu’ils sont trop indemnisés », alertait-il. En vain, puisque c’est bien la trajectoire que semble l’exécutif.

« En faisant ça le gouvernement prend le problème à l’envers. Premièrement, depuis la réforme de 2019, il n’y a quasiment plus de situations dans lesquelles le travail est moins attractif que le chômage. Deuxièmement, le vrai problème de fond est que dans ce pays, depuis quinze ans, travailler ne permet plus à la majorité des gens de changer de niveau de vie. La question est comment faire pour que le travail paye plus, et non pour que le chômage paie moins », a déploré mercredi soir auprès de L’Opinion Antoine Foucher, ex-directeur général adjoint du Medef et ancien chef de cabinet au ministère du Travail du temps de Muriel Pénicaud de 2017 à 2020.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement

Advertisement
Continue Reading

Health

Cerveau : comment l’entretenir ? | Santé Magazine

Published

on

Spread the love

Notre cerveau garde sa faculté à fabriquer des neurones tout au long de sa vie. Encore faut-il l’entretenir ! Heureusement, il existe de nombreuses façons de l’entraîner. On vous en dit plus.

Comment booster son cerveau grâce à l’alimentation ?

Advertisement

L’alimentation joue un rôle dans le fonctionnement de notre cerveau de plusieurs façons, à court terme comme à long terme. 

Advertisement

Consommer du poisson deux fois par semaine

Il est recommandé de manger du poisson au moins deux fois par semaine, de préférence du saumon, des sardines et du maquereau. Ces poissons gras sont riches en oméga-3 à longue chaîne, notamment l’EPA et le DHA.

Advertisement

Un taux élevé d’EPA dans le plasma sanguin est associé à un moindre risque de maladie d’Alzheimer et de dépression. L’EPA aurait un effet anti-inflammatoire, tandis que le DHA est le principal composant lipidique des neurones, explique la Dre Pascale Barberger-Gateau, épidémiologiste à l’Inserm.

Consommer des aliments riches en sélénium et en vitamine D

Advertisement

Le poisson contient, par ailleurs, du sélénium, un antioxydant, et de la vitamine D, qui pourraient aussi contribuer à maintenir nos « cellules grises » en forme. Leur effet sera multiplié si l’on consomme le poisson accompagné de fruits et de légumes naturellement riches en nutriments antioxydants (vitamines C, caroténoïdes, polyphénols).

Le glucose est le principal carburant du cerveau. Il vaut mieux privilégier les sucres lents (céréales, pain complet…) qui libèrent dans le sang une dose progressive.

Advertisement

Contrôler ses facteurs de risque

Le diabète, le cholestérol et l’hypertension artérielle comptent parmi les pires ennemis du cerveau. Ils ont un impact délétère sur les vaisseaux sanguins. Or un cerveau, dans lequel la circulation sanguine se fait mal, ne peut pas donner sa pleine mesure. Raison de plus pour consommer des légumes verts, riches en vitamines B, qui font baisser le taux d’homocystéine dans le sang, un acide aminé dont l’élévation est toxique pour les neurones et le système cardiovasculaire.

Comment le psychisme influe sur le cerveau et la mémoire ?

Advertisement

Les émotions renforcent notre mémoire.

Elles sont un facteur-clé de la réactivation de nos souvenirs, confirme Pascale Gisquet, neurobiologiste au CNRS. Dans le cerveau, les émotions sont traitées par l’amygdale, une zone où se renforce le stockage des informations.

« Lorsqu’un souvenir est rattaché à une ‘étiquette’ émotionnelle, on s’en souvient mieux ». L’effet est le même que l’émotion soit douce ou amère. Beaucoup de gens se souviennent très précisément de ce qu’ils faisaient lorsqu’ils ont appris l’effondrement du World Trade Center, le 11 septembre 2001.

Advertisement

Vivre ses émotions

Advertisement

Mais si les émotions nous aident à mémoriser, il arrive parfois que le mécanisme s’emballe. Ainsi, les victimes de stress post-traumatique (après un viol, un attentat…) sont hantées par des images violentes qui tournent en boucle dans leur tête. De même, il arrive qu’une émotion trop intense bloque totalement les souvenirs, provoquant une amnésie traumatique.

L’actrice Annie Duperey a raconté dans un livre comment le souvenir du décès de ses parents, auquel elle a assisté, lui est revenu par bribes après des années d’amnésie, ajoute Pascale Gisquet.

Advertisement

Soigner sa dépression et son anxiété

Un stress chronique perturbe le fonctionnement du cerveau. L’imagerie cérébrale montre que chez les personnes déprimées ou anxieuses, l’hippocampe (aire cérébrale dédiée à la mémoire) est atrophié.

Advertisement

De même en cas de dépression, le cortex préfrontal (zone de la planification et de la prise de décision) tourne au ralenti. Les médicaments aident à sortir de cet état. Tous les antidépresseurs augmentent les taux des molécules chimiques (neuromédiateurs) qui facilitent le dialogue entre les neurones. Peu à peu, les facultés cognitives se rétablissent. Parmi les anxiolytiques, seules les benzodiazépines peuvent perturber la mémoire, mais de manière transitoire.

Comment stimuler son cerveau grâce à l’activité physique ?

Advertisement

Il est avéré que la pratique du sport a de nombreux effets positifs sur le cerveau.

Advertisement

Avoir une activité physique régulière

Des études ont montré que les personnes actives physiquement toute leur vie perdent moins de tissu cérébral à un âge avancé et leurs performances cognitives sont meilleures. Des chercheurs du Massachusetts General Hospital ont peut-être trouvé la raison de ce lien bénéfique entre activité physique et prévention du déclin cognitif (source 1). Ces derniers affirment qu’une hormone appelée « irisine » a la capacité de stimuler les avantages cognitifs de l’exercice. L’étude menée auprès de plusieurs souris révèle que l’irisine, sécrétée par les muscles pendant l’exercice, pourrait être une thérapeutique efficace pour traiter les déficits du cerveau résultant de la maladie d’Alzheimer…

Advertisement

Passer le plus de temps possible en extérieur

Advertisement

La marche dans la nature est un loisir que des chercheurs de l’Institut Max Planck encouragent à pratiquer tant ses bienfaits sur le cerveau sont nombreux. Leur étude publiée en juillet 2021 (source 2) montre en effet que cette habitude a un effet positif non seulement sur le bien-être général grâce à l’exposition au soleil, les heures de temps libre et l’activité physique, mais aussi sur la structure cérébrale. Selon les chercheurs, « ce constat confirme les effets positifs de la marche sur la santé et les prolonge par des effets positifs concrets sur le cerveau ». Sur la base de ces résultats, ils se prononcent pour la prescription de promenades en extérieur car elles pourraient être un moyen utile de contrer ces altérations neuronales et d’améliorer l’humeur.

Comment faire travailler son cerveau au quotidien ?

Advertisement

Le cerveau donne sa pleine mesure quand il est confronté à de nouveaux problèmes et qu’il doit s’adapter. Il est essentiel de ne jamais arrêter d’apprendre. Faire les devoirs avec ses enfants est, par exemple, un bon moyen de mobiliser vos méninges, tout en révisant vos connaissances. Mais vous pouvez aussi prendre des cours du soir, apprendre une nouvelle langue, voyager…

Advertisement

Faire des jeux, exercices et mots croisés pour muscler son cerveau

Selon un chercheur, jouer régulièrement à des jeux cérébraux (mots croisés, mots fléchés, etc.) aiderait à garder sa mémoire et à conserver une pensée claire. Une solution simple pour se protéger du déclin cognitif. Et pas question de réserver ces activités aux personnes âgées. Jouer à ce type de jeux dès le plus jeune âge aiderait à préparer le terrain pour éviter de développer des problèmes cérébraux. En entraînant son cerveau, il est alors possible de développer une plasticité des neurones.

Advertisement

« Mon idée à propos de ces types de jeux de mots est que si vous les appréciez et qu’ils vous lancent un défi, vous ne pouvez donc pas le faire en pilote automatique, vous devez vraiment y penser, alors cela apporte un bon objectif en termes de soutien de la santé du cerveau pour toute la vie », assure la Dre Jessica Caldwell, neuropsychologue à la Cleveland Clinic citée par le Daily Mail (source 3).

Advertisement

Pour une meilleure mémorisation, privilégiez le papier aux écrans

Tel est le constat dressé par une équipe de chercheurs de l’université de Tokyo dans une étude parue en mars 2021 (source 4). Celle-ci révèle que l’écriture sur du papier plutôt que via une tablette ou un smartphone peut conduire à une plus grande activité cérébrale lorsqu’il s’agit de se souvenir d’informations une heure plus tard. Et ce grâce aux informations complexes, spatiales et tactiles associées à l’écriture à la main sur du papier.

Advertisement

« En fait, le papier est plus élaboré et plus utile que les documents électroniques parce qu’il contient plus d’informations uniques pour un meilleur rappel de la mémoire », explique le Pr Kuniyoshi L. Sakai, qui a mené l’étude. « Notre message à retenir est d’utiliser des cahiers en papier pour les informations que nous devons apprendre ou mémoriser. » En clair, les cahiers en papier permettent de visualiser des informations spatiales plus complexes que le « papier » numérique, qui est uniforme, n’a pas de position fixe et disparaît lorsque l’utilisateur ferme son application.

Comment entraîner son cerveau grâce à la méditation ?

Advertisement

Nul besoin de s’adonner à la pratique de la méditation pendant des années pour en voir les bienfaits. Selon une étude scientifique parue en 2021 dans la revue Scientific Reports (source 5), huit semaines de pratique, à raison de 10 à 15 minutes cinq fois par semaine, suffiraient à modifier des schémas cérébraux et à améliorer les capacités d’attention.

Plus précisément, ces huit semaines de méditation avaient suffi à augmenter la vitesse de commutation entre les deux états de conscience du cerveau. Il s’agit du « réseau en mode par défaut », qui est actif lorsque le cerveau est éveillé et au repos, comme lorsque l’on rêvasse, tandis que l’autre est appelé « réseau d’attention dorsal », qui est sollicité lors des tâches demandant beaucoup d’attention. L’étude montre ainsi que la méditation améliore la connexion cérébrale entre et au sein de ces deux réseaux cérébraux, ce qui indique que cette pratique pourrait aider à passer plus rapidement et plus efficacement d’un état de rêverie à un état de concentration intense.

Advertisement

Désormais, les chercheurs s’attèlent à étudier les effets de la méditation sur le cerveau de personnes plus âgées, car ils estiment possible que cette pratique améliore les performances cognitives de patients atteints d’Alzheimer.

Garder un sommeil de bonne qualité

Pendant le sommeil, le cerveau consoliderait les connaissances acquises dans la journée. Ainsi, l’hippocampe pourrait transférer les informations nouvelles vers d’autres aires cérébrales, afin qu’elles soient stockées à long terme. En toute logique, le manque de sommeil perturbe cette belle mécanique.

Advertisement

Cuisine, lecture, marche, socialisation : il faudrait varier ses activités

Advertisement

Des mots croisés contre la démence, oui mais pas seulement. Selon une étude publiée en 2021 dans la revue Aging (source 6), davantage que de se lancer à corps perdu dans un seul hobby, il vaudrait mieux varier ses activités pour réduire son risque de démence. Exercice physique, socialisation, jardinage et/ou cuisine seraient ainsi une bonne combinaison de passe-temps à adopter dans le but de réduire son risque de déclin cognitif passé 65 ans.

L’étude a ici examiné les données de santé issues du National Institute of Aging du Canada, et a inclus 3 210 participants âgés de 65 à 89 ans. Tous ont été interrogés à propos de la fréquence à laquelle ils s’adonnaient à diverses activités. Les activités comprenaient la cuisine, la pâtisserie, la lecture, les jeux de cartes, la marche durant 20 minutes, la socialisation avec la famille ou des amis.

Advertisement

En recoupant ces données aux diagnostics de démence, les chercheurs ont observé une association significative entre diversité des activités pratiquées et risque de survenue d’une démence. Ils ont observé que l’importance de varier ses activités augmentait avec l’âge, tandis que l’importance de facteurs plus « anciens », tels que l’éducation et la mémoire de base.

« Les scientifiques pensaient que la génétique était le principal facteur influençant la santé cognitive, mais nos résultats montrent le contraire. Avec l’âge, votre choix d’activités quotidiennes est plus important que votre génétique ou vos compétences cognitives actuelles », a assuré le Pr Sylvain Moreno, co-auteur de l’étude dans un communiqué (source 7).

Advertisement
Continue Reading

Health

Pol-Henri Dieu réagit à son élimination du concours

Published

on

Spread the love
Pol-Henri Dieu réagit à son élimination
Julien THEUIL / M6 / Julien THEUIL / M6 Pol-Henri Dieu réagit à son élimination

Julien THEUIL / M6 / Julien THEUIL / M6

Pol-Henri Dieu réagit à son élimination

Advertisement

TÉLÉVISION – Il n’aura pas réussi à prendre les manchettes. Après avoir intégré « Top Chef 2024 » avec la veste de candidat solitaire, Pol-Henri Dieu a tenté de gagner à nouveau sa place dans une brigade. Malheureusement pour le candidat belge, cette nouvelle opportunité n’a pas été concluante. Il a été définitivement éliminé du concours culinaire de M6 diffusé ce mercredi 27 mars.

Pour le second épisode de la brigade cachée, Pol-Henri, surnommé « Popol », s’est retrouvé face à Thibault et Pierre-Pascal. Tous trois se sont affrontés sur un grand classique de la gastronomie française : la cuisson façon Wellington. Malgré un tartare de bœuf salué pour sa prise de risque et ses goûts, Pol-Henri n’a pas réussi à convaincre le chef étoilé Pierre Gagnaire et le critique gastronomique François-Régis Gaudry.

Advertisement

Après son élimination, il a accepté de répondre aux questions du HuffPost:

Le HuffPost : Quelles étaient vos motivations pour participer au concours ? 

Advertisement

Ça faisait trois ans qu’on se tournait autour avec la production. La première année, je ne pouvais pas, car j’avais l’ouverture d’un restaurant. La deuxième année, ils avaient déjà les participants nécessaires. Cette année, j’ai pris les devants et je les ai appelés. Je leur ai dit que j’étais partant. Ils m’ont demandé de m’inscrire et de faire toutes les étapes de présélection. Même si je connaissais déjà certains anciens candidats, je n’ai pas voulu leur demander des conseils. Je voulais être à la même échelle que tout le monde et éviter qu’on me dise que j’ai été pistonné.

Aviez-vous quelques appréhensions avant de débuter le tournage ? 

Advertisement

Je pense que ce que j’appréhendais le plus, c’était les caméras. Il faut faire attention à tout ce qu’on fait, car on va être regardé à la télévision. Ça met forcément une pression en plus. Il faut savoir qu’il n’y a pas que les caméras. Il y a aussi le journaliste qui nous pose beaucoup de questions pendant les épreuves. C’est assez déstabilisant. Pour la première épreuve, il faut s’habituer et apprendre à gérer tout ça en plus de sa cuisine.

« J’ai préféré jouer la carte de la sécurité »

Revenons justement à la première épreuve du concours autour de la poire. Vous optez pour la simplicité « pour éviter de (vous) mettre des bâtons dans les roues ». Pourquoi ?

Advertisement

Je suis parti du principe que je devais faire quelque chose que j’ai un peu l’habitude de faire, pour être sûr de réussir cette épreuve dans les temps. Lors de la première épreuve, on ne sait pas trop à quoi s’attendre, ni comment ça va se passer. Donc j’ai préféré jouer la carte de la sécurité, pour me lâcher un peu plus pour les autres défis.

Sur l’épreuve suivante, vous intégrez le concours en tant que candidat solitaire. Qu’avez-vous ressenti à ce moment-là ? 

Advertisement

J’étais très content de réussir cette épreuve et d’obtenir un coup de cœur avec mon assiette de rouget. Ça ne m’a absolument pas dérangé d’être candidat solitaire. Au contraire, ça nous dit que rien n’est perdu et qu’il va falloir donner plus que les autres pour récupérer des manchettes.

Si vous aviez pu intégrer une brigade, quel aurait été votre choix ?

Advertisement

Je n’avais pas spécialement de préférence. Je trouve que c’était plus facile de choisir une brigade et un chef les années précédentes. Là, avec 3 chefs d’équipe, le choix aurait été plus compliqué. J’aurais été ravi de pouvoir intégrer n’importe quelle brigade.

Au tout début de l’épreuve, on vous voit vous tromper de porte pour aller au garde-manger. Que s’est-il passé ?

Advertisement

Il faut savoir que je découvrais les cuisines de Top Chef sur cette épreuve. Je ne savais pas trop où il fallait passer pour aller au garde-manger. Donc je me suis dirigé où j’ai pensé qu’était le bon endroit (rires).

« Je suis fier de faire partie de la famille Top Chef »

Comment avez-vous réagi en recevant l’appel de Pierre Gagnaire ?

Advertisement

J’étais choqué. Au début de son appel, il ne bouge pas. Je ne savais pas si c’était une image ou si c’était vraiment lui. Au bout de 10 secondes, il me dit bonjour et là, j’ai compris que c’était bien lui. J’ai trouvé ça incroyable d’avoir cette deuxième chance. On va dire qu’on s’attendait à ce que la brigade cachée revienne cette année. Mais bon, les jours passent et je n’avais pas de nouvelles de la production. Franchement, le jour où j’ai reçu cet appel, je me disais juste avant que c’était terminé.

Avez-vous des regrets sur votre dernière assiette dans la brigade cachée ?

Advertisement

Oui et non. C’est passé, donc il ne faut pas regretter. C’est sûr qu’avec du recul, on se dit qu’on aurait pu faire d’une autre manière. Mais bon, si on ne vit que de ça, on arrête de vivre. Il faut vraiment accepter les choses comme elles sont, c’est le jeu.

Que retenez-vous de votre participation ?

Advertisement

Je pense que ce n’est pas donné à tout le monde de participer à un concours comme Top Chef. Je suis très content et en même temps très triste de partir. Comme je l’ai dit, on a parfois l’impression de sortir trop tôt. C’était une expérience magnifique et je suis fier de faire partie de la famille Top Chef.

Quels sont maintenant vos projets futurs ?

Advertisement

C’est un gros point d’interrogation pour le moment. Pour l’instant, je suis toujours chef consultant. J’aimerais vraiment me lancer comme chef à domicile pour des groupes de 10 à 15 personnes maximum. Être en contact avec les clients, leur préparer la cuisine que j’ai envie de faire et de partager quelque chose de fort avec eux. Peut-être qu’un jour, j’aurais un petit grain de folie qui me donnera envie d’avoir mon propre établissement. Mais pour le moment, ce n’est pas mon objectif.

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement

À lire aussi :

Advertisement
Continue Reading

Trending