
« La nuit des longs couteaux », « Je suis dans l’eau », « On vous attend », « Après Biya vous allez voir ».
Voilà quelques mots qui meublent le quotidien de notre pays ces derniers temps. Ils symbolisent les lignes de fracture qui prennent en épaisseur et en volume. Sans s’en rendre compte, nous construisons des narratifs qui phagocytent et préparent nos esprits à la violence, y compris la violence armée.
L’air du temps s’y prête. La polarisation de l’espace médiatique, sur fond d’affrontement ethnique et clanique (clan au sens large du terme)…
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