Connect with us

France

Boxe : Wilder, Fury, Joyce… quelle suite pour Anthony Joshua

Published

on

Spread the love

Opposé à l’Américain Jermaine Franklin, le boxeur britannique Anthony Joshua va tenter de se relancer après deux défaites. Avec une victoire samedi soir, il pourrait s’ouvrir de nouveau les portes d’un gros combat.

A 33 ans, Anthony Joshua vise sa première victoire depuis 2020, après ses deux revers contre Oleksandr Usyk qui lui ont fait perdre ses titres mondiaux des poids lourds de boxe.

Advertisement

Et pour se faire, le champion olympique de 2012 (24 victoires, dont 22 par KO, et 3 défaites) a changé d’entraîneur. Passant de Derrick James, basé à Dallas, à Robert Garcia.

Le combat contre Fury relancé ?

Le natif de Watford compte bien relancer sa carrière dans un ring à l’O2 Arena de Londres devant son public. Il sait qu’il n’a pas le droit à l’erreur s’il veut retrouver un gros combat. Car en effet, en cas de succès, «AJ» pourra prétendre à de nouvelles affiches prestigieuses.

Advertisement

Il sera ainsi possible d’imaginer un fameux combat contre Tyson Fury. Cet affrontement que tout le monde attendait pour l’unification pourrait se faire par la suite dans un affrontement très intéressant pour le Noble art.

Autre combat que les fans et spécialistes ont longtemps attendu : Deontay Wilder-Anthony Joshua. L’Américain, ex-détenteur de la ceinture WBC (dépossédé par Fury), serait partant pour l’affronter. A moins que ne s’organise un combat contre Joe Joyce, le Britannique invaincu qui veut affronter tout le monde.

Bref, les possibilités seront nombreuses pour Anthony Joshua, ce ne sera pas compliqué d’organiser un «super-combat». Peut-être moins dur que de l’emporter ce samedi soir…

Advertisement

Plongez dans l’univers des sports de combat avec L’Arène podcast

Advertisement

France

À Marseille, Macron face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

Published

on

Spread the love
À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza
CHRISTOPHE ENA / AFP À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

CHRISTOPHE ENA / AFP

À Marseille, Macron (ici le 19 mars) face aux accusations de « deux poids, deux mesures » entre Ukraine et Gaza

Advertisement

POLITIQUE – « J’ai vu la détresse. » Emmanuel Macron a dû longuement se justifier ce mardi 19 mars au matin face à un habitant de la cité de la Castellane de Marseille qui lui reprochait de pratiquer « deux poids, deux mesures » dans son action en Ukraine et à Gaza.

« On a donné tous les moyens qu’il faut à l’Ukraine pour pouvoir défendre ses droits. Aujourd’hui, qu’est-ce qu’on fait pour la Palestine, monsieur Macron ? », s’est indigné cet habitant, Ahmed Saïd, en l’accusant de « verser de l’eau dans le sable » avec l’action humanitaire de la France.

Advertisement

« Nous faisons avec les moyens qui sont les nôtres, qui sont ceux de la diplomatie, de l’action humanitaire », a répondu le président de la République, en visite surprise dans la deuxième ville de France à l’occasion d’une opération d’envergure de démantèlement du trafic de drogue.

Macron dit « faire tout » pour empêcher une opération à Rafah

À cette occasion, le chef de l’État a déambulé parmi les habitants de la cité, où il a été interpellé sur divers sujets. Une nouvelle fois, la situation à Gaza a été évoquée, cette fois par une femme en pleurs qui a insisté sur le sort des enfants palestiniens, comme vous pouvez le voir ci-dessous. « Je partage votre détresse et je l’ai entendue », lui a dit le chef de l’État.

Advertisement
Advertisement

« On a soigné 1.000 Palestiniens sur le bâtiment militaire (Dixmude) (…) On a livré des médicaments et des vivres avec les Jordaniens et les Égyptiens », a encore plaidé le président devant son premier interlocuteur.

Cet habitant lui a aussi reproché de ne pas avoir fait comme l’Afrique du Sud qui avait saisi la Cour internationale de justice fin décembre en accusant Israël de perpétrer un « génocide » à Gaza. « La France n’est pas sur la ligne et n’aura pas la ligne de l’Afrique du Sud parce que les termes qui ont été employés, les actions de justice internationale ne correspondent pas non plus à la vérité sur le terrain », s’est expliqué Emmanuel Macron.

Advertisement

« On n’a pas les moyens de faire une opération (militaire à Gaza) », a-t-il souligné en assurant « faire tout » pour empêcher une opération israélienne à Rafah, dans le sud de l’enclave. Avant d’ajouter, quelques minutes plus tard, devant les journalistes : « J’ai bien vu la détresse, je comprends ça… Cela ne doit nourrir aucune haine au sein de la République. »

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

l’opération à al-Chifa « sabote » les négociations, accuse le groupe islamiste

Published

on

Spread the love
De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)
– / AFP De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

– / AFP

De la fumée à Gaza-ville après une frappe d’Israël, le 18 mars 2024 (image d’illustration)

Advertisement

INTERNATIONAL – Est-ce que tout va capoter, encore une fois ? Le chef du Hamas, Ismaïl Haniyeh, a accusé ce mardi 19 mars Israël de « saboter » les négociations qui s’intensifient en vue d’une trêve dans la bande de Gaza avec son opération lancée lundi avant l’aube contre l’hôpital al-Chifa.

L’action des forces israéliennes « dans le complexe médical d’al-Chifa confirme leur volonté d’empêcher toute reprise d’une vie décente à Gaza et de démanteler des infrastructures essentielles », a-t-il déclaré dans un communiqué.

Advertisement

« Cela révèle aussi une volonté de saboter les négociations en cours à Doha » et « de semer le chaos et perpétuer la violence », a-t-il ajouté, en exigeant « la fin de l’agression, le retrait des forces d’occupation de Gaza, et le retour des déplacés ».

Ces déclarations du chef du Hamas interviennent alors que des discussions sont en cours à Doha autour d’une trêve de six semaines et d’un échange d’otages retenus à Gaza contre des prisonniers palestiniens.

Advertisement

« Des dizaines » de combattants tués, se vante Israël

L’armée israélienne a lancé lundi à l’aube une opération d’envergure contre l’hôpital al-Chifa, le plus grand complexe hospitalier du territoire palestinien.

Elle a affirmé mardi avoir tué « des dizaines » de combattants du Hamas et du Jihad islamique dans le complexe hospitalier et à ses abords, et avoir arrêté « plus de 300 suspects » lors de cette opération qui était toujours en cours mardi soir. Des centaines de civils ont dû fuir depuis lundi le secteur bombardé.

Advertisement

Les forces israéliennes avaient déjà pris d’assaut l’hôpital al-Chifa le 15 novembre, avant de s’en retirer.

À voir aussi sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

un soignant de la London Clinic a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte

Published

on

Spread the love
Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)
ANDREW MATTHEWS via AFP Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)

ANDREW MATTHEWS via AFP

Kate Middleton : un soignant de l’hôpital de la famille royale a tenté de lire son dossier médical, une enquête ouverte (Photo de Kate Middleton prise à la chappelle Saint George de Windsor, le 17 avril 2022)

Advertisement

FAMILLE ROYALE BRITANNIQUE – La frénésie autour de Kate Middleton au Royaume-Uni ne faiblit pas. Une enquête a été ouverte outre-Manche après qu’un agent de la London Clinic – où ont l’habitude de se faire soigner les membres de la famille royale – a tenté de lire le dossier médical de la princesse pendant qu’elle était hospitalisée pour sa mystérieuse opération de l’abdomen en janvier.

Selon le Daily Mirror, qui a révélé l’affaire, « au moins un membre du personnel aurait été surpris en train d’essayer d’accéder » aux notes médicales de la princesse. Selon le tabloïd, l’établissement a « contacté le palais de Kensington immédiatement après que l’incident ait été porté à son attention et assuré au palais qu’une enquête approfondie serait menée ».

Advertisement

Interrogé à ce sujet, Kensington Palace a déclaré que la faille de sécurité est « une question qui relève de la London Clinic », rapporte notamment The Guardian, qui précise que la police de Londres n’a pas confirmé si elle avait reçu des informations sur cette affaire.

Le Bureau des commissaires à l’information (ICO), équivalent de la Cnil en France, a en revanche confirmé avoir reçu un « rapport de violation » des données de la princesse et mener également des investigations.

Advertisement

Nouvelles apparitions et photos retouchées

Cette affaire survient alors que de nouvelles images de la princesse Kate ont été publiées lundi 18 mars au soir, la montrant souriante, à côté de son mari le prince William, sur un marché fermier à Windsor, dans l’ouest de Londres. Sur une vidéo diffusée notamment par le tabloïd The Sun, on voit Kate, 42 ans, en train de marcher les cheveux lâchés, vêtue d’un legging et d’un pull noirs, souriante.

Le Palais avait prévenu qu’elle ne reprendrait pas ses fonctions publiques avant Pâques. Mais la longue absence de la princesse, habituellement l’une des femmes les plus photographiées de la planète, a donné lieu à toutes sortes de théories.

Advertisement

La publication le 10 mars d’une photo de la princesse de Galles, tout sourire et entourée de ses enfants pour la Fête des mères, devait y répondre. Mais la découverte de multiples retouches sur ce cliché, son retrait par cinq des plus grandes agences de presse (dont l’AFP) qui l’avaient publié, et les plates excuses de Kate, qui a endossé la responsabilité en disant « s’essayer à l’édition », ont eu l’effet complètement inverse.

Depuis, sa santé inspire toutes sortes de théorie et certains sont visiblement prêts à tout pour avoir le fin mot de l’historie.

Advertisement

A voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

Marie Toussaint « assume » ce happening devant TotalÉnergies pour présenter une « mesure phare »

Published

on

Spread the love
Marie Toussaint et Marine Tondelier tiennent une banderole devant la tour de TotalÉnergies à La Défense, à Paris, ce 28 mars.
THOMAS SAMSON / AFP Marie Toussaint et Marine Tondelier tiennent une banderole devant la tour de TotalÉnergies à La Défense, à Paris, ce 28 mars.

THOMAS SAMSON / AFP

Marie Toussaint et Marine Tondelier tiennent une banderole devant la tour de TotalÉnergies à La Défense, à Paris, ce 28 mars.

Advertisement

POLITIQUE – Lorsqu’on imagine aller danser, on ne pense pas instinctivement à le faire devant le siège de TotalÉnergies. Pourtant, ce jeudi 28 mars, une vingtaine de militants écologistes vêtus de noir ont exécuté une chorégraphie à La Défense, au pied de la tour du groupe TotalÉnergies. Cette mise en scène était en réalité un moyen pour la candidate écologiste aux européennes Marie Toussaint de capter l’attention et de présenter l’une de ses « mesures phares ».

Marie Toussaint a expliqué vouloir créer un fonds de souveraineté écologique européen, qui serait « piloté par la banque européenne d’investissement » et doté d’un montant de 100 milliards d’euros. Ce fonds viserait à prendre une part majoritaire (51 % des droits de vote), dans les six entreprises pétro-gazières européennes « les plus polluantes » : TotalÉnergies, Eni, Repsol, OMV Petrom, Orlen, Wintershall Dea. Objectif : les inciter à sortir au plus vite des énergies fossiles, d’en finir avec les « dividendes liés aux énergies fossiles », et que « plus un seul puits de gaz ou de pétrole ne soit ouvert ».

Advertisement

« Ces entreprises portent atteinte aux conditions de vie sur Terre », a expliqué Marie Toussaint, rappelant que TotalÉnergies, par exemple, était impliqué dans 23 « bombes climatiques » (exploitations de gisement d’énergie fossile), comme l’avait révélé une enquête du Monde.

« L’Union européenne essaye d’agir sur son territoire, mais nous avons une responsabilité au niveau mondial (…) Comme le recommandent les scientifiques, comme le recommande l’Agence internationale de l’énergie, nous devons demander aux entreprises européennes de cesser tout investissement dans le pétrole et dans le gaz », a-t-elle encore développé.

Advertisement

Une question d’interprétation des traités européens

Et pour couper court à toute critique sur l’organisation de ce happening pour présenter sa mesure, Marie Toussaint a indiqué sur Twitter « assumer » ce choix. « L’artivisme est un des moyens choisis depuis toujours par la génération climat. Nous assumons ! », a-t-elle écrit. « Mais le fond du sujet, c’est la reprise en mains de Total. On en parle ? ».

Pour les écologistes, cette action est d’autant plus marquante que le groupe gazier et pétrolier fête ce jeudi son centenaire, et qu’il vient de perdre son combat en justice contre l’ONG Greenpeace, qui l’accuse de sous-estimer son empreinte carbone.

Advertisement

Affirmant que « certains secteurs sont suffisamment stratégiques pour être pilotés par la puissance publique », Marie Toussaint a estimé que l’Europe était « la bonne échelle pour agir ». « Les traités européens permettent » ce fonds « quand on les interprète dans la bonne direction », assure-t-elle, « puisqu’ils ont dans leurs objectifs la sauvegarde de la planète ».

Pour financer ce fonds, elle a rappelé que 330 milliards d’euros de subventions ont été accordés en 2022 aux énergies fossiles dans l’UE. Parmi les autres sources de financement possible, un impôt sur la fortune dédié au climat.

Advertisement

À ses côtés, la patronne des Écologistes Marine Tondelier a acquiescé : « C’est courageux, c’est juste. Certains vont nous dire que c’est trop ambitieux, mais dans quelques années, on se demandera pourquoi on ne l’a pas fait plus tôt ».

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

le ministère des Armées dénonce cette campagne de désinformation

Published

on

Spread the love
Visuel publié sur les réseaux sociaux par le ministère des Armées.
Ministère des Armées / Capture d’écran X Visuel publié sur les réseaux sociaux par le ministère des Armées.

Ministère des Armées / Capture d’écran X

Visuel publié sur les réseaux sociaux par le ministère des Armées.

Advertisement

DÉFENSE – « Alerte désinformation ». Le ministère français des Armées a dénoncé ce jeudi 28 mars sur X (ex-Twitter) un faux site internet reprenant son logo officiel et invitant 200 000 Français à « s’engager en Ukraine », opération semblable à d’autres du même type attribuées à des intérêts russes ou pro-russes.

« L’URL d’un site “s’engager en Ukraine” qui reprend la charte graphique des sites gouvernementaux circule actuellement sur X », indique le ministère. « Ce site est un faux site gouvernemental, relayé sur les réseaux sociaux par des comptes malveillants, pour une campagne de désinformation ». Le site en question, inaccessible en fin de matinée, invitait les volontaires à laisser leurs coordonnées. « Les immigrés sont prioritaires », précisait-il notamment, en proposant de discuter avec « Capitaine Paul, commandant d’unité ».

Advertisement
Advertisement

L’organisme français de lutte contre les ingérences numériques étrangères, Viginum, contribuait à l’enquête, a indiqué à l’AFP le cabinet du ministre, Sébastien Lecornu. « Les services du ministère sont mobilisés aux côtés de Viginum pour faire la lumière sur cette manoeuvre informationnelle ciblant la France », a précisé le cabinet, dénonçant « une usurpation d’un site officiel de l’armée de terre ».

« La marque d’un dispositif russe »

Selon une source gouvernementale, le site a été désactivé par les services français. Le ministère des Armées ne désignait officiellement jeudi aucune piste quant aux auteurs du faux. Mais un haut responsable français a indiqué à l’AFP qu’il portait « la marque d’un dispositif russe ou pro-russe, dans le cadre de la campagne de désinformation selon laquelle l’armée française se préparerait à envoyer des hommes en Ukraine » se battre contre la Russie.

Advertisement

« Tout converge : le narratif, la méthode. Il y a une manœuvre », a-t-il ajouté sous couvert de l’anonymat, évoquant, entre autres exemples récents, des images de convois français circulant prétendument vers la frontière ukrainienne diffusées récemment sur les réseaux sociaux. Une campagne qui n’est pas sans conséquence puisque certains élus, à l’image de la députée insoumise Sophia Chikirou, relaient des théories s’inscrivant dans ce narratif trompeur.

Après être longtemps resté sur la défensive face aux assauts informationnels russes, Paris s’est lancé ces dernières semaines dans une dénonciation musclée et méthodique des multiples tentatives de déstabilisation ciblant la France, téléguidées, selon les autorités françaises, par Moscou pour saper le soutien de l’opinion publique à la cause ukrainienne.

Advertisement

Dans une interview au Figaro jeudi, le chef de Viginum, Marc-Antoine Brillant, révèle que l’organisme a identifié l’an passé près de 230 phénomènes inauthentiques sur les réseaux sociaux, dont une douzaine d’ingérences étrangères. « C’est 40 % de plus qu’en 2022 », précise Marc-Antoine Brillant. « La Russie s’affirme comme l’acteur le plus agressif sur le champ informationnel ».

De fait, les attaques informationnelles russes semblent se multiplier contre la France alors que Paris a récemment conclu un accord sécuritaire bilatéral avec Kiev, Moscou dénonçant l’« implication croissante » de Paris dans le conflit. Le président français Emmanuel Macron a par ailleurs évoqué fin février l’éventualité d’un envoi de militaires occidentaux en Ukraine, créant une controverse jusqu’au sein du camp occidental.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

Un chimiquier avec 11 personnes à son bord chavire au large du Japon

Published

on

Spread the love

Advertisement
Advertisement

INTERNATIONAL – Les appels de détresse n’auront pas suffi. Huit membres de l’équipage d’un navire-citerne battant pavillon sud-coréen sont décédés, mercredi 20 mars, après le naufrage de leur tanker au large du Japon, selon les garde-côtes japonais.

« Leur décès a été confirmé à l’hôpital », a déclaré un porte-parole, après avoir dans un premier temps annoncé que les personnes avaient été secourues. Une autre personne se trouve dans un état stable, après une délicate opération de sauvetage comme vous pouvez voir dans la vidéo en tête d’article. Deux autres sont toujours portées disparues.

Advertisement

Le bateau « transportait de l’acide acrylique, mais on ne sait pas s’il y a une fuite dans l’océan », a précisé le porte-parole. Il a ajouté ne pas avoir d’informations sur l’état de santé des six personnes secourues, qui ont été emmenées à l’hôpital.

Produits chimiques et hydrocarbures

Des images de la chaîne de télévision japonaise NHK ont montré la coque rouge renversée d’un bateau, un radeau de sauvetage et un navire des garde-côtes ballottés par de fortes vagues ainsi qu’un hélicoptère survolant le bateau.

Advertisement

L’équipage a prévenu les garde-côtes tôt mercredi que le navire chavirait et a demandé de l’aide près de l’île de Mutsure, au large de la côte sud-ouest du Japon, selon la NHK.

Les garde-côtes japonais ont reçu un appel de détresse peu après 07H00 locales (22H00 GMT mardi) prévenant que le bateau « tanguait », a encore dit le porte-parole.

Advertisement

D’après la NHK, le navire porte le nom de Keoyoung Sun. Selon le site spécialité vesselfinder.com, il s’agit d’un tanker de produits chimiques et d’hydrocarbures construit en 1996 et mesurant 69 mètres de long.

Son opérateur n’a pas souhaité faire de commentaire.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

France

En Russie, les gérants d’un bar risquent jusqu’à dix ans de prison pour « extrémisme LGBT+ »

Published

on

Spread the love
Pour la première fois, deux Russes risquent 10 ans de prison pour « extrêmisme LGBT+. Photo d’illustration.
KIRILL KUDRYAVTSEV / AFP Pour la première fois, deux Russes risquent 10 ans de prison pour « extrêmisme LGBT+. Photo d’illustration.

KIRILL KUDRYAVTSEV / AFP

Pour la première fois, deux Russes risquent 10 ans de prison pour « extrêmisme LGBT+. Photo d’illustration.

Advertisement

INTERNATIONAL – Des sanctions qui deviennent de plus en plus concrètes. Deux gérants d’un bar en Russie ont été placés, ce mercredi 20 mars, en détention provisoire pendant deux mois pour « extrémisme » LGBT+ et risquent jusqu’à dix ans de prison. Cette décision intervient dans un contexte où le pays dirigé par Vladimir Poutine réprime de plus en plus fortement les minorités sexuelles.

Le directeur artistique et l’administratrice du bar « Pose » sont accusés d’avoir une « orientation sexuelle non traditionnelle » et de « soutenir également les opinions et les activités de l’association publique internationale LGBT interdite » en Russie rapporte le communiqué partagé par le tribunal d’Orenbourg.

Advertisement

Des policiers avaient effectué une descente dans ce bar durant la nuit du 9 mars, a affirmé Mediazona qui a relayé une vidéo de la scène montrant des personnes allongées sur le sol, face contre terre, les mains sur la tête, entourées de policiers. L’établissement situé près de la frontière avec le Kazakhstan, avait annoncé sur les réseaux sociaux accueillir « une programmation avec des spectacles », sans donner plus de détails.

Il « s’agit de la première affaire pénale de ce type en Russie après la décision de la Cour suprême de classer (sous l’étiquette) extrémiste le mouvement LGBT », s’est félicitée Ekaterina Mizoulina, une militante défendant les « valeurs traditionnelles » prônées par Vladimir Poutine.

Advertisement

Les craintes se concrétisent

Depuis ces dernières années, les droits des minorités sexuelles ont été drastiquement limités sous l’impulsion de Vladimir Poutine, le président russe, qui, avec l’Église orthodoxe, assure vouloir éliminer de la sphère publique des comportements jugés importés d’Occident.

Plus récemment, en novembre dernier, la Cour suprême russe a banni le « mouvement international LGBT » pour « extrémisme », une formulation floue mais ouvrant la porte à de lourdes peines de prison. Désormais, les descentes de police et les intimidations dans les bars et les clubs ouverts aux LGBT+ sont de plus en plus fréquentes, ce qui en effraie plus d’un.

Advertisement

La cheffe de la branche russe de l’ONG Amnesty International, Natalia Zviaguina, a dénoncé ce mardi 19 mars l’ouverture en Russie de « la première enquête pour “extrémisme” en lien avec la communauté LGBT+ (…) Ce que les personnes LGBTI et les défenseurs des droits humains craignaient depuis la fin de l’année dernière s’est finalement concrétisé », a-t-elle déploré dans un communiqué.

La Russie avait aussi interdit en 2022 toute forme de « propagande » LGBT+ dans les médias, sur internet, dans les livres et dans les films tandis qu’en juillet 2023, les députés russes avaient également voté une loi interdisant notamment aux personnes transgenres les opérations chirurgicales et les thérapies hormonales.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Trending