Connect with us

News

“Avatar 2” devient le quatrième film le plus rentable du monde

Published

on

Spread the love

Le premier Avatar, sorti en 2009, est encore aujourd’hui le plus gros succès mondial au box-office.

“Avatar 2: la voie de l’eau” a continué de dominer le box-office nord-américain avec plus de 15 millions de dollars de recettes ce week-end, selon les estimations dimanche du cabinet spécialisé Exhibitor Relations, devenant le quatrième film le plus rentable de tous les temps.

Advertisement

Le long-métrage de James Cameron “est numéro 1 depuis sept semaines (…), un exploit n’ayant pas été égalé” depuis que le réalisateur a sorti le premier “Avatar” en 2009, a précisé le cabinet sur Twitter.

Plus de 2 milliards de recettes

Des recettes solides dans le reste du monde – y compris 237 millions en ventes en Chine – ont aidé à propulser “La voie de l’eau” à la quatrième place mondiale des films les plus rentables, avec 2,117 milliards (non ajustés pour l’inflation).

Advertisement

Cela signifie que James Cameron a maintenant son nom sur trois de ces quatre films les plus lucratifs: “Avatar”, “Titanic” et “La voie de l’eau”. “Avengers: Endgame” des studios Disney et Marvel vient s’insérer en deuxième place du podium.

La suite très attendue du blockbuster de science-fiction de 2009 se déroule plus d’une décennie après les événements du premier film et dans un espace aquatique.

Advertisement

En deuxième place ce week-end, on retrouve “Le Chat Potté 2: la dernière quête”, avec 10,6 millions de dollars. Dans ce film pour enfants tiré de l’univers de la saga “Shrek”, le félin se lance dans une aventure épique pour restaurer ses neuf vies. Troisième, “Le pire voisin du monde”, avec Tom Hanks (6,8 millions de dollars).

Le thriller “M3GAN”, l’histoire d’une effrayante poupée-robot, est à la quatrième place après avoir engrangé 6,4 millions de dollars. Le nouveau venu “Pathaan”, un film d’action indien, se hisse à la cinquième place, avec 5,9 millions de dollars.

Advertisement

Advertisement

News

les députés votent pour que les think tanks rendent publics leurs financements étrangers

Published

on

Spread the love
l’Assemblée nationale a étudié en première lecture une proposition de loi portée par le député Renaissance Sacha Houlié.
Thomas SAMSON / AFP

Un amendement d’une proposition de loi sur les ingérences étrangères portée par le député de la majorité Sacha Houlié contraint les laboratoires d’idée à rendre public tous les «dons et versements» venus de l’étranger.

«Dans le contexte mondial» actuel, la France est «particulièrement exposée aux tentatives d’espionnage et d’ingérence», alertait l’année dernière le patron de la DGSI Nicolas Lerner devant les députés français. Le chef du renseignement intérieur français prévenant les parlementaires notamment «sur les risques qu’il pourrait y avoir à attacher leur nom à telle entreprise ou à entrer dans tel conseil d’administration».

Advertisement

Mardi et mercredi, l’Assemblée nationale a étudié en première lecture une proposition de loi portée par le député Renaissance Sacha Houlié, et saluée par le gouvernement pour rompre avec «une forme de naïveté et de déni qui a longtemps prévalu». «La guerre sur notre continent a permis une prise de conscience collective quant à la nécessité de protéger notre souveraineté», a fait savoir l’élu de la majorité.

Selon un amendement déposé au premier article par le député Renaissance Benjamin Haddad, les laboratoires d’idée devront rendre public leurs financements étrangers. Cette mesure a pour objectif d’«améliorer la transparence et la lisibilité» de ces structures qui «contribuent au dynamisme du débat intellectuel français et éclairent le décideur politique dans son action», a rapporté sur X le député qui a lui-même officié comme chercheur en relations internationales, notamment au sein de l’Atlantic Council, think tank américain dont il a dirigé le centre «Europe». Les laboratoires d’idées «bénéficient d’exemptions fiscales ; il est donc naturel d’exiger la transparence de leur financement pour le grand public», s’est aussi réjoui le député après l’adoption de l’amendement.

Advertisement

Registre des intérêts étrangers

Le texte de loi a par ailleurs pour première ambition de créer un registre des «acteurs influant sur la vie publique française pour le compte d’une puissance étrangère». «Inspiré» de la législation américaine et britannique, ce registre, qui serait géré par la Haute Autorité pour la transparence de la vie publique (HATVP) a pour objectif notamment de «renforcer l’information des responsables publics et des élus sur la nature de leurs interlocuteurs étrangers». Sont concernés entre autres les lobbyistes, les communicants, les entreprises sous contrôle étatique ou les partis politiques étrangers. Si ces «représentants d’intérêts agissant pour le compte d’un mandant étranger» sont poursuivis pour avoir essayé de peser financièrement ou d’influer sur la décision publique ou l’opinion, ils encourent trois ans d’emprisonnement et 45.000 euros d’amendes ainsi que l’expulsion. Pour les personnes morales, l’amende peut d’élever à 255.000 euros.

Advertisement

À noter que, selon deux autres amendements déposés par le rapporteur, les États membres de l’Union européenne sont exclus de la définition de mandats étrangers, ainsi que les membres des personnels diplomatiques et consulaires en poste en France dûment habilités dans leur mission de représentation de leurs États.

Le texte de loi prévoit aussi la remise d’un rapport gouvernemental chaque année au Parlement sur la question des ingérences étrangères, l’extension de la procédure des gels d’avoirs à la lutte contre les ingérences étrangères et non plus seulement contre le terrorisme. Le texte propose enfin d’élargir la technique de l’algorithme, utilisé actuellement par le renseignement dans la lutte contre le terrorisme, à la défense nationale et des «intérêts majeurs de la politique étrangère» notamment contre les ingérences étrangères. Le texte est attendu à la chambre haute au mois de mai.

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

qui sont les 17 participants de la mise en situation ce jeudi ?

Published

on

Spread the love

Affaire Emile : qui sont les 17 participants de la mise en situation ce jeudi ?

Ce jeudi, une mise en situation a lieu au Haut-Vernet pour retracer les faits du jour de la disparition du petit Emile. 17 personnes ont été convoquées pour y participer.

L’essentiel

  • Le 8 juillet 2023, le petit Emile, âgé de deux ans et demi, a disparu sans laisser de traces au Haut-Vernet.
  • Ce jeudi, une mise en situation est en cours pour retracer de manière très précise les faits qui se sont produits le 8 juillet dernier, jour de la disparition du petit Emile.
  • 17 personnes ont été convoquées au Haut-Vernet : ils sont sur place depuis 9 heures.
  • La famille du petit garçon participe notamment ses grands-parents qui le gardaient le jour de sa disparition.
  • Deux témoins oculaires assurant avoir vu le petit garçon sont aussi présents.
  • L’objectif est de faire avancer l’enquête alors qu’à ce jour aucun scénario n’est privilégié.

En direct

Advertisement

13:27 – La mise en situation va s’accélérer

L’emploi du temps de la mise en situation est millimétré. Chacun devant reproduire avec la même temporalité ses actions, l’après-midi pourrait être plus productive puisque le jeune garçon avait disparu au réveil de sa sieste vers 16h30. Toutefois, les conditions ne sont pas similaires puisque de tels événements avaient eu lieu en été.

12:42 – Deux personnes verbalisées au Vernet

Une centaine de gendarmes sont déployés pour empêcher l’accès au village ce jeudi. A la mi-journée, deux personnes ont déjà fait l’objet d’une verbalisation pour non-respect de la zone d’interdiction. 

Advertisement

10:51 – La famille veut encore y croire

La famille d’Emile désespérée depuis des mois ne veut pas abandonner. Selon leur avocate, pour eux, “le seul espoir c’est que le petit soit toujours en vie, même si cet espoir s’amenuise de jour en jour”, comme le rapporte La Dépêche. Cette mise en situation pourra-t-elle leur apporter des réponses ?

10:41 – L’avocate du grand-père d’Emile arrivée au Haut-Vernet

Le grand-père d’Emile a fait l’objet de nombreuses suspicions. Le 20 mars dernier, le Canard enchainé avait lâché de lourdes révélations sur le passé de ce dernier. Ce jeudi, lors de la mise en situation, l’avocate du grand-père d’Emile, Me Isabelle Colombani est déjà présente sur les lieux.

Advertisement

10:36 – Le maire du Vernet garde espoir

Le maire du Vernet, François Balique, présent sur place a livré son ressenti sur la journée qui s’annonce, comme l’a rapporté Le Dauphiné Libéré : “Ce que je souhaite vraiment pour la commune et pour les habitants, et comme tous les Français qui s’intéressent à cette affaire, c’est que l’on trouve la cause de la disparition de cet enfant”. Il espère vivement que cette affaire ne devienne pas un “cas non-élucidé”. 

10:20 – La mise en situation débute

Lors de cette journée de mise en situation, chacun des participants va devoir reproduire ses actions du 8 juillet dernier dans la même temporalité. Le petit garçon serait sorti de la sieste vers 16h30 avant de disparaitre de chez ses grands-parents. Les 17 participants, famille et voisins notamment, vont se prêter à l’exercice. “On va rejouer de façon minutieuse l’emploi du temps des personnes présentes au Haut-Vernet le 8 juillet dernier. Une mise en situation qui devrait se terminer à 18 heures, heure à laquelle les grands-parents d’Emile préviennent la gendarmerie”, a précisé une source proche de l’enquête à BFMTV.

Advertisement

En savoir plus

Advertisement

Deux témoins oculaires qui avaient affirmé avoir aperçu Emile traversant le hameau, non loin de chez ses grands-parents, sont sur place. Le premier assure avoir vu l’enfant vers 16h30 en train de descendre la rue vers le lavoir alors que l’autre raconte qu’il remontait la rue vers 16h45. Leur venue à la mise en situation devrait permettre d’éclaircir et de vérifier la cohérence de leur témoignage respectif.

L’accès au hameau est bloqué ce jeudi pour ne pas entraver la mise en situation. Pour éviter toute intrusion, des dizaines de gendarmes ont été déployés.

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

les coupables arrêtés ? Deux ados interpellés, des aveux formulés

Published

on

Spread the love

Menaces terroristes dans les lycées : les coupables arrêtés ? Deux ados interpellés, des aveux formulés

Après le piratage des Espaces numériques de travail (ENT) deux frères ont été interpellés ce jeudi 28 mars à Malakoff dans les Hauts-de-Seine.

Selon les informations de BFMTV, qui s’appuie sur une source policière, ce jeudi 28 mars, deux frères âgés de 17 et 19 ans ont été interpellés ce jeudi matin dans la commune de Malakoff dans le département des Hauts-de-Seine, en Ile-de-France. Ces interpellations ont eu lieu dans le cadre de l’enquête autour des piratages des Espaces numériques de travail (ENT) dans de nombreux lycées et collèges de France la semaine dernière. France Info indique que le plus âgé des deux est soupçonné d’être l’auteur de plusieurs messages véhiculant des menaces d’attentats sur les ENT ainsi que de l’envoi d’une vidéo de décapitation. Selon la source de France Info, ce suspect aurait reconnu les faits.

Depuis le 20 mars, environ 130 établissements scolaires, collèges et lycées, ont été visés par des menaces terroristes transmises après avoir subi un piratage des Espaces numériques de travail. Ces menaces ont été reçues par les élèves mais également par les parents qui ont aussi accès à ces plateformes. Les auteurs de ces piratages avait lancé en parallèle une campagne de hameçonnage en utilisant un faux site internet semblable à celui de l’ENT. Ceci dans le but de récupérer des données, notamment les mots de passe des utilisateurs.

Advertisement

Suite à ces incidents, trois enquêtes ont été ouvertes par le parquet de Paris comme le précise France Info. Une première enquête est dédiée aux messages menaçants diffusés sur les ENT dans les établissements scolaires d’Ile-de-France dans la nuit du 20 au 21 mars dernier. La seconde se concentre sur les messages envoyés du mardi 19 au mercredi 20. La troisième enquête s’occupe quant à elle des autres messages envoyés dans toute la France. Le parquet de Paris a précisé auprès de France Info : “Elle a vocation à centraliser les enquêtes ouvertes des différents parquets concernant des messages diffusés via les ENT des autres ressorts régionaux”.

Comme le précise le média, ces enquêtes ont été ouvertes pour les motifs suivants : “atteintes à un système de traitement automatisé de données mis en œuvre par l’Etat”, “menaces de mort ou d’atteinte aux biens dangereuses pour les personnes à l’encontre d’un chargé de mission de service public”, “apologie du terrorisme au moyen d’un service de communication au public en ligne”, “provocation à acte de terrorisme”, “usurpation d’identité” et “divulgation d’information fausse afin de faire croire à une destruction dangereuse”.

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

la réforme de l’assurance-chômage annoncée par Gabriel Attal fait bondir les oppositions

Published

on

Spread the love

Invité sur le «20 Heures» de TF1 mercredi, le premier ministre a annoncé «une réforme de l’assurance chômage cette année».

Tombé mardi, le couperet de l’Insee a prestement laissé place à celui de Gabriel Attal mercredi. Au lendemain du dérapage du déficit public à 5,5% du PIB pour 2023, le premier ministre s’est rendu sur le plateau du «20 Heures» de TF1 pour dévoiler les arbitrages du gouvernement, actés plus tôt dans la journée lors d’un séminaire sur le travail à Matignon. Faisant sienne la sémantique de la «rigueur», jusqu’alors taboue, le chef du gouvernement s’est engagé à rétablir les finances publiques d’ici 2027.

Advertisement

S’il s’est refusé à augmenter les impôts pour les classes moyennes et les entreprises, Gabriel Attal s’est mis en tête de chercher des économies du côté de l’assurance chômage. Misant sur une entrée en vigueur «à l’automne», l’ancien ministre des Comptes publics a annoncé une réforme «cette année». Le locataire de Matignon a mis «plusieurs paramètres» sur la table, dont la durée de l’indemnisation et le temps de travail pour bénéficier du chômage. Tout en confiant sa «préférence» pour l’évolution du montant d’indemnisation du chômage.

«Faire les poches des chômeurs»

Le premier ministre a certes tenté de prévenir les critiques. «Mon objectif, ce n’est pas de m’en prendre à tel individu ou aux chômeurs, c’est de faire bouger un système pour inciter davantage à la reprise d’emploi», s’est-il défendu. Sans parvenir à empêcher les oppositions de monter au créneau. En lice pour les élections européennes, la numéro 1 de la liste de La France insoumise (LFI) Manon Aubry a ainsi appelé les électeurs à déposer un bulletin insoumis le 9 juin pour rejeter une réforme qui «fai[t] la poche des chômeurs plutôt que des profiteurs».

Advertisement

Même son de cloche chez son camarade de l’Assemblée nationale, Adrien Quatennens qui pointe des «riches épargnés» par les annonces de Gabriel Attal. «Les Français vont encore trinquer. Assez ! Le chômage est une souffrance. Il y a moins d’emplois non pourvus que de chômeurs. Vivement l’opération “place nette XXL” du peuple contre ce gouvernement des riches, par les riches, pour les riches !», a écrit sur X le député du Nord.

Chez les communistes, on livre un «résumé d’Attal au 20h» cinglant. «Les pauvres sont responsables de leur pauvreté, les chômeurs de leur chômage, les malades de leur maladie. En revanche, les grosses boîtes vont pouvoir continuer à se gaver tranquilles», a schématisé le sénateur Ian Brossat sur X.

Advertisement

Tandis que le secrétaire national du PCF Fabien Roussel s’en est pris aux «cadeaux aux grandes fortunes et aux actionnaires» faits par le gouvernement. La même indignation se fait entendre chez le patron du Parti socialiste (PS) Olivier Faure : «Pendant que le CAC 40 sable le champagne sur fond de records de dividendes, Attal pointe ceux qui ont eu le malheur de perdre leur emploi. Attal, le cynisme tranquille.»

Un régime «excédentaire»

À droite, où l’on appelle à une réforme de l’État et du modèle social, Olivier Marleix, chef de file des députés Les Républicains (LR), s’est désolé d’une coupe budgétaire absurde. «En 2024 l’assurance chômage sera excédentaire de 3 Mds€. Où croyez-vous que le gouvernement propose un effort ? Chômeurs âgés, transports sanitaires… oui», a-t-il ironisé. Et d’ajouter, lapidaire : «Train de vie de l’État… rien.»

Advertisement

Même constat de la patronne des députés du Rassemblement national (RN) : «Le régime est excédentaire, il n’y a aucune nécessité à le réformer !», s’est indignée Marine Le Pen. Laquelle dénonce «une escroquerie qui n’a qu’un seul but : faire les poches des Français pour renflouer les comptes de l’État qui sont en déficit à cause de l’impéritie du Gouvernement.» Son bras droit, lui, préfère mettre l’accent sur les propositions budgétaires du parti à la flamme. «Rien sur la réservation des aides sociales aux seuls citoyens français, rien sur le déverrouillage de la croissance. C’est à la fois mesquin et insuffisant», a écrit sur X la tête d’affiche lepéniste pour les européennes, Jordan Bardella.

Porteuse d’une voix dissonante, la tête de liste Reconquête ! Marion Maréchal ne trouve «pas choquant que l’on puisse toucher à la durée d’indemnisation» de l’assurance chômage.

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

Ce week-end sera historique pour les Français, ça n’arrive que tous les 10 ans

Published

on

Spread the love

Ce week-end sera historique pour les Français, ça n'arrive que tous les 10 ans

Ce dernier week-end de mars va être historique, les hasards du calendriers rendent cet événement extrêmement rare.

Il y a des week-ends dans l’année bien plus chargés que d’autres. Celui qui arrive, des 30 et 31 mars, sera même historique au vu de tous les événements qui tombent en même temps. Alors que le printemps a commencé, Pâques approche. Ce dimanche 31 mars, la fête religieuse fait déjà son retour. Elle commémore la résurrection de Jésus-Christ pour les chrétiens et a lieu le dimanche qui suit la pleine lune qui vient après l’équinoxe, date où la durée du jour est égale à celle de la nuit. Les enfants pourront alors s’amuser dimanche, mais aussi le lundi de Pâques férié, à chercher les œufs. Ce sera aussi l’occasion pour les familles de se réunir. 

Pâques ne sera pas la seule source d’amusement durant ce week-end de trois jours. Si le dimanche de Pâques tombe le 31 mars, le lundi sera bien le premier avril. Il s’agit évidemment du jour de la blague par excellence. La tradition veut que les enfants collent des poissons dessinés dans le dos des autres sans que la personne visée ne s’en rende compte. Il faut remonter en 1564 pour comprendre les origines du 1er avril. Au XVIe siècle, en France, Charles IX a mis fin au calendrier julien pour passer au géorgien, faisant commencer l’année au 1er janvier alors que celle-ci débutait auparavant en avril. Les gens s’offraient alors des cadeaux pour fêter la nouvelle année. Certains ont résisté et ont donc continué à échanger des présents qui sont progressivement devenus des petites farces.

Advertisement

Cette date correspond aussi à la fin du Carême, une période pendant laquelle les chrétiens ne devaient pas manger de viande. Alors ils s’offraient des poissons, ce qui pourrait expliquer la bascule vers le “poisson d’avril”. Une autre hypothèse évoque la période de la pêche. Les pêcheurs étaient privés de pratique au printemps pour que la faune marine se développe, des faux poissons leur étaient alors donnés pour les consoler ou à l’inverse les provoquer.

Attention, ce n’est pas tout. Il faudra, par ailleurs, surveiller sa montre. Le passage à l’heure d’été aura, en effet, lui aussi, lieu ce week-end. Il se déroulera dans la nuit du samedi 30 au dimanche 31 mars. A deux heures du matin, il sera déjà trois heures. Une heure de sommeil sera perdue mais une heure d’ensoleillement va être récupérée. Le changement d’heure a lieu deux fois dans l’année : au printemps, c’est toujours le dernier dimanche du mois de mars et en hiver cela tombe fin octobre. Figurez-vous que la conjonction entre le changement d’heure, Pâques et le 1er avril est très rare : la dernière fois, cela est survenu en 2013, la fois précédente en 2002… et la prochaine aura lieu dans plus de 20 ans !

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

impôts, semaine de 4 jours, chômage… Ce qu’il faut retenir

Published

on

Spread the love

Gabriel Attal au 20h : impôts, semaine de 4 jours, chômage... Ce qu'il faut retenir

Gabriel Attal était l’invité du 20 Heures de TF1 mercredi 27 mars. Alors que le déficit public a dérapé l’an dernier, le Premier ministre a parlé économie.

Selon l’Insee, le déficit pour 2023 a été de 5,5% alors que le gouvernement tablait sur 4,9%. Au lendemain de la publication de ces chiffres, l’interview du Premier ministre, Gabriel Attal, était particulièrement attendue ce mercredi 27 mars, le locataire de Matignon devant profiter de l’occasion pour dévoiler ses premiers arbitrages. Sans surprise, le chef du gouvernement l’a assuré : “L’objectif est de désendetter la France. On dépense aujourd’hui 50 milliards d’euros par an pour payer les intérêts de notre dette. Je préférerais les mettre dans les écoles, dans la police.”

Alors que l’objectif d’un déficit public en dessous des 3% d’ici la fin du quinquennat d’Emmanuel Macron, en 2027, était initialement visé, les chiffres de l’Insee n’ont pas rebattu les cartes pour Gabriel Attal, qui affirme qu’il doit être conservé. Les Français doivent-ils alors s’attendre à une augmentation des impôts, comme bon nombre le redoutent depuis hier ? “Soit vous augmentez les impôts, soit vous faites en sorte qu’il y ait encore davantage de gens qui travaillent pour avoir des recettes supplémentaires”, a estimé sur ce point le Premier ministre mercredi soir, précisant que le but de l’exécutif était avant tout “d’arriver au plein emploi”. Le locataire de Matignon a par ailleurs affirmé que l’État “n’augmentera pas les impôts dans les prochaines années pour les classes moyennes” ni ceux des entreprises, celles-ci permettant de financer le travail des Français. En revanche, Gabriel Attal n’a pas exclu de taxer davantage les plus riches et les super profits. 

Advertisement

​​​​​​​“Il y aura une réforme de l’assurance chômage dans l’année”, a par la suite annoncé le Premier ministre. Évoquant plusieurs pistes, Gabriel Attal a indiqué que la durée d’indemnisation pourrait éventuellement être réduite. “Aujourd’hui, c’est 18 mois. Une des pistes, c’est de réduire cette durée de plusieurs mois”, a estimé le locataire de Matignon, ajoutant qu’il ne faut pas que ça aille en dessous de 12 mois. Le temps qu’il faut avoir travaillé pour pouvoir bénéficier du chômage, aujourd’hui de six mois sur deux ans, pourrait également être revu. Néanmoins, le chef du gouvernement a laissé entendre que sa piste préférée était celle du “niveau d’indemnisation du chômage” et de la façon dont ce dernier “baisse pour inciter à reprendre un emploi”. Gabriel Attal souhaite en tout cas “que les paramètres soient présentés cet été, pour une réforme en automne”.

Si le Premier ministre a aussi déclaré vouloir revoir le système d’allègement des cotisations afin de davantage inciter à augmenter les salariés, il est également revenu sur la fameuse semaine de travail de quatre jours. S’opposant fermement à une réduction du temps de travail, il s’est dit ouvert à des expérimentations et “plus de souplesse”. Pour le locataire de Matignon, l’idée est avant tout d’”améliorer les conditions de travail”. Gabriel Attal a notamment donné l’exemple de Français qui ne peuvent pas télétravailler et qui aimeraient faire leur semaine sur quatre jours plutôt que sur cinq, ou la situation de parents célibataires qui apprécieraient de pouvoir travailler moins pendant leur semaine de garde des enfants et plus quand ils ne les ont pas. 

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

News

sous pression, Gabriel Attal mobilise ses ministres pour trouver des économies

Published

on

Spread the love
Gabriel Attal garde en tête sa promesse de «désmicardiser la société française», comme il l’avait formulé, il y a deux mois, lors de son discours de politique générale.
Abdullah Firas/ABACA

RÉCIT – Le premier ministre a réuni ce mercredi à Matignon ses troupes pour un séminaire axé sur l’incitation au travail.

Au petit matin, ce mercredi, le mercure frôle déjà les 30 °C au Brésil, où se trouve Emmanuel Macron. Le voyage officiel du chef de l’État en Amérique du Sud coïncide avec une canicule historique dans la région. Mais à Paris aussi, l’air est devenu étouffant ces derniers jours. Au lendemain du dérapage inédit du déficit public, qui a atteint 5,5 % du PIB en 2023, Gabriel Attal a convoqué ce mercredi ses ministres à Matignon pour un séminaire gouvernemental sur le très vaste sujet du «travail». Avant d’enchaîner le soir même sur le plateau du «20 Heures» de TF1, où, tout en «posant les jalons» des réformes à venir, il a écarté toute nouvelle hausse d’impôts pour les classes moyennes. Façon de montrer que, même en l’absence du président, à l’autre bout du monde, le premier ministre tient solidement la barre. Et surtout, qu’il ne compte pas perdre la main sur le chantier de l’emploi, l’une des grandes lignes de sa feuille de route initiale.

Advertisement

Un peu plus tôt, les ministres étaient d’ailleurs…

Cet article est réservé aux abonnés. Il vous reste 80% à découvrir.

Advertisement

Vente Flash

4,49€/mois pendant 12 mois

Advertisement

Déjà abonné ?
Connectez-vous

Advertisement
Continue Reading

Trending