Connect with us

Health

After the Hanouna attacks, Sophia Aram looks back on her story with her mother

Published

on

Spread the love
sophia aram
YouTube screenshot sophia aram

YouTube screenshot

Sophia Aram, here in her column on France Inter, Monday March 20.

Advertisement

CONTROVERSY – While the falling out with Cyril Hanouna does not fall, Sophia Aram ventures into more personal territory. This Monday, March 20, the comedian once again returned, in her column for France Inter, to the attacks she was subjected to by the host of C8 and her fans. And to take the opportunity to address the legal history of his mother, an element which was tackled in the middle of the show the controversial presenter.

To all those who keep telling me that my mother deserves to spend her days in prison, I would like to tell them that I agree with them. “, she said in particular. “Obviously, for dumb people like Hanouna and her horde of fanzouzes, it’s a bit complicated to understand, but like all children who have had a delinquent and abusive parent – and my mother was both – it’s a point of view quite common “Blowed Sophia Aram.

Advertisement

What’s next after this ad

Why didn’t she ever say it? ” I was ashamedcontinues the columnist. […] I’ve been ashamed for almost fifty years. » Referring to the approach of menopause, she says she thought: “I said to myself that I could take the opportunity to decide to rid myself of the guilt of having had a delinquent and abusive mother. »

Advertisement

“I have been silent for twelve years”

Attentioncontinues Sophia Aram. I have always thought that no one is responsible for the actions of their parents and that the only thing that can be blamed on someone is to take over the moldy heritage of their parents, a bit like a daughter would take over the political heritage of a small family business such as that bequeathed by Jean-Marie Le Pen to his daughter Marine. »

Monday March 13, and after a column by Sophia Aram in which she knocked out the arrival and the lunar remarks of the conspirator Gérard Fauré in TPMP, Cyril Hanouna spoke about the legal history of Khadija Aram. ” She is accused of having fooled people in an irregular situation by dangling residence permits while she was deputy mayor of Trappes. Not pretty…”, attacked Cyril Hanouna. Before concluding : “ Sophia you already have a job with your family, let us go! »

Advertisement

What’s next after this ad

But Sophia Aram is fed up with being shoved into this affair after each column. ” And I’ve been silent for twelve years. Even when Nadine Morano attacked me on my mother I didn’t dare say anything “, she laments. According to Sophia Aram, the words of Cyril Hanouna say it all ” about him, about his violence, about the importance he places on heredity and blood, as a bearer of indignity, ignominy or downgrading… But still nothing from me. “End of the pass of arms? Surely not, knowing the pleasure that C8 and TPMP take in prolonging this kind of skirmish.

Advertisement

See also on The HuffPost :

Advertisement

Advertisement

Health

comme Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou et Édouard Philippe pensent à être candidafts

Published

on

Spread the love
Comme Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou pourrait être candidat aux européennes.
SEBASTIEN SALOM-GOMIS / AFP Comme Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou pourrait être candidat aux européennes.

SEBASTIEN SALOM-GOMIS / AFP

Comme Jean-Luc Mélenchon, François Bayrou pourrait être candidat aux européennes.

Advertisement

POLITIQUE – La surprise des chefs ? François Bayrou et Édouard Philippe pourraient être candidats aux élections européennes. Le Parisien affirme en effet ce jeudi 28 mars qu’Emmanuel Macron verrait d’un très bon œil la présence des présidents du MoDem et d’Horizons, ses principaux alliés, sur la liste menée par Valérie Hayer.

Et les deux ne sont pas contre. C’est en tout cas ce qu’ils ont affirmé à BFMTV dans la foulée de l’information publiée par Le Parisien, laissant la porte ouverte à ces candidatures. De quoi imaginer les deux cadors de la Macronie à Bruxelles ? Pas du tout. S’ils figurent sur la liste, ce serait en position non-éligible.

Advertisement

Le but : créer une dynamique autour de la campagne de Valérie Hayer et montrer un front uni pour ces élections qualifiées à plusieurs reprises « d’existentielles » par le locataire de l’Élysée. Un peu comme Jean-Luc Mélenchon, présent sur la liste de Manon Aubry pour essayer de lui donner de l’élan.

Accélérer le tempo

Parmi les questions qui agitent les débats autour de la composition de cette liste, la place de Stéphane Séjourné, le patron de Renaissance, qui devait mener la campagne avant de faire son entrée au gouvernement, figure aussi en bonne position.

Advertisement

« Stéphane a été directeur de campagne il y a 5 ans, il était le président de notre délégation au parlement européen, c’est le secrétaire général du parti… Il a évidemment toute sa place », expliquait le directeur de la campagne Pieyre-Alexandre Anglade aux journalistes en milieu de semaine. Une présence, là aussi, pour motiver les troupes et favoriser une dynamique ?

Il faut dire que le tableau est délicat pour le camp présidentiel à deux mois et demi du scrutin. La liste menée par Valérie Hayer accuse un retard de plus de 10 points sur celle du Rassemblement national de Jordan Bardella, selon notre compilateur de sondages. Pire, elle pourrait être menacée par la candidature de Raphaël Glucksmann, la seule qui bénéficie d’une dynamique derrière l’extrême droite.

Advertisement

L’heure est donc à l’accélération du tempo. Après avoir nommé les porte-parole de campagne, Clément Beaune (Renaissance), Nathalie Loiseau (Horizons) et Marie-Pierre Vedrenne (Modem), le camp présidentiel veut mener une opération « neuf de Pâques » lors du week-end pascal, afin de sensibiliser les électeurs à la date du 9 juin.

Le camp présidentiel souhaite également faire imprimer des tracts départementalisés pour commencer à les distribuer sur le terrain début avril. Sur ces documents personnalisés (600 000 tirages) figureront notamment des informations sur ce que l’Union européenne a permis dans les départements en question.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Health

Fatigue surrénale : est-ce que ça existe vraiment ?

Published

on

Spread the love

“La fatigue surrénale, cela ne veut rien dire”, affirme d’entrée de jeu le docteur Jean Tafazzoli, médecin généraliste.  Pourtant, beaucoup de thérapeutes tentent d’expliquer la fatigue chronique par un ralentissement des glandes surrénales. Vendre des compléments alimentaires, dispenser des consultations pour prescrire des plantes médicinales… Les motivations de ces professionnels ne manquent pas. Mais tout est-il bon à jeter ?  Essayons de démêler le vrai du faux afin de ne pas commettre d’erreur dans votre quête d’un diagnostic. 

Advertisement

Qu’est-ce que la fatigue surrénale ?

Lafatigue surrénale n’est pas une notion médicalement validée. “Cela s’appelle même de la pseudo-science”, renchérit le docteur Jean Tafazzoli. ” La seule pathologie qui existe est l’insuffisance surrénale qui se diagnostique par des tests sanguins”. La fatigue surrénalienne (qui serait une forme atténuée de l’insuffisance surrénale) fait partie de la “complosphère”, c’est “une maladie imaginaire”, déplore l’expert. 

Advertisement

Néanmoins certains scientifiques approuvent l’existence de cette condition lui offrant une crédibilité. Ces experts attestent que la fatigue surrénale correspond à un état de fatigue chronique liée à un épuisement des glandes surrénales. 

Advertisement

Une fatigue qui serait liée à l’épuisement des glandes surrénales

Selon Raphaël Perez, docteur en pharmacie spécialiste en santé naturelle, la fatigue chronique est mal connue en France : ” En langue française, on a du mal à appeler un chat, un chat (…). En anglais, quand nous parlons de fatigue chronique, nous parlons d’adrenal fatigue ou de fatigue des glandes surrénales”, explique le fondateur de la chaîne Youtube éponyme. 

Advertisement

Vous l’avez donc compris, pour certains scientifiques mais aussi beaucoup de naturopathes, la fatigue chronique s’explique physiologiquement par des glandes surrénales qui se mettent en grève. La cause de cet épuisement ? Le stress chronique, selon eux. Les glandes surrénales finissent notamment par réduire leurproduction de cortisol, une hormone sécrétée par elles en situation de stress et qui permet l’éveil durant la journée. 

Advertisement

Une théorie non valable pour beaucoup de médecins

Si vous pensez souffrir de fatigue surrénale, vous aurez sans doute du mal à convaincre votre médecin traitant ou votre endocrinologue d’une telle hypothèse :

Advertisement

Quand on vient me voir pour une maladie imaginaire, je m’en tiens à la biologie de base. J’essaie tout de même d’expliquer au patient les raisons pour lesquelles je ne peux pas prendre en considération ces théories (sans être condescendant). Je propose une prise en charge médicale cohérente pour que le patient saisisse la différence entre ce qui tient du médical et ce qui tient du marketing. Surtout que de mon côté, je n’ai rien à vendre. Docteur Jean Tafazzoli, médecin généraliste. 

Et pour cause, il faut avouer que la médecin conventionnelle ne vend pas du rêve.  Elle a effectivement tendance à mettre l’état de fatigue chronique sur le compte d’un autre problème de santé ou bien d’une dépression : “la plupart des personnes concernées par cette situation, vont voir le médecin pour avoir un diagnostic. Et la plupart du temps, le diagnostic est que tout va bien, c’est dans votre tête”, déplore le docteur Raphael Perez. 

D’un autre côté, l’insuffisance surrénalienne (dont fait partie la maladie d’Addison) a bien sa place dans la nosographie. “Cette maladie dont les symptômes sont très violents (hypotension artérielle, amaigrissement, brunissement de la peau…) et dont le diagnostic est réalisé par test hormonal au synacthène n’a rien à voir avec la fameuse fatigue surrénalienne imaginaire dont les manifestations sont si très peu spécifiques”, pour médecin généraliste, Jean Tafazzoli. 

Advertisement

Fatigue surrénale : quelles sont les causes avancées ?

Advertisement

D’après les théoriciens de la fatigue surrénale, celle-ci serait la conséquence d’un état de stress permanent ou de la prise chronique de médicaments corticoïdes. De telles situations entraînent une élévation des taux de de l’hormone du cortisol dans l’organisme. 

Dans le cas du stress chronique, les glandes surrénales se mettraient à produire beaucoup de cortisol mais aussi d’autres hormones permettant une forte activité comme l’adrénaline ou la noradrénaline.

Advertisement

En cas de prise de corticoïdes, le cortisol est présent de façon synthétique dans ces médicaments.

Le problème de ces états de “surstimulation” est que notre corps tenterait de s’adapter : ” Le nombre de récepteurs cellulaires au cortisol va diminuer afin de limiter notre sensibilité à ce stimulant”, explique le docteur Raphaël Perez dans sa vidéo youtube. Confrontées à cette résistance au cortisol, les glandes surrénales augmenteraient leur activité afin de produire toujours plus de cortisol jusqu’à épuisement. 

Advertisement

Les glandes surrénales tolèreraient donc mal ce rythme imposé. “Ces dernières ralentissent leur activité afin de récupérer”. Nous tomberions donc dans un état de fatigue chronique lié à une baisse de production des hormones stimulantes comme le cortisol.

Advertisement

Quels sont les symptômes décrit en cas de fatigue surrénale ?

Les principales manifestations de la fatigue surrénale décrites sont : 

Advertisement
  • une grande fatigue
  • dessomnolences diurnes
  • des maux de tête ;
  • des troubles du sommeil
  • des difficultés à se lever le matin ;
  • une hypersomnie
  • des problèmes digestifs
  •  des cernes marquées… 

Attention, ces symptômes n’ont rien de spécifique et si vous présentez une ou plusieurs de ces manifestations, il est préférable de consulter un médecin. Si après investigation, ce dernier conclut que vous ne souffrez d’aucune affection particulière, c’est que vous êtes peut-être très fatigué(e) voire surmené(e). Prendre du repos est la meilleure chose à faire. 

Autre chose : si des idées noires viennent s’ajouter à ce tableau clinique, il peut être conseillé de consulter un psychothérapeute (psychiatre ou psychologue) afin d’éliminer un éventuel trouble dépressif sous-jacent. 

Diagnostiquer une fatigue surrénale : est-ce vraiment possible ? Comment faire ?

Advertisement

Le diagnostic de fatigue surrénale est rarement donné par un médecin, cette affection n’étant pas médicalement reconnue. En outre, contrairement à la véritable insuffisance surrénale, aucun test sanguin ne peut confirmer cette piste. 

Selon la théorie qui défend l’existence de la fatigue surrénale : les tests sanguins existants ne seraient pas assez sensibles pour détecter une diminution aussi légère de la fonction surrénale, mais votre corps l’est (source 1). 

Advertisement

Néanmoins si à vous, la fatigue surrénale ça vous parle, un naturopathe ou un coach en santé naturelle pourra vous orienter. Néanmoins, vous devriez consulter un médecin afin d’écarter toute autre pathologie sous-jacente. 

Advertisement

Traitements : comment reposer ses glandes surrénales ?

Il n’existe pas de traitement de la fatigue surrénale puisque cette affection n’est pas reconnue par la médecin conventionnelle. Si les signes persistent, mieux vaut consulter un médecin afin d’éliminer une autre maladie sous-jacente.

Advertisement

De son côté, le docteur Raphael Perez, donne quelques conseils judicieux afin d’apprendre à gérer son stress et à retrouver son énergie. Améliorer son mode de vie peut aussi limiter les risques de fatigue. 

Comment gérer son stress ?

Advertisement
  • Le premier conseil que donne le docteur Raphael Perez pour limiter l’exposition au stress est de couper à court aux sollicitations et aux activités frivoles qui saturent votre emploi du temps en augmentant inutilement votre charge mentale. Par exemple, mieux vaut accepter de couper son téléphone par moment afin de ne pas être en permanence dérangé(e) par des appels, des sms ou des emails incessants. 
  • Autre astuce afin de mieux gérer son stress est d’accepter ce qui ne dépend pas nous. S’il n’est pas possible de changer une chose dans votre environnement, il est inutile de s’acharner à vouloir le modifier. Concentrez votre énergie sur des objectifs qui dépendent de vos actions. 
  • Enfin, il est capital de se “recentrer sur soi”, de lâcher prise et d’être ancré(e) dans le moment présent. Beaucoup d’exercices permettent cela : la cohérence cardiaque, la biorespiration, l’hypnose ou encore la méditation.

Fatigue : faut-il revoir son alimentation ?

“Un esprit sain dans un corps sain” : afin de limiter le stress, il est prépondérant de ralentir son rythme et d’accepter de ne rien faire par moments pour récupérer. Un temps de sommeil suffisant est aussi indispensable (environ 7 heures par nuit). Les microsiestes (de moins de 20 minutes) peuvent aussi permettre de retrouver son énergie vitale. 

Advertisement

Une alimentation équilibrée et une hydratation suffisante à même de satisfaire nos besoins en vitamines et en minéraux permettent d’améliorer l’humeur et d’être plus résistant(e) à l’anxiété. On pense aussi que certains condiments comme le sel rose de l’Himalaya améliorent la santé des glandes surrénales. 

Une activité physique régulière (voire du sport) est aussi une façon de se régénérer. 

Advertisement

Fatigue surrénale : que penser des compléments alimentaires ?

Advertisement

Dans le commerce, une multitude de marchandises proposent de limiter la fatigue surrénalienne. Néanmoins, il n’existe pas de preuves scientifiques que ces supplémentations soient efficaces contre les états de fatigue chronique. Attention donc aux arnaques et encore plus en ce qui concerne les produits en ligne dont les marques ne sont pas connues. Dans ces compléments alimentaires, il est possible de trouver : 

  • des plantes dites “adaptogènes” et des plantes médicinales : tulsi, éleuthérocoque, maca, rhodiola… ; 
  • Du  magnésium
  • De la vitamine C ; 
  • Du  panthoténate de calcium (vitamine B5) et de la tyrosine (éléments de base servant à la fabrication des hormones contrôlant le stress) … 
Continue Reading

Health

L’adénomyose, cette « endométriose interne » mal connue par la médecine

Published

on

Spread the love
Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans
Kinga Krzeminska / Getty Images Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans

Kinga Krzeminska / Getty Images

Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantennaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans

Advertisement

SANTÉ – Avez-vous déjà entendu parler de l’adénomyose ? Cette pathologie, qui pourrait concerner plus de 10 % des femmes selon les chiffres de l’association EndoFrance, est aussi souvent appelée « endométriose interne ». Car si l’endométriose prolifère en dehors de la cavité utérine, l’adénomyose, elle, est interne à l’utérus.

Tout comme l’endométriose, l’adénomyose n’a pas de conséquences sur le pronostic vital de la personne qui en souffre, mais peut être très douloureuse et causer des problèmes de fertilité. Focus sur cette pathologie encore peu comprise et peu étudiée.

Advertisement

L’adénomyose, qu’est-ce que c’est ?

Selon l’institut franco européen multidisciplinaire d’endométriose, une structure de soins privée exclusivement dédiée à la prise en charge de l’endométriose, l’adénomyose se définit par une « série de modifications survenues strictement à l’intérieur de l’utérus, qui conduisent à la présence de muqueuse utérine (endomètre) à l’intérieur de la couche musculaire de l’utérus (myomètre) ». Bien qu’elle soit connue pour toucher principalement les quarantenaires ayant déjà eu plusieurs enfants, un tiers des diagnostics d’adénomyose concerne des femmes de moins de 30 ans.

La Haute Autorité de Santé souligne que même si les deux pathologies sont différentes, l’adénomyose et l’endométriose sont souvent associées, suggérant qu’elles pourraient avoir une « origine commune » non identifiée. Elles ne vont pas obligatoirement de pair : il est possible d’avoir de l’adénomyose sans endométriose, et inversement.

Advertisement
Advertisement
Advertisement

Les symptômes de l’adénomyose

Le manuel MSD de connaissances médicales décrit les symptômes reconnus de l’adénomyose comme comprenant des « menstruations abondantes et douloureuses (dysménorrhée) », des « douleurs vagues de la région pelvienne » et « une sensation de pression sur la vessie et le rectum ». Les douleurs pendant les rapports sexuels et les douleurs inter-menstruelles sont aussi mentionnées dans les signes évocateurs d’adénomyose.

Une étude publiée dans le journal de l’association médicale canadienne précise que jusqu’à 30 % des femmes atteintes d’adénomyose sont asymptomatiques. D’autres formes peuvent être extrêmement douloureuses et invalidantes, sans que la recherche ne puisse encore établir pourquoi. Par ailleurs, une étude menée sur 1 865 patientes en parcours de FIV a constaté une part plus élevée de fausses couches chez celles qui étaient atteintes d’adénomyose. Sur ce point, la Haute Autorité de Santé reste prudente, et affirme que « l’adénomyose semble avoir un effet négatif sur le taux de grossesse, mais la part de l’adénomyose est difficile à évaluer en cas d’endométriose associée. De plus, le diagnostic d’adénomyose reste mal définir. » Le rapport précise au conditionnel que « les taux de fausses couches sembleraient supérieurs en cas d’adénomyose ».

Advertisement

Le diagnostic de l’adénomyose

L’adénomyose fait partie des pathologies difficiles à identifier. En effet, pour poser un diagnostic avec certitude, il est nécessaire d’analyser des tissus de l’utérus qui ne peuvent être obtenus que par la réalisation d’une hystérectomie (ablation de l’utérus), ce qui n’est pas une possibilité pour les personnes qui souhaitent une grossesse.

Plusieurs indicateurs peuvent tout de même permettre de diagnostiquer l’adénomyose avec une certaine précision, notamment les images par échographie pelvienne et par IRM. En effet, l’adénomyose provoque une augmentation globale du volume de l’utérus qui prend alors un aspect arrondi, ce qui peut être repéré à l’imagerie.

Advertisement

Traiter l’adénomyose

À l’heure actuelle, les traitements contre l’adénomyose permettent d’en limiter les symptômes sans incidence sur l’origine de la pathologie. Les patientes peuvent se voir proposer un dispositif intra-utérin hormonal, ou encore l’usage de pilule contraceptive pour réguler leur cycle. En cas d’échec de ces traitements, pour les personnes qui ne désirent pas (ou plus) de grossesse, l’hystérectomie peut être préconisée.

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Health

La maladie d’Alzheimer bientôt détectée avec un smartphone ?

Published

on

Spread the love

Chaque année en France, 225 000 nouveaux cas de maladie d’Alzheimer sont diagnostiqués, souvent tardivement. Le parcours est loin d’être simple : tests de mémoire, imagerie, ponction lombaire… Alors améliorer et faciliter le diagnostic de cette maladie neurodégénérative est un enjeu de taille. Dans cette voie, des chercheurs américains et allemands ont publié des travaux notables dans la revue npj Digital Medicine ce 26 mars 2024 (source 1).

Ils ont en effet mis au point des tests de mémoire spécifiquement conçus pour être réalisés simplement via un smartphone. Ils permettraient de « détecter avec une grande précision les déficiences cognitives légères », selon un communiqué du centre de recherche qui a mené l’étude (source 2). La méthode mise au point par les chercheurs serait même « comparable aux évaluations en clinique », selon le Pr David Berron, co-auteur de l’étude. Pour parvenir à cette conclusion, les scientifiques ont étudié leur application auprès de près de 200 personnes âgées de plus de 60 ans aux États-Unis et en Allemagne.

Advertisement

Divers tests réalisables en autonomie

Advertisement

Les tests de mémoire de l’application consistent à se souvenir d’images, ou à reconnaître des différences entre plusieurs images. « Les évaluations réalisées à l’aide de l’application sont interactives et comprennent trois types de tâches de mémoire. Ces tâches concernent différentes zones du cerveau qui peuvent être affectées par la maladie d’Alzheimer à différents stades de la maladie », explique le Pr Emrah Düzel, auteur de l’étude.

L’atout majeur de cette méthode est qu’elle peut être réalisée de façon autonome, à la maison par exemple. « Il est avantageux de pouvoir effectuer ces tests soi-même et de n’avoir qu’à se rendre au cabinet du médecin pour évaluer les résultats. Les tests non supervisés permettraient de détecter plus tôt les troubles de la mémoire cliniquement pertinents et de suivre la progression de la maladie de plus près qu’il n’est possible de le faire actuellement. Compte tenu de l’évolution récente de la thérapie de la maladie d’Alzheimer et des nouvelles possibilités de traitement, le diagnostic précoce devient de plus en plus important », d’après le professeur Düzel.

Advertisement

Notre étude montre que les troubles de la mémoire peuvent être évalués de manière significative à l’aide de cette approche numérique, à distance et non supervisée. Pr Düzel.

L’application déjà utilisée par des médecins et essais cliniques

Advertisement

Les résultats sont si notables que l’application est déjà « proposée aux médecins pour faciliter la détection précoce des troubles de la mémoire », ont précisé les chercheurs dans le communiqué. « Cette technologie a un potentiel énorme pour fournir aux cliniciens des informations qu’ils ne peuvent pas obtenir lors de la visite d’un patient à la clinique », a précisé le Pr David Berron. Leur méthode est aussi déjà utilisée dans des études cliniques de recherche sur la maladie d’Alzheimer dans plusieurs pays.

L’équipe de chercheurs ne compte pas s’arrêter là. Leurs études continuent, sur un plus grand nombre de personnes. Ils souhaitent également savoir si leur méthode « peut être utilisée pour suivre la progression de la maladie d’Alzheimer sur une plus longue période », selon leur communiqué. « Il est important pour les médecins et les patients de disposer d’informations sur la rapidité avec laquelle la mémoire décline au fil du temps. Elles sont également importantes pour les essais cliniques, car les nouveaux traitements visent à ralentir le rythme du déclin cognitif », conclut le Pr David Berron. Cette étude montre une nouvelle fois le potentiel de la technologie, et notamment des applications mobiles, pour la recherche et la prise en charge de la maladie d’Alzheimer.

Advertisement
Continue Reading

Health

Jude Law soutient Judith Godrèche et salue les progrès des dernières années

Published

on

Spread the love
Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.
Mondadori Portfolio / Mondadori Portfolio via Getty Im Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.

Mondadori Portfolio / Mondadori Portfolio via Getty Im

Jude Law affiche son soutien à Judith Godrèche.

Advertisement

PEOPLE – Si certains préfèrent jouer les langues de bois, Jude Law ne mâche pas ses mots. Depuis que Judith Godrèche a pris la parole et rappelé l’importance du mouvement #MeToo, elle incarne une nouvelle vague du mouvement en France. L’actrice française a en effet porté plainte en février contre les réalisateurs Jacques Doillon et Benoît Jacquot, dénonçant des violences sexuelles et physiques qui remonteraient à son adolescence. Ce qui lui vaut, notamment, le soutien de l’acteur britannique.

Après un discours poignant sur la scène des César, Judith Godrèche avait déjà reçu le soutien de plusieurs personnalités du cinéma français, parmi lesquelles son ex-mari Dany Boon, François Civil ou encore la réalisatrice césarisée et oscarisée Justine Triet.

Advertisement

Et alors qu’il est en pleine promotion du Jeu de la reine de Karim Aïanouz, Jude Law a lui aussi salué le courage de l’actrice. Interviewée par Le Figaro le 26 mars, la star de The New Pope a déclaré que « quel que soit le métier que l’on exerce, on doit pouvoir le faire sans crainte, dans un environnement sain. (…) Humilier ou violenter au nom de l’art, de la création ? Ce sont des conneries ! Un agresseur reste un agresseur », a-t-il déclaré.

Les monstres comme Henri VIII doivent rester de la fiction

Le Jeu de la reine raconte l’histoire vraie de Catherine Parr (Alicia Vikander), sixième épouse du monarque anglais Henri VIII (Jude Law). Surnommé « Barbe bleu », il est célèbre pour le traitement monstrueux qu’il a infligé à ses compagnes. Parmi les six, deux ont été décapitées et deux autres répudiées. Conscient du rôle terrifiant qu’il incarne, Jude Law a rappelé que « le monde du travail ne doit pas ressembler à la cour d’Henri VIII, dominée par la peur ». Un euphémisme.

Advertisement

L’acteur de Sherlock Holmes n’est pourtant pas défaitiste et remarque que l’industrie du cinéma a été positivement influencée par les vagues #MeToo successives. « En Angleterre, depuis l’affaire Weinstein, l’industrie du cinéma a pris conscience que ces agissements ne pouvaient pas continuer. Depuis le moment où j’ai commencé, il y a trente ans, les choses ont changé. Il y a plus de respect, de considération entre les gens ». Si « tout n’est pas parfait » il insiste cependant que le fait que l’« on avance dans la bonne direction ».

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement
Advertisement
Advertisement
Continue Reading

Health

En 2024, les tarifs des hôpitaux publics vont augmenter, découvrez de combien

Published

on

Spread the love

Se faire soigner va coûter plus cher. Dans un entretien accordé aux Echos, le ministre délégué à la Santé Frédéric Valletoux a annoncé une modification des tarifs dans les hôpitaux publics. Pour l’année 2024, la facture va grimper de 4,3 % pour les établissements publics et privés non lucratifs et de 0,3 % pour ceux qui appartiennent au secteur privé lucratif.

« Le budget 2024 prévoit 105,6 milliards pour les établissements de santé, contre 102,5 milliards l’an dernier. On a connu il y a une dizaine d’années des tarifs en diminution, là ils augmentent, avec environ +4,3 % pour les établissements publics et privés non lucratifs et +0,3 % pour le secteur privé lucratif », a détaillé le ministre délégué à la Santé dans les colonnes du journal économique.

Advertisement

Pour justifier la différence de tarifs entre le secteur et le public, Frédéric Valletoux souligne que le secteur privé a connu une forte dynamique ces dernières années. « Cela explique que ses tarifs augmentent moins vite car la régulation des tarifs dépend aussi des volumes d’activité. La croissance de l’activité du privé est forte et va logiquement soutenir les résultats financiers des établissements privés ».

Frédéric Valletoux ajoute que « le secteur privé a bénéficié d’une partie de l’aide exceptionnelle de 500 millions débloquée en début d’année par le gouvernement pour accompagner les établissements face à leurs besoins de trésorerie ». Autre annonce, celle d’un « soutien spécifique pour des segments auxquels nous souhaitons accorder une priorité, qu’il s’agisse de la médecine, la pédiatrie, les greffes, la maternité ou encore les soins palliatifs ».

Advertisement

« Une faute politique »

Advertisement

L’Agence France Presse rappelle que la grille des tarifs hospitaliers publics et privés pour 2024 aurait dû être publiée le 1er mars. Toutefois le gouvernement a fait voter une augmentation des dépenses de l’Assurance maladie de 3,2 % qui ne permet pas de couvrir les hausses tarifaires d’environ 10 % dont les hôpitaux estiment avoir besoin.

« Les tarifs dévolus au secteur privé, sans tenir compte de l’inflation, sont hors sol et obèrent gravement notre capacité collective à accomplir nos missions de soin dans les mois qui viennent », pointe la Fédération de l’Hospitalisation privée. Et d’ajouter : « Le gouvernement commet une faute politique en opposant les différents acteurs du système de santé. Non seulement la discrimination ne peut pas fonder une politique publique, mais surtout elle nuit gravement à la réponse aux besoins de soins des citoyens ».

Advertisement
Advertisement

Advertisement
Continue Reading

Health

à peine annoncée par Attal, la mesure fait l’unanimité contre elle

Published

on

Spread the love
Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)
JULIEN DE ROSA / AFP Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)

JULIEN DE ROSA / AFP

Gabriel Attal photographié à l’Assemblée nationale le 26 mars (illustration)

Advertisement

POLITIQUE – Alors que le déficit dérape, et que l’État éprouve un sérieux besoin de recettes pour renflouer les caisses, Gabriel Attal a confirmé ce mercredi 27 mars l’une de ses idées phares : s’en prendre à un régime excédentaire, alors que les effets bénéfiques d’une telle mesure sur le Budget restent à démontrer. Dit autrement, une (nouvelle) réforme « globale » de l’assurance chômage, consistant à réduire la durée d’indemnisation des chômeurs.

Le projet derrière l’annonce du Premier ministre : parvenir à un « modèle social qui incite davantage à l’activité » ce qui, par effet ricochet, participera à réduire le déficit. « Si nous avions le même taux d’emploi que nos voisins allemands, nous aurions beaucoup moins de problèmes avec nos finances publiques, car nous aurions des recettes fiscales et sociales plus importantes », a-t-il fait valoir mercredi soir sur TF1, suggérant donc que le système actuel (pourtant dans le vert financièrement) entretien l’inactivité.

Advertisement

Les oppositions vent debout

Sans surprise, cette piste qui risque d’aggraver les conditions de vie des moins de 50 % personnes sans emplois effectivement indemnisées, a fait bondir les oppositions. À gauche comme à droite. Patron du groupe LR à l’Assemblée, nationale, Olivier Marleix a dénoncé un « enfumage » de la part de Gabriel Attal. « En 2024 le déficit de l’État sera de 173 milliards d’euros. En 2024, l’assurance chômage sera excédentaire de 3 milliards d’euros. Où croyez-vous que le gouvernement propose un effort ? Chômeurs âgés, transports sanitaires… Oui. Train de vie de l’État… Rien », a-t-il dénoncé sur le réseau social X.

Député socialiste, Arthur Delaporte dénonce de son côté « une folie de plus » commise par l’exécutif. L’élu du Calvados en veut pour preuve le dernier rapport de la Dares (publié par des économistes du ministère du Travail), qui montre que la dernière réforme de l’assurance chômage a bien diminué le niveau de rémunération des chômeurs, mais sans pour autant avoir un effet significatif sur l’emploi.

Advertisement
Advertisement

« Le gouvernement vous fait les poches. Les milliardaires n’ont jamais payé aussi peu d’impôts, mais le Premier ministre s’attaque aux chômeurs. Vous cotisez, ils arrosent les multinationales. Les chômeurs seront privés d’indemnités, les riches continueront de se gaver », renchérit de son côté la députée LFI Clémence Guetté, quand sa collègue écolo Sandrine Rousseau accuse Gabriel Attal et Bruno Le Maire « de détruire l’identité française plus vite que n’importe qui ».

Présidente du groupe RN à l’Assemblée, Marine Le Pen a aussi fustigé cette annonce. « La réforme de l’assurance chômage est une escroquerie qui n’a qu’un seul but : faire les poches des Français pour renflouer les comptes de l’État qui sont en déficit à cause de l’impéritie du Gouvernement. Le régime est excédentaire, il n’y a aucune nécessité à le réformer ! », s’est-elle indignée sur le même réseau social.

Advertisement

« Cynisme absolu »

Cette réforme annoncée inquiète également du côté syndical. Dans la soirée, Denis Gravouil, négociateur de la CGT sur l’assurance chômage, est montée au créneau en assurant que le gouvernement veut « encore taper sur les précaires ou les chômeurs ». Même son de cloche pour la secrétaire générale du syndicat, Sophie Binet.

« L’obsession du gouvernement pour les privés d’emploi vire au trouble obsessionnel », a-t-elle dénoncé sur franceinfo, considérant que cette réforme s’inscrirait « en dehors de toute rationalité économique », puisque rien selon elle ne prouve que l’effet incitatif mis en avant par le Premier ministre. « Le régime d’assurance chômage ne peut pas être une variable d’ajustement budgétaire de l’État », a pour sa part prévenu la secrétaire générale de la CFDT Marylise Léon. François Hommeril , président de la CFE-CGC, a dénoncé à l’AFP un « discours populiste » au « cynisme absolu » qui « méconnaît ce que c’est la situation d’un chômeur confronté à la difficulté de retrouver un emploi », auquel « on va imposer des mesures de rétorsion comme s’il était responsable en partie ou en totalité de sa situation ».

Advertisement

Et qu’en pensent les économistes ? Avant l’intervention de Gabriel Attal au 20 heures de TF1, plusieurs spécialistes doutaient à haute voix de cette réforme envisagée par l’exécutif. « D’abord, durcir les règles de l’assurance chômage, ça ne crée pas d’emplois », expliquait mardi 26 mars à franceinfo, Bruno Coquet, spécialiste des politiques du marché du travail. « Il faut toujours se demander pourquoi les chômeurs non indemnisés ne reprennent pas d’emploi. Ce n’est pas parce qu’ils sont trop indemnisés », alertait-il. En vain, puisque c’est bien la trajectoire que semble l’exécutif.

« En faisant ça le gouvernement prend le problème à l’envers. Premièrement, depuis la réforme de 2019, il n’y a quasiment plus de situations dans lesquelles le travail est moins attractif que le chômage. Deuxièmement, le vrai problème de fond est que dans ce pays, depuis quinze ans, travailler ne permet plus à la majorité des gens de changer de niveau de vie. La question est comment faire pour que le travail paye plus, et non pour que le chômage paie moins », a déploré mercredi soir auprès de L’Opinion Antoine Foucher, ex-directeur général adjoint du Medef et ancien chef de cabinet au ministère du Travail du temps de Muriel Pénicaud de 2017 à 2020.

Advertisement

À voir également sur Le HuffPost :

Advertisement
Advertisement

Advertisement
Continue Reading

Trending